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  • DEBAUCHE D'UNE BLONDINETTE
  • : jeunes avec vieux Histoires érotiques
  • : Lucie et ses copines attirées par les vieux pervers racontent leurs rencontres et leurs expériences sexuelles dans ce journal plus que intime... Tous les récits écrits et imaginés ici ne sont que purs fantasmes extrêmes. TOUTES LES PHOTOS PUBLIEES SUR CE BLOG AINSI QUE LES HEROINES DECRITES DANS CES HISTOIRES ONT PLUS DE 18 ANS ET SONT MAJEURS.
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Mardi 14 juin 2 14 /06 /Juin 17:33

1 - La chambre de bonne


J’ouvre les yeux avec difficultés, j’ai mal à la tête. Je suis allongée sur un lit dans une chambre sombre. J’ai l’impression qu’il fait jour, malgré les rideaux qui masquent la lumière naturelle.

Un goût amer dans la gorge, je déglutis, ma salive me semble plus épaisse que d’habitude. J’ouvre la bouche, mais je dois faire un effort pour décoller mes lèvres l’une de l’autre. Ma peau est sèche et mes cheveux poisseux.
Je me relève, une drôle d’odeur de renfermé et de sueur règne dans la pièce. En me relevant, je me rends compte que je suis sur un matelas dégueulasse posé à terre. Je me trouve dans une minuscule chambre de bonne avec pour tout mobilier, un lavabo et un miroir crasseux près de la fenêtre.
Je m’assois sur le matelas, prise de panique je me demande ce que je fais là. Je ne me souviens plus de rien. comment j’ai pu atterrir ici? Cet endroit ne me dit rien qui vaille.

Je me lève et remarque que je suis entièrement nue, je tire doucement le rideau de la petite fenêtre,
J’imagine que je suis au dernier étage d‘un immeuble, le temps est gris et la vue donne sur des rails et sur d‘autres immeubles.

Devant le miroir, apparaît une jolie jeune fille, avec des magnifiques yeux bleus un peu rougis par la fatigue, un visage juvénile malgré quelques traits tirés par une nuit agitée.
J’observe ma chevelure blonde légèrement ébouriffée. J’examine mon corps : mes jambes longilignes, mes gros seins en forme de poire, mon ventre plat et mon entrecuisse qui est totalement imberbe. Je me retourne et apprécie mes fesses toutes fermes.
Le gars qui m’a amené ici à dû bien en profité car je suis courbaturée de partout.

Je regarde autour de moi, il y a la porte d’entrée, la fenêtre avec le rideau noir, les murs sont blancs jaunis par le temps.
Au bout de quelques minutes, j’ai le regard sur la porte d’entrée et  je me demande si je ne serais pas enfermée?
Mais un détail me surprend, j’aperçois le loquet de la serrure qui n’est pas fermé. La porte doit certainement être ouverte? Réflexion faite, je me dis que je ne dois pas traîner ici.

Mais comment faire car je suis complètement nue?
Je me lève et me dirige vers la porte, et là encastré dans le mur un placard intérieur auquel je n’avais pas encore prêté attention.
Tout en fixant ce placard, je prie intérieurement pour qu’il ne soit pas vide, et pour qu’il y est quelques vêtements à me mettre.

J’ouvre le placard, et n’en crois pas mes yeux quand je découvre un sac à main, un sac H&M avec des vêtements féminins, plus un sac avec une paire de chaussure!
Il y aussi une jupe noire et un tee-shirt rose tournés en boule, mais maculés de tache blanche!?

Après avoir vérifié que la porte était bien ouverte et passée la tête à l’extérieur pour voir si personne ne m’attendait, je passe au lavabo pour me rendre présentable en enlevant toutes ses taches de sperme sur mon corps. Je me débarbouille et me coiffe mieux que bien, et j’enfile une jupe en jean ainsi qu’un caraco soyeux à bretelle rouge et des ballerines argentées que j‘ai trouvée dans les sacs.

Ce n’est pas grand-chose, et c’est sur que je ne vais pas passer inaperçue! parce qu’en plus d’être hyper sexy je ne porte pas de culotte!
Mais bon c’est déjà mieux que rien!

Je récupère le sac à main, laisse la jupe noire et le tee-shirt souillés . N’entendant aucun signe de vie, je sors dans le couloir et commence à descendre les escaliers. J’ai dévalé tous les étages. Je suis arrivée en bas et je n’ai aperçu aucune âme qui vive, la voie est libre et je m’engage dans la rue.

2

2 - Le métro sexuel


Je me retrouve sur un grand boulevard, je sais que je suis dans le quartier de Picpus à Paris. je reconnais car j’y suis déjà passé en voiture. Je continue sur le boulevard en attendant de trouver le métro le plus proche.
Le regard de tous les hommes et les petits sourires qui en disent longs, me rendent mal à l’aise. J’ai l’impression, quand je les croise,  qu’ils sont tous au courant que je ne porte pas de culotte sous ma jupe?
Alors pour tromper les regards, je fouille dans mon sac à main, trouve ma carte d’identité et un sursaut de lucidité me revient :

Lucie Creuzeau - 18 ans - née à Paris
Jean-Louis Père entrepreneur - Clotilde Mère comptable
Fille unique
Habite a Paris 16ème
Etudiante au Lycée Marie Curie
Meilleure amie Ludivine Marshall


J’arrive enfin à une bouche de métro, j’achète un ticket avec  les quelques pièces que je trouve dans mon sac, et prend la direction du métro qui va me ramener chez moi.
Je me sens mieux tout d’un coup. Tous mes souvenirs me reviennent par bride, je suis ailleurs, je souris, contente d’avoir retrouvé la mémoire.
Sur le quai, un homme d’âge mûr bedonnant qui est à côté de moi se met à me sourire.
Je remets la tête dans mon sac, en l’ignorant, je cherche mon téléphone portable.

Le métro aérien arrive à quai, je monte dans la rame suivie du monsieur qui mate sans gêne mes seins qui ne porte pas de soutient-gorge.
C‘est très calme à l’intérieur, il y a juste quelques personnes dans le fond du wagon.
On a changé d’heure et les jours se sont rallongés.
Je m’assois sur une des banquettes à quatre, il n’y a pas grand monde dans notre rame, mais le vieux se met en face de moi, les mains entre ses cuisses.
Je tire sur ma jupette en jean car j’ai complètement oublié cette histoire de culotte sur le coup!
De toute façon il n’est pas sensé savoir que je n’en porte pas.
J’essaye d’allumer mon téléphone, mais visiblement je n’ai plus de batterie.
Le métro est passé en souterrain.
Je regarde le reflet de l’homme dans la vitre, il me dévisage de haut en bas.
Je continue à trifouiller mon portable et j’aperçois ses mains caresser une énorme bosse à travers son pantalon!
Les stations défilent et toujours personnes qui montent dans notre wagon.
J’ai rangé mon téléphone et je jette un oeil furtif sur les mains qui frotte cette bosse qui semble grossir encore.
Je regarde rapidement mon reflet dans la vitre et comprend vite le monsieur qu’avec cette jupe qui dévoile la totalité de mes jambes et de mes cuisses, ce caraco qui fait ressortir ma poitrine et laisse apparaître le bout de mes tétons, je ne peux que le mettre dans cet état.
Ne sachant pas quoi faire je continue à l’observer jusqu’à que l’on arrive à une station. Les portes s’ouvrent et un couple vient s’asseoir sur la banquette d’à côté. Le vieux se penche et met ses mains sur les genoux pour cacher son érection.
Maintenant il regarde la vitre.
Etrange sensation, j’ai presque du regret qu’il ne continue pas son petit jeu.
Je sais qu’il m’observe à travers la vitre, et je ne sais pas ce qui me prend, je passe ma langue langoureusement au travers de mes lèvres.
L’effet ne se fait pas attendre il se remet en position, les mains entre ses cuisses.
Je fixe son entrejambe, ça lui plaît, il continue à se toucher plus discrètement.
Je ne sais pas ce que j’ai, mais je commence à être excité de voir ce gros porc dégueulasse se frotter le sexe en me reluquant.
On arrive à une autre station, le couple se lève et descend du wagon, personne d’autre monte. Le métro repart, le vieux monsieur me fixe cette fois. Je baisse le regard et retire sur ma jupe.
Il ne se laisse pas démonter et passe une main dans son pantalon pour se masturber. Je le regarde faire, et commence à sentir une moiteur dans mon entrejambe.
Il sort le bout de sa langue et continue de me dévisager en s’astiquant de plus en plus vite.
Voir ce gros visqueux se palucher en pensant à moi, me rend toute mouillée et je décide de le lui montrer.
Je relève ma jupe lentement tout en le fixant, je repasse ma langue entre mes lèvres plusieurs fois. Il me regarde faire, je me soulève un peu et tire sur ma jupe pour qu’il entrevoit l’éclat de mon petit sexe imberbe!
Il n’en revient pas! il sue de voir une petite jeune canon comme moi s’exhiber sans culotte devant lui.
Il se jette la tête en avant entre mes cuisses. Je sens sa langue me pénétrer, j’appuie sur sa tête pour qu’il l’enfonce au plus profond de ma chatte.
J’ai envie qu’il me nettoie de toutes ses bites qui m’ont souillé ces derniers temps.
Nous passons une autre station, je regarde mais personne en vue.
Lui ne calcule rien, il a passé ses bras sous mes cuisses et a les mains sur mes belles fesses toutes ronde. Il en profite, il dévore ma minette, il l’embrasse, la titille, l’aspire avec sa bouche, la lèche et l’enfonce avec sa langue, le siège est trempé de sa salive et de ma sécrétion.
Le métro continue sa progression sans perturbation.
Je lâche mes mains de son crâne dégarni.
Il relève la tête, sa bouche est toute baveuse, son front dégouline de sueur, il s’essuie et se rassoit en face de moi, tout en déboutonnant son pantalon.
Je suis toute trempée, son sexe trop poilu est tendu au maximum, je me mets a genoux devant lui, j’attrape sa bite et l’avale entièrement.
Je suis grave excitée, et je vais lui faire la pipe de sa vie à ce vieux bonhomme.
Je remonte lentement en pinçant mes lèvres sur son gland, je commence un va-et-vient de forcené, tout en appuyant ma main sur ses couilles qui me semble pleine à craquer.
Je sens que je vais encore en prendre plein la gueule!
Il n’est pas très propre, sa queue sent un peu la pisse, mais je ne sais pas, ça me rend encore plus folle! 
Tout à coup, on entend au microphone : prochain arrêt terminus!
Il met les mains sur ma tête, j’accélère le mouvement, mes lèvres toujours pincées, je me prépare à tout avaler.
Il appuie sur ma tête, j’enfonce ma bouche jusqu’à sentir son gland au plus profond de ma gorge, puis c’est l’explosion!
La première giclée me fait directement avaler sa jouissance, le reste vient fouetter mon palet et mes dents, ma bouche se remplit à ras bord, je déglutis vite pour pouvoir avaler la première gorgée, la deuxième gorgée suivit de près, à la troisième gorgée je me rends compte qu’en fait, il est toujours entrain d’éjaculer dans ma bouche, alors je me concentre pour avaler de plus grosses gorgées de sperme.
Je lève le regard vers le vieux dégueulasse, toujours sa queue dans ma bouche, je déglutis à chaque soubresaut de jute.
Le gros porc, le visage grimaçant est aux anges.
Enfin l’éjaculation se termine et il m’aura fallu une bonne dizaine de gorgées pleines de foutre pour pouvoir tout avaler jusqu’au bout!

Je rentre fière de moi, je n’ai perdu aucune goutte.

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3 - Rendez-vous avec Vincent


Heureuse de rentrer dans le studio que mes parents me prêtent, en attendant de finir mes études, je me vautre sur le canapé après avoir pris une longue douche bien chaude.
Je me remémore le temps passé entre mon réveil dans cette chambre glauque et la pipe royale que j’ai pratiquée à ce vieux porc.
J’en souris encore de voir sa gueule d’halluciné!

« Je me rappelle qu’il y a deux jours, j’étais parti faire du shopping sur les Champs-Elysée, je portais ma jupe noire, un string noir et mon tee-shirt rose sans soutien-gorge.
Ce qui mettait en valeur mes formes et me rendais super sexy.
J’adore voir le regard des hommes se poser sur mes seins pour observer le bout de mes tétons ressortir de sous mon tee-shirt.

J’avais pris un rendez-vous avec un homme d’une quarantaine d’année avec qui je tchattais de temps en temps sur internet.
On avait décidé de se rencontrer devant le Drugstore à 14h30 cette après-midi là.

J‘attends depuis deux minutes et le voilà qui arrive.

- Tu es encore plus belle en vrai que sur photo!

- Ah c’est gentil merci !
- Bonjour Vincent.

- Bonjour Lucie.


On est parti prendre un verre et on a discuté un peu de nous pour mieux faire connaissance.

En se découvrant, on en est arrivé à parler de sexe. Il faut dire que c’était notre principal sujet de conversation sur le net.

C’est vraiment un homme sans tabou et de nature pervers.
Je ne le trouve pas spécialement beau, il est même plutôt banal, mais je le trouve intéressant et assez excitant.
 
Après avoir commandé plusieurs cocktails alcoolisés, il me raconte certaines choses de son expérience et une partie de ses fantasmes les plus fous.
Pendant ce temps-là, la main sous ma minijupe discrètement sans qu’il me voie, je me caresse le clitoris.

- Et toi Lucie, as-tu un fantasme en particulier?

Je réfléchis un moment, et je lui avoue que depuis que j’ai connu le sexe, je ne peux plus m’en passer.

- Vincent, j’ai vraiment l’impression d’être une accroc au sperme, j’aimerais en boire des différents tous les jours!

Je suis folle, n’en croyant pas mes oreilles d’avoir dit cela a un homme que je connais à peine.

Il sourit, ça lui donne une idée.
Il me propose de m’emmener sur une aire d’autoroute en banlieue ou bons nombres d’hommes seraient ravi de se soulager dans ma bouche.

Excitée par ses propos et par l’alcool, j’accepte et nous partons en direction de la banlieue nord.

On a quitté Paris, on roule maintenant sur l’autoroute pour atteindre l’aire de repos.
Je lui demande:
- Il y beaucoup d’hommes a satisfaire quand nous serons là-bas?

- Ooh quelques uns, ça dépend des jours!
- Mais bon, si tu te sens déjà en manque, tu peux toujours      commencer par moi?

Une main sur le volant, son autre main défait sa ceinture de pantalon.
Je me penche vers lui pour l’aider à défaire sa braguette.
Je passe ma main sous son caleçon, il bande moyennement.
Je commence à le masturber et sors son sexe tout rasé.
Il a été gâté par la nature de ce point de vue là.
Je commence par faire tournoyer ma langue sur son gland, tout en continuant à le branler.
Il s’endurcit, je descends ma bouche vers ses couilles, je les mordille, les mets dans ma bouche, les recrachent, plusieurs fois.
Je relève la tête, regarde Vincent, il double un camion doucement.
Je pose mes lèvres sur son gland et le masturbe avec plus de vigueur.
J’imagine la gueule du routier, voire la scène par la vitre de son camion, une chevelure blonde entre les cuisses de son chauffeur, la jupe relevée jusqu‘aux hanches, le string à l‘air.
Cette vision m’émoustille, je veux son jus maintenant.
Alors j’accélère la branlette, tout en englobant la totalité de son gland.
Je le pompe à fond, ne ralentissant pas la cadence.
Je sais qu’il va craquer, il y a de la salive partout sur ses couilles.
Je continue encore plus fort jusqu’à faire toucher le bout de son gland au fond de ma glotte.
J’entends un « Rrrrrraaaaa » de satisfaction, alors j’attrape ses fesses pour appuyer au maximum mes lèvres contre son ventre et le haut de ses couilles. La puissance de son jet au fond de ma gorge me donne un renvoi, mais j’arrive quand même à rester collé contre ses couilles. Les giclées que je reçois après m’envahissent les joues, j’avale le tout par gorgée en retirant ma bouche tout doucement.

- Wahou, dis donc, t’es une sacrée pompeuse, toi!
- Les mecs du parking vont se régaler!

- Oui merci, tu vois je t’avais prévenu!

Le parking est en vue, on stationne, il y a plusieurs voitures avec des hommes à l’intérieur.

J’avoue que l’endroit n’est pas rassurant.
Mais Vincent me met à l’aise, j’ai confiance en lui.
En attendant que ça bouge, il me raconte quelques anecdotes. Il me fait rire. Je commence à me détendre, Vincent s’approche de moi, me touche en bas, me soulève le tee-shirt  pour mordiller mes tétons.
Je suis toute trempée.
Il malaxe mes seins, retire ma culotte, et introduit un doigt, puis deux, puis trois dans mon intimité.
Il baise ma petite fente avec sa main, je mouille de plaisir.
J’ai bien compris que les hommes à l’intérieur des voitures, nous épient.

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4 - Toilettes pour hommes


Sur le parking, trois jeunes hommes sortent de voitures pour se diriger vers la petite maison des toilettes publiques.

Vincent arrête ses caresses pour me dire d’aller les rejoindre aux toilettes.
Je suis un peu déçu qu‘il retire sa main et je reste interloqué par sa demande. Il veut que j’y aille seul.

- Ne t’inquiète pas, je suis là. Je te rejoins, je veux juste que vous fassiez connaissance.
- N’est pas peur, vas-y, rentre dans une des cabines de toilettes pour hommes, j’arrive après.

Je me rhabille, sans remettre ma culotte, je sors de la voiture et vais vers la maisonnette.
J’ai un peu peur mais je suis encore toute excitée, et c’est vrai que j’ai encore envie de me rassasier en sperme.

Arrivé devant l’entrée, je vois les trois mecs devant les urinoirs.
Je tremble et je baisse la tête en passant derrière eux.
Ils se retournent légèrement pour me voir passer.
J’ouvre un toilette, m’installe sur la lunette des WC et laisse la porte entre-ouverte.
Je me sens alors en panique de savoir que ces hommes m’ont vue rentrée dans leur territoire.

J’aperçois une ombre sur le reflet du carrelage, la porte s’ouvre.
Devant moi un jeune homme, le membre à la main se masturbe.
Il s’approche rentre dans le cabinet et m’arrose de son foutre en plein visage!
Je suis complètement surprise, quand j’ouvre les yeux, je vois un autre jeune dans la même position, et lui non-plus ne tarde pas à projeter sa semence contre mon visage!
Jamais deux sans trois, le troisième ne se fait pas attendre. Il est face de moi pareil, s’astique la queue devant ma jolie bouche, mais cette fois je ne me fais pas avoir et je l’ouvre bien en grand.
Il a une grosse éjaculation bien chaude sur ma langue puis le reste part sur mon visage et mes cheveux, j’en ai partout.
Le sperme coule sur ma jupe noire et mon tee-shirt rose.
Ils avaient vraiment très envie.

Je vais pour me lever quand j’entends des pas sur le carrelage.
La porte est restée ouverte, l’ombre d’un homme corpulent surgit dans ma cabine, il se débraguette, derrière se trouve d’autre personne. Je comprends que je vais devoir essorer toutes les bourses pleines qui se présentent à moi.
Le costaud m’attrape par les cheveux, me force à engloutir son braquemart. Il me tire par les cheveux vers lui et je l’aide en posant mes mains sur le haut du derrière de ses cuisses. Il empoigne mes cheveux contre son ventre poilu pour que je l’engloutisse profondément. Sa réaction ne tarde pas et il m’envoie sa purée directement dans l’estomac.

Je baisse la tête pour reprendre mon souffle.
Un type plus petit se présente à moi, lui m’attrape par le cou, me l’enfonce sèchement et me baise littéralement la gueule.
Ces va-et-vient brutaux me donnent envie de gerber, mais heureusement son chibre n’est pas trop imposant.
Je le supporte, mais je me dégage pour lui bouffer ses boules gonflées, il apprécie. Je le reprends en bouche, pressent ses roubignolles et il ne se fait attendre, un déferlement de son liquides envahis mon palet. J’avale presque tout, je suis couverte d’un mélange de salive et de sperme.

Les prochains sont rentrés à trois et je les éponge à tour de rôle. Les suivants prennent le relais.
Pendant que je m’exécute sur une bite, les autres se paluchent en me regardant, m‘insulte ou commente la scène vulgairement.
J’imagine le spectacle, voire une blondinette au visage angélique taillé des pipes à la chaîne à des inconnus en avalant des tonnes de  foutres. Ca doit les rendrent dingues!
En tout cas, moi ça me rend folle. La preuve les trois jouissent, l’un après l’autre, dans ma bouche, sur mes lèvres, sur mes joues, sur mon nez, dans mes cheveux.
Je suis recouverte de foutre, ça coule dans mon cou, sur mes cuisses et ma jupe et mon tee-shirt sont maculés de salive et de sperme.

Ils sont tous sortis?

Je me lève, prend le papier pour m’essuyer, mais rien à faire, j’en ai vraiment partout.

- Lucie t’es là?

C’est  Vincent, il est avec deux autres messieurs qui ont l’air très âgés.

- Tiens cadeau! Voilà deux autres candidats!

Je les regarde, il n’est pas sérieux, il veut que je suce ces deux vieux débris?!

Les deux messieurs rentrent dans mon toilette.
Vincent a fermé la porte me laissant seul avec eux.
Ils me dévisagent avec de grands yeux, la bouche ouverte.
Les deux vieux me font pitié, alors je m’accroupis pour défaire leur braguette.
Mais le premier a déjà sorti son petit sexe tout mou.
L’autre s’est assis sur les toilettes.
Sa queue est toute molle, verte, tachée et veineuse. Je la tire de haut en bas. Je le mate, il a un filet de bave sur le coin de la bouche. L’autre vieux assis est dans le même état, le zizi à la main.
J’ai beau tirer, elle ne grossit pas. Je la goûte activement.
Il ne bande toujours pas. Je m’énerve, je le branle et je me mets à le pomper comme une cinglée en tirant dessus avec mes lèvres.
L’autre vieux s’est levé, le sexe dans ma direction, il s’astique le poireau et me demande ma bouche à son tour.
Lui par contre à l’air bien à point, car j’ai à peine posé mes lèvres qu’une épaisse liqueur amère coule le bout de son gland.
J’aspire le gluant dans un grand bruit de succion.
Epuisé, langue pendue il se rassoit sur les WC.
Je passe ma langue sur mes lèvres et me remet à bouffer l’autre mollusque. j’y vais à fond pendant plusieurs minutes.
Je le branle avec mes lèvres en tirant dessus au maximum.
Je commence à trouver le temps long, mais j’ai envie de faire cracher ce vieux vicieux.
En plus l’autre vieux c’est carrément allongé par terre, la tête sous ma jupe, il me lèche goulûment.
Je suis carrément excité et je veux boire toute la jute du vieux cochon.
Une idée perverse me traverse l’esprit.
Je rentre le petit sexe le plus au fond possible dans ma gorge, je fais passer la première couille à l’intérieur de ma joue et l’autre couille à l’intérieur de mon autre joue.
En voyant ce visage de gamine déformé par sa bite et ses couilles, le vieux se met à bander tout doucement.
Je commence à sentir son gland grossir au fond de ma gorge, je bouge ma tête de haut en bas, sa chair s’élargit encore, je me dis que je vais étouffer s’il continue, alors je bouge ma langue sur la bite et les couilles qui sont à l’intérieur de ma gueule, et dans un dernier gonflement, il crache sa jute au goût de pisse pour me remplir complètement.
J’ai les yeux exorbités, je sors de ma bouche une à une les couilles du vieux bonhomme en laissant échapper un filet de salive et de sperme sur le front de l’autre débris qui continue à me manger la chatte et le cul.

Les vieux messieurs sont partis, c’est je crois le plus beau jour de leur vie.
Vincent m’a rejoint dans le cabinet et ferme la porte.

- Alors tu t’es bien amusé?

Je lui souris, souillée des pieds à la tête.

- Bon maintenant avant de partir, il faut tout nettoyer?!

Toujours agenouillée, je le regarde sans vraiment comprendre.
Il me montre du doigt toutes les marques de sperme qui sont collées sur le carrelage.
Je vais pour attraper du papier toilette, mais il m’arrête, pousse ma tête vers le carrelage et me fait signe de le nettoyer avec ma langue!
Abasourdi par sa requête, je visualise l’état du sol, il y a des grumeaux étalés un peu partout.

- Alors quoi, qu’est ce que tu attends? lèche.

Sans réfléchir, je sors ma langue et commence à laper les grumeaux de sperme froid.
De toute façon avec toute ce que j’ai dû avaler, je ne suis plus à ça près.
Bizarrement, le fait d’être dans cette position, à quatre pattes, dans un toilette pour hommes, jouant la chienne, me procure une nouvelle excitation.

Je lèche les carreaux avec ferveur, j’y mets ma langue, mes lèvres,  ma bouche toute entière pour qu’il n’en reste plus une seule goutte.
Vincent regarde sa femme de ménage travaillée, il a sorti son pénis et se masturbe comme un dingue.
Pour me motiver encore plus, je me suis introduit un doigt dans la foufoune. Le sol est presque propre.
Vincent s’approche, relève la lunette des WC, se baisse un peu et dans un dernier coup de main sur sa queue, éclabousse son foutre sur les rebords du toilette, puis va se finir sur la cloison murale.
Après avoir fini de faire briller le sol, je comprends que mon travail n’est pas terminé.
Je me tourne vers le toilette, colle mes lèvres sur les rebords et aspire le foutre avec des bruits de succion qui résonnent à travers la cabine.
J’attaque la cloison avec ma langue. Je la fais glisser de bas en haut le long du mur, pour éviter que les gouttes ne se répandent par terre. Quand j’ai fini de récolter le tout et qu’il n‘y a plus de trace sur le mur, je fais tourner le sperme dans ma bouche, l‘ouvre pour le montrer à Vincent, puis l‘avale d‘un trait.

Je me dis que j’ai eu ma dose de sperme pour aujourd’hui et que je suis vraiment une belle Salope!

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5 - L’abandon sur l’autoroute


Ça fait cinq bonnes minutes que Vincent est parti chercher la voiture pour la garer devant les toilettes et je suis vraiment inquiète.
Je suis toujours à l’intérieur du cabinet des WC.
Je me prends la tête en pensant qu’il m’a peut-être abandonné ici, toute seule sur une aire d’autoroute.
Le pire est que je n’ose pas sortir, car même si je me suis nettoyée avec le peu de  papier hygiénique qu’il restait, mes vêtements sont totallement recouvert de foutre qui commence à sécher.

Ah j’entends quelqu’un rentré, c’est peut-être lui qui vient me chercher?
Mais non, visiblement c’est un qui est dans le cabinet d’à côté.
J’entends la chasse d’eau et les minutes passent. Toujours personne.
Bon faut que je réfléchisse, maintenant c’est clair, il m’a laissé ici, souillée de sperme et sans ma petite culotte. Quel salaud!
J’entends à nouveau des bruits, des écoulements et les chasses d’eaux des urinoirs.
Bon faut vraiment que je fasse quelque chose, je ne vais pas moisir dans des chiottes pour mec quand même!
Oh la là, mais dans quelle galère je me suis fourrée!

Une idée me vient à l‘esprit, je me dis que j’aurais plus de chances de trouver de l’aide dans les toilettes pour femme. Elle comprendrait mieux ma situation et accepterait de me raccompagner chez moi.
Ma minijupe et mon tee-shirt sont encore tout tachés, mais le sperme a séché maintenant.
J’ouvre la porte tout doucement, je ne veux pas qu’un homme me surprenne, vue la réputation de l’endroit et de tout ce que j’ai déjà reçu dans la bouche.

Je me dirige précipitamment dans le coin des toilettes pour dames sans me faire surprendre, ouf.

J’angoisse, je ne sais pas quelle heure il est, mais le jour est tombé, et la nuit ne va pas tarder.
Le temps passe, j’ai entendu des gens, mais j’ai l’impression qu’ici, il n’y a que les mecs qui vont pisser.

Ah ce moment-là! une femme surprise de me voir, rentre et se dirige vers une cabine. J’attends qu’elle finisse et quand elle ressort, je vais vers elle et lui parle de ma situation.

- Bonjour excusez-moi de vous déranger, mais j’ai un problème, je suis venue ici avec un ami, mais lui est reparti sans moi et je ne sais pas comment repartir?

C’est une femme la quarantaine passée, elle n’est pas trop mal mais à un look de pouffiasse.
Elle me toise et me dit :

- Ah bah ça c’est pas de chance ma cocotte!

- Oui, est-ce que vous pourriez m’aider, je ne sais vraiment pas quoi faire?

- Ton mec t’a planté ici, pourtant t’es sacrément mignonne.

- Merci. Je n’ai plus mes affaires sur moi, mais je vous paierais si vous voulez bien m’aider.

- Eh tu sais, tu peux tout me dire? On me l’a fait pas à moi!

- Je ne comprends pas, que voulez-vous dire?

- Arrête, ça se voit sur ta figure et même sur tes frusques!

Elle me regarde, je baisse la tête, je ne sais plus ou me mettre.

- T’es venue sucer des bites, c’est ça, non?

- Oui mais maintenant je suis toute seule, là. Il m’a laissé en plan, je ne sais pas quoi faire, s’il vous plaît?

J’insiste et je me sens monter les larmes aux yeux.

- T’inquiète pas poupée, on va te ramener, mais je te préviens je ne suis pas toute seule.

Heureuse qu’elle accepte, je la prends dans mes bras et la remercie vivement.

- Merci beaucoup, je m’appelle Lucie.

- Fanny, enchantée.

Je la suis en direction de sa voiture.

- Pourquoi il t’a lâché ton copain, tu voulais pas le sucer?

- Non, ce n’est pas mon copain, c’est un homme que je ne connais pas vraiment. En plus si, je lui est fait plaisir, je comprends pas!

- Dis donc, dis-moi tu n’as pas dû sucer que celui-là?

Je baisse le regard, sans lui répondre. On arrive à la voiture.
Elle monte du côté conducteur, il y a un homme côté passager.
Je monte à l’arrière, le bonhomme le regard ébloui par ma présence, se retourne pour me mater.

- Tiens Francis, regarde ce que je te ramène!
Le Francis n’en croit pas ses yeux de voir une petite blonde aux gros seins en mini jupe, s’asseoir dans la voiture.

Après avoir fait les présentations, la voiture démarre direction l’autoroute.
Nous roulons tranquillement. La nuit est tombé et je me sens rassuré d’avoir quitté l’aire de repos.

Francis me propose une bière. Il a un stock caché entre ses pieds.
Vu les événements passés, j’accepte volontiers.

Nous discutons brièvement de choses et d’autres.
Francis à l’œil dans le miroir du pare-soleil qui est rabaissé et ne quitte pas mes cuisses du regard. Je me pose la question, aurait-il constaté toutes ses taches ou que je ne porte rien sous ma minijupe?
Je continue à boire ma bière comme si de rien n’était, en imaginant qu’il est en train de bander.
Je repense aussi à toutes ces bites que j’ai avalées.

C’est à ce moment que Francis commence à parler de sexe.
Il parle de Fanny qui à me semble t’il sucer des queues dans les fourrées derrière la maison des toilettes de l’aire de repos!
Fanny rigole. J’hallucine!

- Et toi ma belle, alors dis-moi, t’as dû être gâtée?

Je reste interloquée aux propos que Fanny insinue sur moi devant Francis. Lui se retourne, me sourit, cligne de l’œil et me tend une autre cannette de bière.
Je prends la cannette, l’ouvre et en boit une grosse gorgée.

Pendant que Francis me complimente sur ma beauté, Fanny met sa main entre ses jambes.

- Eh ben, elle te fait de l’effet la petite chérie derrière. Tu bandes comme un cochon!
 
Moi ne savant plus où me mettre je continue à boire ma bière à grosse gorgée.

- Tiens Lucie, regarde ça, regarde dans quel état tu le mets!

Elle défait les boutons de son jean, et en sort le bout de chair dressé.
Je me sens obligée de le regarder. Elle le tient du bout des doigts, tout en conduisant.

- Alors c’est pas beau ça, ça te donne pas des envies, Hein?

J’aperçois son énorme sexe tout dur, derrière son bide poilu. C’est un homme gras d’une cinquantaine d’années, bouffi, le visage rougit par l’alcool, un regard pervers, il n’est  vraiment pas attirant, mais il a  une grosse quéquette.

Je me remets dans le fond du siège pour finir ma cannette.
Le Francis se tourne pour me contempler.
Le chibre à la main, il commence sa petite branlette.

- Montre moi tes nichons!

Il y a des fois où j’aimerais être moche, surtout en ce moment!
J’hésite une seconde, et remonte mon haut dans le creux de mes épaules. Il découvre ma belle poitrine toute ferme en forme de poire, mes tétons pointant vers lui. Il accélère le mouvement sur sa queue.

- Fais voir ta culotte, maintenant!

Merde, je peux pas faire ça, ils vont découvrir que je suis vraiment une vraie salope si j’écarte les cuisses!
Alors pour gagner du temps, je finis cul sec ma bière et lui tend ma canette vide.
Il lâche son immensité, pour en prendre une autre et me la donner.
Je prends tout mon temps pour l’ouvrir et je la bois lentement.

Fanny ralentit pour prendre une sortie pour aller chercher de l’essence. Francis à calmé ses ardeurs.
Ouf, sauvée, il était temps, je remets mon tee-shirt.
Francis fait un peu la gueule et à ranger son attirail.

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6 - En voiture avec Fanny et Francis


Fanny est descendu pour faire le plein, Francis aussi, je les vois qui parle deux minutes et Francis part visiblement faire un tour aux toilettes.
Je les attends en continuant à boire ma bière. Je me sens d’ailleurs un peu pompette. Mais dans cette situation, je préfère être un peu saoul.

Fanny est parti payer, ils reviennent tous les deux ensembles.
A mon grand étonnement, Francis ne s’installe pas du côté passager, mais derrière à côté de moi, il a racheté de la bière.

Fanny redémarre la voiture, en me regardant dans le rétroviseur.

- Ca va Lucie, vous allez vous amuser un peu, hein?

Je réponds timidement.

- Euh oui, oui…

J’ai bien peur de devoir passer à la casserole avec ce gros porc, qui ne va sûrement pas tarder à découvrir que je n’ai pas de culotte.
Je me recroqueville dans mon coin et je regarde le néant par la vitre.
On continue à rouler et je sens son regard lubrique sur mon corps. Il se rapproche.
Je me tourne, la canette de bière à la bouche.

- Tu aimes ça?

- Quoi, la bière?

- Non sucer des bites?

Je lève le cou pour ravaler un peu de bière.
Il me prend la main et la pose sur la bosse au milieu de son jean.
Je sais que je n’ai plus le choix, et je n’ai pas très envie qu’il découvre que je porte pas de dessous, alors je me baisse pour déboutonner son jean. Il soulève sa bedaine, il fait sombre, mais c’est suffisamment éclairé par les lampes de l’autoroute pour qu’il me voit le prendre en bouche.
Je sors sa grosse queue poilue, il est déjà dressé comme tout à l’heure, je tire sur son prépuce jaunâtre, découvre son gland rougi, pose mes lèvres dessus et descend vers ses balloches tout doucement.
Cet homme me dégoûte, mais là de savoir que j’ai son énorme sexe dans la bouche et que ce vieux cochon va tout me cracher dans la gueule, ça me rend hystérique.
Je me sens toute humide d’un coup.
J’attrape les bourrelets de ses hanches et je j’essaye de le garder entièrement dans ma gorge pendant quelques temps, je remonte tout doucement, puis je me mets à l’ingurgiter sauvagement. L’odeur infecte que dégage sa pine alimente mon excitation et je veux le faire dégorgé rapidement, alors je le pompe, je le pompe, jusqu’à faire toucher son gland contre ma glotte.
Il n’en peut plus, il gicle une partie de son foutre dans le fond de ma gorge, il me repousse, je me retire avec des flots de crème le long de ma bouche et il continue de m’arroser la face à grands coups de jets.

Le gros porcin, la langue pendante est tout essoufflé, il scrute mon visage barbouillé de sa semence. Je vais pour m’essuyer mais il me stop et me demande de rester dans cet état. Le sperme  se répand sur ma joue et mes lèvres dégoulinent de ce que je n‘ai pas pu absorber.

Francis ouvre une autre bière, en boit une bonne rasade.

- Tiens rince-toi la bouche!

Je prends la canette, et boit à mon tour avec le mélange de sperme toujours collés à mes lèvres.
Je ne suis pas à l’aise avec cette matière qui refroidit sur mon visage. Une belle nana comme moi avilit par ce vioc répugnant.
Je continue à boire pour oublier.

Nous reprenons une courte discussion banale, comme si de rien n‘était.
Fanny dit qu’elle doit repasser chez elle pour se changer avant d’aller à la soirée!
De quelle soirée parle t’elle?
Je lui demande si elle compte me déposer directement chez moi?
Après ce que je viens de faire à son pote, je pense que je mérite bien ça.

- Mais oui ma belle, ne t’inquiète pas, mais avant on va aller prendre un verre, on va continuer à faire la fête, tu veux bien, hein?

Je ne sais pas quoi dire sur le coup. Je ne sais pas où elle veut en venir alors je réponds par l’affirmative pour ne pas l’offusquer.

- J’habite dans le nord de Paris, on est pratiquement arrivé. Détends-toi ma chérie, on arrive bientôt!

Me détendre, j’aimerais bien l’y voir elle, le visage souillé de sperme, avec ce vieux poivrot, toujours la bite à l’air, accolé à moi la main sur mon épaule qui continue à me faire boire sa bière.

On arrive enfin chez Fanny, la porte du parking de l’immeuble s’ouvre lentement et on s’engouffre dans le souterrain.
Le parking est géant et on descend au moins deux, elle stationne à sa place et sors de la voiture.

- Ok attendez-moi là, j’en ai pas pour longtemps!

Il n’y a pratiquement pas de lumière dans ce parking et je suis un peu dégoûtée qu’elle me laisse seul avec le gros pervers toujours collé contre moi, la bière à la main.
On en a bu plusieurs depuis et je me sens ivre.
Je me détache de lui et entâmes une conversation pour faire diversion.

- Tu habites aussi dans le coin?

Il ne me répond même pas et passe une main sur un de mes nichons.
Il n’a toujours pas rangé son long sexe tout rétrécie mais qui apparemment commence à reprendre vigueur légèrement.
Je le repousse, mais il s’empare de mes deux globes pour les malaxer sous mon tee-shirt. Sa bite grossit à vue d’œil.
Il embrasse mes nibards et bouffe mes tétons. Je me sens trop saoul pour résister, je le laisse faire.
Il se relève, m’allonge brutalement sur la banquette et d’un coup rehausse ma minijupe pour écarter mes jambes.
Il n’en revient pas!

- Putain Salope, t’as même pas de culotte!

Ca le rend complètement fou de voir ma petite fente imberbe.
Il se défroque et me coince contre la banquette, écrasé par son bide, il passe ses bras sous mes cuisses pour les soulever, et me pénètre sans ménagement.
Je lâche un petit cri, quand je ressens son gland pousser pour me déchirer l‘intérieur.
Je suis bloquée par cet amas de graisse flasque qui me besogne furieusement.
Il est accroché à moi comme un coquillage sur son rocher.
J’ai ma jolie petite frimousse en face de sa sale gueule de gros vicelard.
Son poids et sa force me maintiennent, je ne peux plus bouger et j’accepte ses grands coups de queue au fond de ma minette.
Sous ses coups de butoirs, je me mets à mouiller intensément.
Maintenant il comprend que ça me plaît, alors plusieurs fois il sort sa grosse bite entièrement pour la renfoncer encore plus violemment.
Ma petite chatte serrée s’élargit de plus en plus, je ressens ses va-et-vient au plus profonds de moi.
Je vibre à chaque coup de reins, ne tenant plus, je sors ma langue au vieux sadique, on s’embrasse baveusement.
Un de mes nombreux cris de douleur et de jouissance étouffé par la bave de nos bouches collées, le font réagir, une sensation de chaleur liquide envahit l’intérieur de mon ventre, j’hurle de plaisir.

Le vieux salaud à tout éjaculer au fond de ma chatte.
Il m’a violée, mais bon j’ai adoré!

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7 - Soupçon de souvenir


Fanny arrive juste au moment où l’on a fini de se rhabiller.
Elle porte un sac avec des bouteilles dedans.
Francis est descendu, il récupère les bouteilles pour se rasseoir devant.
La voiture démarre, on remonte le parking pour sortir, puis elle s’engage dans une rue.

- Alors les amoureux, pas trop fait de bêtise?

Francis se marre, mais ne dit rien.
Fanny dit ça au moment où ne pouvant plus me retenir, le sperme de Francis dégouline de ma chatte et se répand sur le siège.
Je l’étale un peu avec mes cuisses, mais comme il y a de grosse flopée, je le récupère discrètement avec mes doigts.

Tous les deux discutent de la direction à prendre pour rejoindre la soirée.

Moi pendant ce temps là, du foutre plein les doigts, ma chatte toujours en train de couler,  je me demande ou je vais bien pouvoir le mettre, ma jupe et mon tee-shirt doivent rester sec pour aller à cette soirée.

Francis ouvre une bouteille de whisky et commence à boire au goulot!

Ne savant pas trop où étaler cette substance, je porte les doigts à ma bouche discrètement. J’effectue plusieurs aller retour de ma chatte à ma bouche pour bien me la remplir.
Au même moment Francis me tend la bouteille de whisky, ayant la bouche pleine et ne pouvant pas lui répondre, je l’attrape avec ma main propre et en boit une rasade pour faire passer le tout!

- Ah t’aime bien picoler toi aussi, hein?

- Wouah c’est fort, je préfère avec du coca!

- Mais non vas-y c’est meilleur comme ça, faut s’habituer c’est tout!

Je reprends plusieurs gorgées et lui rend sa bouteille, j’ai la tête qui me tourne et m‘enfonce dans la banquette.

Je me sens complètement saoul, je comate pendant tout le trajet.
Je n’entends plus rien autour de moi, à part de temps en temps le rire de Francis et de Fanny.
Je ne dors pas vraiment, mais après toutes ses émotions, je me sens éreinter de fatigue.

On est arrivé à destination, et j’ai du mal à me réveiller, je suis toujours dans le coltar.
J’entends les portes claquées, ma portière s’ouvre, je vois Francis me secouer.
Il m’attrape, me sort de la voiture, met mon bras autour de son épaule et me prend par la taille pour que j’avance en même temps que lui.
Je me laisse guider par Francis, on rentre dans un immeuble pour monter des escaliers et je me laisse porter pour grimper les marches en retombant dans un sommeil précaire...»

Bon, c’est pas tout mais j’ai une autre journée pour repenser à tout ça demain, allez au dodo.

Je mets mon réveil sur mon téléphone portable que j’ai rechargé pour demain matin, défait le canapé lit, m’engouffre dans les draps, j’éteint la lumière et me souhaite une bonne nuit.

Je vais pour fermer les yeux quand mon téléphone se met à sonner!

Il est vrai que j’avais vu que ma messagerie contenait plusieurs messages, mais je n’avais pas eu le courage de les écouter.
Ca devait être ma mère qui s’inquiétait?
Je prend le téléphone et finalement décroche.
- Allo oui maman!
- …
- Oui oui ça va.
- …
- Non ne t’inquiète pas, j’étais juste chez Nicolas, Hier.
- …
- Non mais je suis au lit, là! J’allais m’endormir.
- …
- Bon ok!
- …
- Ok à demain.
- …
- D’accord, moi aussi, bisous.

Le lendemain, je me prépare pour aller en cours.
J’envoie un sms à Ludivine pour qu’elle m’attende avant la classe.
J’habite au cinquième étage et mes parents au quatrième.
Je passe prendre le petit déjeuner avec eux pratiquement tout les matins. C’est pour cela qu’ils se sont inquiétés hier.
J’ai ma clef pour rentrer chez eux, et je les rejoint à la cuisine.
On prend notre café ensemble et je les rassure en leur expliquant que j’ai passé la nuit chez Nico.
Mes parents pensent que c’est mon petit copain, mais en fait, c’est juste un ami.
Les voilà rassurés. Je fini ma tasse de café et file retrouver Ludivine.

Ludi, c’est ma meilleur amie et je lui raconte pratiquement toutes mes histoires. On s’entend super bien mais elle n’est pas autant délurée que moi.
On fait partit des plus belles nana de l’école, et on se marre bien à faire bisquer les mecs.
Elle, c’est une belle fille châtain avec des reflets miel, les yeux gris-vert, une poitrine plus que généreuse, une paire de jambe élancée avec un beau ptit cul bien rond aussi ferme que le mien.
On sait bien que tout les mecs nous veulent dans leur lit.
Elle sait que je suis plus fofolle qu’elle, mais elle m’adore et elle ferait n’importe quoi pour moi.

J’ai pris le bus pour arriver à l’école, je suis en avance, mais Ludivine est déjà là, elle m’attend.
Elle me dit qu’elle a essayé de me joindre au téléphone plusieurs fois hier, mais que je ne répondais pas.
Je n’ai pas vraiment envie de lui raconter tout ce qui m’est arrivé, alors j’invente un bobard.
Je lui explique que j’ai passé la journée avec un homme et que je n’avais plus de batterie. Ludi veut en savoir un peu plus, alors je lui explique que l’on a couché ensemble et que je suis resté chez lui.
Elle n’en revient pas et j’invente quelques détails pour créditer mon discours.
C’est l’heure d’aller en cours, elle me demande si je vais le revoir, je lui répond que non.

La journée à passé, je quitte Ludivine et reprend le bus pour rentrer à la maison.

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8 - Malika au Bois de Boulogne


Les beaux jours sont arrivés, le début de l’été ne va pas tarder et les filles s’habillent de plus en plus court.
Les semaines ont passés, nous n’avons pratiquement plus de cours, on ne révise même plus et je passe le plus clair de mon temps à battre le pavé avec mes copines.

Aujourd’hui, je suis au Bois de Boulogne avec Ludivine, Elodie et Malika.
Ludivine est ma meilleure amie, son visage mutin et ses longs cheveux châtains lui donne une élégance naturelle dans un corps parfait.
Elodie c’est un peu ma concurrente physiquement, blonde, yeux noisette, grosse poitrine, grande gueule et une vrai tête de cochonne.
Malika, c’est la jeune beurette introvertie avec ses yeux de chat, ses lèvres charnue, c’est une belle brune, cheveux ondulée, d’apparence mince mais avec des courbes de méditerranéenne.

Elles ont un rencart avec deux garçons rencontrés récemment.
Elles m’ont demandées de les accompagner pour me les présenter.

Benjamin et Kevin sont très sympa, mais un peu gamin à mon goût. On passe l’après-midi à rigoler de leurs sottises.
Sentant une affinité entre Elodie, Ludivine et les deux garçons, je propose à Malika d’aller se balader autour du lac.
C’est une fille un peu timide et elle accepte volontiers de laisser les autres dans leur complicité.

Sur le chemin, elle me parle de sa famille et de son environnement qui l’étouffe. Elle me dit qu’elle n’ose pas s’habiller comme nous, mettre des jupes, se maquiller, s’amuser et c’est pour cela qu’elle me dit qu’elle est réservée. Entre sa famille et sa religion, on ne l’a laisse rien faire et elle me dit qu’elle en a vraiment marre.

- Tu comprend Lucie, en plus t’imagine je ne suis jamais sortis avec un mec…

- Quoi? Tu veux me dire que t’as jamais embrassé un garçon?!

- Ben non, j’ai dix huit ans et je n’ai jamais embrassé un mec!

J’essaye de la comprendre et de connaître ses envies, de savoir si ça lui plairait?
Elle m’avoue qu’elle fantasme sur des mecs et qu’elle se masturbe régulièrement dans sa chambre en regardant des films pornos.
Je la rassure, je lui dit que c’est normal et qu’il faudrait qu’elle fasse le premier pas, qu‘elle rencontre un mec juste comme ça, pour le plaisir, elle se libèrerait.
Après avoir marcher le long du lac, on s’installe sur une petit coin de pelouse tranquille à l’abri des regards.
Je m’allonge, Malika observe mon corps, ma poitrine moulée dans un body marron, mes jambes nues sous mon mini-short kaki.

- T’es vraiment très belle Lucie.

Je relève la tête. Elle est habillée plutôt classique, pantalon noir et chemise à rayure, c’est pas super sexy, mais son regard de coquine ne laisse personne indifférent.

- Merci. Tu veux que je t’apprenne à embrasser?!

Elle baisse le regard et sourit, j’attrape son menton du bout des doigts et pose mes lèvres contre les siennes et lui roule un patin langoureusement. Elle vient se coller à moi, elle est nerveuse et tourne sa langue maladroitement dans ma bouche, je me laisse faire, je pose ma main entre ses fesses.
Je retire ma bouche pour venir l’embrasser dans le cou, sous l’oreille, son souffle s’accélère alors j’appuis mes doigts sur son pantalon. Elle se mets à me caresser les seins qui sortent à peine de mon body
Je ne suis pas particulièrement attiré par les femmes, mais l’innocence de Malika m’émeut, j’ouvre tous les boutons de son pantalon et passe ma main dans sa culotte pour faire tournoyer mon majeur sur son clitoris.
Je lui titille le lobbe de l’oreille et enfonce mon doigt dans sa chatte trempée. Malika dégouline, Malika  jouit dans un cri inaudible.

Elle ouvre les yeux et se relève surprise, un bonhomme passe doucement son chemin en nous observant.
Gênée, on s’en va dans la direction opposée vers le bois.

- Ca t’as plu?

- Oui bien sûr, mais Lucie je voudrais pas que tu pense que je suis lesbienne. Seulement j’ai regardé des films quelques fois avec des filles qui… enfin tu vois?!

- Oui, non mais rassure toi, moi c’est pareil, et j’adore trop les bites pour devenir gouine!

- Les bites?!

- Oui t’as jamais eu envie de sucer une bite?

- Si, si, souvent, mais j’ai jamais vraiment eu l’occasion de le faire.
Et toi, ça t’es déjà arrivée?

- Moi tu rigole, je raffole de ça, j’adore même avaler tout le sperme!

- Mais c’est pas dégueulasse?!

- Non moi j’aime l’avaler, mais t’es pas obligée, tu peux recracher si t’aime pas. Tu veux pas essayer?

Je lui explique qu’elle est super mignonne, jeune, fraîche et que tous les hommes rêveraient de jouir dans sa bouche et qu’il n’y a qu’à se baisser pour les ramasser.
Elle semble intriguée et me demande comment elle doit s’y prendre. Je lui dit que le plus important est que le mec ne doit pas sentir ses dents, qu’elle doit ouvrir grand la bouche, de bien faire glisser ses lèvres et de jouer un peu avec la langue et que le reste vient en pratiquant.

En quête d’une proie pour Malika sur un petit chemin boisé, je n’aperçois que des sportifs qui courent à plusieurs ou des cyclistes qui tracent la route.

- Il n’y a pas grand monde dans ce coin là?

- Oui c’est vrai, on retourne vers le lac.

Sur le chemin du retour, face à nous on remarque une silhouette au loin.

- Tiens regarde Malika, le bonhomme qui arrive là-bas, tu veux pas le sucer?

- Je sais pas, c’est vrai que ce que tu m’as dit me donne envie de goûter, mais j’ai un peu la trouille quand même.

- Mais non ne t’inquiète pas, tu vas adorer ça, fais moi confiance!

La silhouette se rapproche sur ce chemin sombre qui laisse transparaître quelques rayons de soleil.
Malika s’affole de savoir qu’elle va peut-être subir sa première fellation.
L’homme de loin marche tranquillement dans notre direction, il n’a pas l’air tout jeune, il à l’air grassouillet, il porte un jean, une veste à poche sans manche beige et des lunettes tamisées, le prototype du parfait sadique du bois.
Malika reconnaît le bonhomme qui nous à surpris tout à l’heure, elle me dit qu’il n’a pas l’air terrible, je lui répond pour la détendre qu’il en à peut-être une grosse, que vue son genre, il doit sûrement avoir les bourses pleines et qu’elle va se faire asperger la gueule.
Elle se marre mais semble terroriser de croiser ce type devant elle.

- Malika, quand il arrive, tu lui demande où se trouve le grand lac, ok?

- Je sais pas, il me fait un peu flipper, en plus regarde c’est un vieux. On dirait un gros porc!

A quelques dizaines de mètres devant nous, le vieux quitte le sentier et rentre dans le bois.
Malika me demande ce qu’il fait, je lui répond que j’en sais rien.

Arrivé à l’endroit où le bonhomme à tourné, on constate qu’il est toujours là, dans les fourrés, tourné contre un arbre, le sexe dans la main, nous regardant passer.
Malika veut tracer, mais je m’arrête sur le chemin au niveau de l’homme des bois et dit à Malika de venir.
Le vieux porc à tourner sa queue vers nous maintenant, en nous faisant un signe de la tête de le rejoindre.

- Allez vas-y, met toi à genoux devant lui et suce le. Regarde, je te l’avais bien dit, il n’attend que ça.

Voyant notre réaction sans prendre nos jambes à nos cou, le gros porc s’approche pour se masturber de plus près, puis à nous inviter derrière les fourrés.

Je prends Malika part les épaules pour aller nous cacher avec le vieux pervers tout souriant, content d‘avoir trouvé deux magnifiques petites salopes pour lui sucer sa grosse bite.

Une fois planqué, Malika qui bloque sur l’énormité du monsieur, n’hésite pas s’agenouiller devant lui pour venir timidement lui lécher le bout de la queue avec sa langue, ce qui a pour effet au vioc de faire baisser son froc à ses pieds.
Je me place à son niveau pour la voir engloutir doucement la grosse bite du vieux sadique.
La gueule de ma copine vierge, une grosse queue poilue enfoncer entièrement dans la bouche, provoque chez moi une nouvelle sensation de voyeurisme et j’en mouille mon string.
Je me mets à lécher les roubignolles dures comme du béton du vieux bonhomme, pendant que Malika, la bouche grande ouverte effectue un va et vient prudent avec ses lèvres sensuelles.

Le gros cochon n’en revient pas de voir deux petits canons, une blonde et une brune se défouler sur sa queue et ses couilles.
Malika aime ça, j‘entend des petits cris de plaisir, elle le prend en main et le branle énergiquement dans sa bouche, je vois qu’elle apprend vite.
J’ai passer ma main dans la fente de mon mini-short , voir Malika la petite sage dévorer cette sale bite, m’a rendu toute mouillée.
Je décroche mes lèvres des balloches du vilain pervers, pour incruster ma bouche entre ses cuisses, remonter parmi les poils jusqu’à son fessier graisseux pour pouvoir introduire ma langue à l’intérieur de son cul immonde.
Il ne pourra pas tenir bien longtemps, la langue d’une mignonnette blonde nettoyant son trou du cul avec la bouche de sangsue d’une superbe beurette encore vierge, il a de quoi devenir fou.
Ca y est, Il maintient le crâne de Malika sur sa pine et lui éjacule tout dans le gosier, je redescends vite mordiller ses couilles avec mes lèvres pour bien faire sortir tout son jus de porc, j’ai l’impression qu’il projète des litres de foutre dans la gueule de la beurette.
Complètement ahuri, les yeux sortant des orbites, toujours la queue du vieux dégueulasse au fond de la gorge et malgré les longues coulées de sperme débordantes de sa mâchoire, elle n’a pas d’autre choix que d’avaler.
J’observe scrupuleusement Malika vomir du sperme, moi pressant fermement les testicules du pervers que je veux vider jusqu’à la dernière goutte.
La beurette, le regard toujours exorbité, écoeuré de toutes ses rafales de foutre qu’elle doit ingurgiter, comprend qu‘elle doit finir de tout bouffer jusqu’à la dernière ration de bouillon crémeux.

Il finit par la lâcher enfin, je me précipite sur sa bouche avec ma langue pour récupérer les relents de sperme qui dégobille de son estomac.
Le vieux porc me regarde lécher et aspirer sa jute qui ressort de la gorge de ma copine éberluée et me dit:

- Désolé beauté, mais là, je crois qu’tu m’a tout vidé!

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9 - A propos d’Elodie


Ces derniers temps, je suis resté sage.
La dernière aventure qui me soit arrivé était avec Malika au bois de Boulogne.
Cette expérience nous a rapproché, elle s’est un peu dévergondé et pense beaucoup au sexe maintenant.
Moi de mon côté, je m’inquiète un peu, car depuis l’épisode sur l’aire d’autoroute avec Vincent, je n’ai plus reçue de nouvelle de sa part.

Mon portable sonne, c’est Ludivine. Elle me propose de passer chez elle pour discuter et écouter le dernière album qu‘elle vient d‘acheter. Elle habite pas tout près de chez moi mais je la rejoint chez elle.

Je sonne à la porte et tombe sur son père.

- Bonjour Mr Marshall.

- Voyons entre Lucie, et tu peux m’appeler Michel tu sais.

- Oui, merci. Ludivine m’a téléphoné…

- Oui, oui, vas-y, elle t’attend dans sa chambre.
- Ok alors j’y vais… Michel, merci.

Ludi est sur son lit avec ses écouteur, la musique à fond dans ses oreilles. Elle me voit, me fait la bise, et on discute de tout et de rien allongé sur son lit.
Je la sens angoissée et lui demande ce qui ne va pas?

- bah tu sais, Benjamin… Il m’a lâché pour se taper Elodie.

- Ah bon, mais je croyais que vous étiez bien ensemble, tous les deux?

Elle me raconte qu’en fait, Elodie s’est tapé Kévin et benjamin qui était devenu son petit copain.
Que Benjamin l’avait jeté parce qu’elle ne voulait pas coucher avec lui.

- Mais il te plaisait Benjamin, pourquoi t’as pas voulu?

- Ben, je voulais te le dire depuis longtemps, mais tu le garde pour toi… Bah en fait, je t’es toujours menti… J’ai jamais baisé avec un mec, voilà!

J’en crois pas mes oreilles, elle qui se vantait de coucher avec tout les mecs avec qui elle était sorti, me raconte qu’elle n’a même jamais sucer une queue, elle me dit qu’elle n’a connu que le touche-pipi avec les garçons, j’hallucine!

Je ne sais pas trop comment prendre ce mensonge, Ludivine gênée, me narre les exploits de Élodie pour combler le blanc entre nous :
 
« Benjamin m’a expliqué que Kevin qui baisait avec Elo, lui aurait dit que c’était une grosse cochonne et qu‘on pouvait tout lui faire.
Il paraît qu’elle a trouvé une place de stagiaire dans une boîte de pub pour deux mois cette été.
Elle s’est présenté en robe moulante à l’entretien, tu l’imagine avec sa gueule de petite pute et ses gros nibards. Elle voulait absolument le poste pour la formation qu’elle doit poursuivre après.

Le boss l’a convoquée dans son bureau et lui aurait demandé ce qu’elle savait faire?
Elle a répondu, rien mais vous ne me trouvez pas jolie?
Le patron en bavait qu’en il la regardait.

- Si, si vous êtes ravissante au contraire.

- Ah bien, donc vous pensez que je pourrais vous être utile à quelque chose, alors?

- Oui certainement, une belle fille comme vous ne peut que valoriser l’image de notre société.

- Merci monsieur, c’est très gentil. Je peux commencer quand?

Le patron se lève de son bureau, et se plante debout devant Elodie assise, la braguette du directeur à la hauteur de son nez, les mains sur les hanches de sa chemise.

- Tu peux faire un essai tout de suite si tu veux?

La bouche vorace a déjà sorti l’engin du patron, et exécute un aller retour sur toute sa longueur.
L’homme se laisse faire en plongeant ses mains dans le décolleté de la robe moulante pour en sortir les deux obus compressés.
Le boss sort sa trique dressée des lèvres de la jeune blonde pour venir la placer entre ses mamelons.
Elodie fixe son dirigeant et le branle prestement avec ses seins.
Après avoir défié le regard de son chef, elle baisse son cou, la langue tirée, le bout des lèvres attirées par la tête du gland qui rentre et ressort de sa poitrine.
Une fontaine grumeleuse jaillit sur sa langue, dans ses lèvres, sur son nez, son front, son cou, pour venir se répandre entre ses mamelles et couler dans son décolleté.

- Bon travail, tu commence demain matin. »

Ludivine continue à me raconter en quoi consiste le nouveau stage d’Elodie.

- Il paraît que depuis, elle travaille presque tous les jours et accompagne le patron de la boîte partout où il va.
Kévin a dit à Benjamin, que son boulot de stagiaire, consiste seulement a sucer la bite de son patron quand il en a envie, c’est tout!
T’imagine, Elodie doit le pomper, matin, midi et soir!

Le matin, dès qu‘elle arrive, en guise de bonjour au directeur, elle doit s’accroupir sous le bureau, défaire sa braguette, le décrasser avec sa bouche et faire dégorger le trop plein de couille en avalant tout son sperme, et ça même s‘il est au téléphone.

Tu vas me dire, c’est son actimel du matin!

Le midi, il vont dans un restaurant avec un salon privé.
Mais elle ne mange pas avec lui. Le PDG déjeune tout seul à sa table, sa petite stagiaire blonde sous la table cachée sous une longue nappe. Pendant que monsieur déguste, Elodie doit lui suçoter la queue durant le repas.
Elle suçote lentement jusqu’à la fin du dessert. Quand monsieur à fini et qu‘il s’essuie les mains dans ses cheveux, c’est le signal où elle doit lui bouffer la bite pour se délecter les babines de son digestif crémeux.

Drôle de façon de faire un régime, tu ne crois pas!

En fin de journée, c’est les heures où le directeur donne les rendez-vous avec ses clients VIP.
Elodie doit assister à toutes les réunions importantes.
Ce jour là, il a rendez-vous avec quatre japonais pour décrocher un très beau contrat.
Il demande à Elodie de préparer la salle de réunion pour l’occasion.

La salle est super classe, moquette beige épaisse, fauteuils gris en cuir capitonnés et une grande table en verre transparente.
Les hôtes arrivent et s’installent dans les fauteuils. Le dirigeant commence son speach et fait signe à Elodie de se mettre en place pour débuter son job.
Elle passe sous la table, à la vu de tous les clients qui la voit débraguetter le premier japonais sous la table de verre.
Son patron continue son discours comme si de rien n’était.
Elodie la tête dans le pantalon du jap, branle l’asticot dans sa bouche qui ne tarde pas à gicler en voyant cette jeune secrétaire blonde aspirer tout son nectar putride.
Le deuxième en a une plus grosse et elle le pompe avec empressement, un flux mousseux envahit alors sa gorge.
Le troisième est tout veineux, Elodie les lèvres dans le caleçon en éjecte tout le sirop abjecte dans le lointain de sa bouche.
Le dernier a sorti son instrument, elle le dévore pressée d’en finir, le japonais triche et profite de cette chevelure blonde lui tailler une bonne pipe. Elodie veut le faire jouir, alors elle englobe carrément la grandeur du sexe, sort le reste du bout de langue qui peut sortir de sa bouche pour venir léchouiller les testicules qui viennent exploser dans le tréfonds de sa gorge.

Le plus difficile dans son boulot, c’est qu’elle est obligée de tout avaler pour ne pas tâcher les clients, non!

Wotan's-wunderbare-Wichsvorlagen-6-14

10 - La chambre de Ludivine            


On change de conversation car le récit de Ludivine sur les péripéties d’Elodie commence à me démanger l’entrejambe. Le fait de savoir qu’Elo suce des bites à longueur de journée, me donne des envies de faire un stage moi aussi.

Ludi me fait écouter le cd qu’elle a acheter.
Moi, je me suis payé de nouveaux dessous et je compte les lui montrer.
Je me déshabille  pour lui demander ce qu’elle en pense.
Elle me regarde avec attention, j’enlève mes tennis, mon jean et mon sweat.

- Ouaw, c’est super sexy, t’es vraiment trop bonne comme ça! Attend regarde moi ce que j’ai mis aujourd’hui…

On se mate dans le miroir de son armoire, je porte une guêpière-bustier transparente violette qui dévoile tout mon buste, mon cul, ma chatte et ma grosse poitrine. Ludi a mis un mini shorty rose fushia assortie avec son soutien-gorge qui lui va à ravir.

- Huumm… mais tu sais que t’es pas mal non plus, je crois que si j‘étais un mec, là, tu me foutrais la gaule!

On se met à se caresser pour rigoler, puis je lui demande de tout enlever pour apprécier ses formes.
Ludi retire son soutien-gorge pendant que j’enlève ma guêpière et que je me fou à poil.
C’est la première fois que l’on s’observe et se touche de cette manière.
On se pelote mutuellement les seins, une tâche liquide apparaît au milieu de son mini shorty rose fushia, Ludivine mouille!
Je la pousse sur son petit lit d’une place et me couche sur elle, mes gros seins écrasés contre les siens, je la trouve vraiment très belle, mon visage au dessus du sien, je lui caresse les cheveux, son regard de coquine ne tenant plus, elle m’embrasse à pleine bouche.
Les lèvres collées, nos langues se croisent et se recroisent, je lui embrasse le cou et descends pour lui malaxer les seins, je prends un de ses nichons dans ma bouche pour lui  bouffer le téton, je le relâche, puis passe à l‘autre téton.
Ludi m’excite terriblement la culotte mouillée, mais je décide de le lui enlever, elle est toute trempée et se laisse faire sans rien dire, alors j’en profite pour lui écarter les cuisses et venir poser mes lèvres sur son minou tout doux.
Je me fraye un passage avec ma langue et lèche sa jute qui dégouline, son cul vibre sous l’émotion et elle balance ses jambes en l’air.
Ma copine dans cette position, sa petite minette vierge offerte à mes lèvres, mes mains agrippées à ses nichons me rende complètement folle.
J’enfonce ma langue au plus profond de son intimité pour baiser sa chatte grande ouverte.
Ludi ne se contrôle plus, un long cri de jouissance suivie de jet de saveur féminin viennent se mélanger à ma salive.
Je relève la tête pour écouter si son père nous à entendu, mais, semble t’il que non?
Ludi a reposée ses jambes sur le lit, elle me sourit, je passe ma langue sur mes lèvres pour les nettoyer de la cyprine de ma copine, je me mets à genoux sur le lit et change de position.
J’écarte une de ses jambes en l‘air, fais glisser mes cuisses entre ses cuisses pour venir toucher sa petite moule baveuse contre ma toison imberbe, nos petites chattes s’entrechoquent dans un mouvement de frotti-frotta, on se regarde bestialement en poussant des petits cris de forte respiration, nos chattes gluantes encastrées l’une dans l’autre se frottent maintenant sauvagement et l’on mouille abondamment jusqu’à connaître l’orgasme suprême dans un hurlement de jouissance intérieure.

On s’allonge sur son petit lit étroit nue l’un contre l’autre pour nous reprendre de nos émotions.

- Ludi j’aimerais savoir pourquoi t’as jamais couché avec un mec? T’avais l’air si heureuse de me parler de tes  fausses relations sexuelles?

- Bah, je pense que j’attend de trouver le bon mec c’est pour ça… et je pense pas encore l’avoir trouvé.

Je me sens un peu fatiguée, Ludi change de culotte et passe un tee-shirt, je me relève pour me rhabiller.

- Mais ta mère n’est pas là, aujourd’hui?

- Non, y’a que mon père, ma mère est en déplacement toute la semaine pour son boulot.

J’ai à peine remis ma guêpière-bustier transparente, que la porte de la chambre s’ouvre! 

Le père de Ludivine est entré dans la chambre et reste abasourdi en me voyant dans cette tenue.
Moi gênée de le voir, je cache ma poitrine, mais son regard reste bloqué sur le tissu transparent de mon bas ventre encore humide.

- Bah papa, dis donc, tu pourrais frapper avant d’entrer!

Il reste planté là, ahuri, puis me demande si je veux rester dîner avec eux.
Je regarde Ludi qui trouve que c’est une bonne idée et qui insiste pour que je reste. J’accepte avec grand plaisir, de toute façon ça tombe bien car je n‘ai plus rien dans mon frigo et mes parents sortent ce soir.
Il continue de me reluquer pour dire à Ludi qu’il va à la cuisine préparer le dîner et qu’il n’en a pas pour longtemps. Je me tourne pour masqué ma petite minette de son regard vicieux et il ferme la porte doucement pour avoir le temps de bien apprécier la raie de mon postérieur.

- Hahaha, je crois que t’as tapé dans l’œil de mon paternel, Lucie!

Je reste dans la chambre à écouter de la musique et a survoler un bouquin, Ludivine est partit prendre sa douche.

Trente minutes plus tard, on passe à table.
Mr Marshall, nous à préparé ses hamburgers maison.
Ils sont excellent et on les dévorent avec Ludi.
On discutent d’un peu de tout, de nous, de l’actualité.
Michel est vraiment très sympa malgré son regard de vicelard. Il est assez bel homme, la cinquantaine passé, grand, costaud, les cheveux mi-long grisonnant pas trop dégarnis pour son âge.
Il me dit qu’il n’a jamais fumé et s’entretient en faisant du sport tous les jours.
Je le félicite et me dit intérieurement, que si c’était pas le père de Ludivine, je me laisserais bien tenté.
Le dessert arrive, un tiramisu. Pour rigoler Michel nous raconte qu’il la préparé lui-même, mais Ludi ne le crois pas et lui balance que c’est sa mère qu’il a acheté au rayon surgelé. Il me font rire à les voir se chamailler.

- Dites moi toutes les deux, vous aviez bien l’air de vous amuser dans la chambre cet après-midi?

On se regarde interloquée! Ludi lui raconte que si c’était au sujet des petits cris qu’il a dû sûrement entendre, que c’était seulement pour imiter une scène d’orgasme dans le film «Quand Harry rencontre Sally». Elle explique l’histoire du film à son père pour faire diversion et pour qu’il arrête de poser des questions idiotes. Quelle sacrée menteuse!

 


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                              bravbitt@ymail.com

Par Brav Bitt - Publié dans : jeune avec vieux
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Dimanche 3 juillet 7 03 /07 /Juil 20:46

11 - La grande salle de bain


Après avoir refait le monde et bien rigoler, il faut que je rentre chez moi. Je n’ai pas trop le courage, mais il se fait tard et je dois bientôt y aller.

- Bah pourquoi, dis-nous t’es pas bien là avec nous?
Tu peux rester dormir ici, je te prépare le canapé si tu veux?

Le père de ludivine insiste pour que je reste et Ludi me propose de me prêter une chemise de nuit.
C’est vrai qu’après tout je n’ai rien de spécial à faire demain et je me sens bien avec eux, je cède et demande à Michel si je peux prendre une douche.

- Bien sûr ma chérie, je te prépare le canapé et je t’apporte une serviette, vas-y!

C’est vrai que l’appartement est sympa, grand, lumineux, une décoration sobre.
L’entrée est composée d’un petit couloir qui mène au salon, il y a le coin canapé avec une télé plasma dans l‘angle de la pièce, en face une autre pièce ouverte fait place à la cuisine et sur la droite, un petit couloir qui doit sûrement débouché dans la chambre des parents.
Sur le côté gauche du salon, un long couloir mène à la salle de bain et aux toilettes et tout au bout la petite chambre de Ludivine, qui se trouve à l‘opposé de celle de ses parents.

J’accompagne Ludi dans sa chambre pour qu’elle me prête quelque chose à me mettre pour dormir.
Elle me dit qu’elle est crevée et qu’elle va se coucher. Elle me précise aussi de faire comme si j’étais chez moi.
Ludi me donne la chemise de nuit blanche avec des motifs pastels et me fait un bisous pour me souhaiter une bonne nuit.

Je la laisse pour rejoindre la salle de bain qui n‘est pas très grande, juste une place pour le lavabo et la douche. J’enlève mon jean et mon pull, je me retrouve en dessous sexy violet et m’aperçois qu’il n’y a pas de serviette pour m’essuyer. J’attends, Michel m’a dit qu’il allait m’en ramener une je crois?
J’entends des pas sur la moquette, il a retiré ses chaussures, il s’arrête devant la porte et me demande de sortir en chuchotant?!
Surprise par sa requête, j’entrouvre la porte.

- Viens, c’est pas celle-là, il y a une autre salle de bain beaucoup plus grande… suis moi.

Je sors pour le suivre, confuse de me retrouver encore devant lui dans ma guêpière translucide. Je cache mon sexe de ma main et ma poitrine de mon bras.
Il semble frustré de me voir me couvrir et me demande d‘avancer dans le couloir.
Ah voilà, j’ai compris son petit jeu, il veut pouvoir reluquer mon fessier quand je marche.
Je n’ose pas le contredire, et puisqu’il veut voir et bien il va me voir. Je passe devant et je m’amuse à l’échauffer en roulant bien du cul, je me retourne niaisement pour lui demander si c’est par là.
Les yeux grand ouvert, il ne quitte pas la forme de mes fesses sous la matière de cette culotte qui ne cache rien et qui rentre dans ma raie.
Je me marre intérieurement, ça doit lui faire un drôle d’effet de voir le beau petit cul de la copine de sa fille se balancer à moitié à poil au milieu de son appartement.

La grande salle de bain se trouve de l’autre côté du salon dans l’autre couloir en face de sa chambre. Je le remercie
mais il entre dans la salle de bain avec moi pour faire semblant de chercher une serviette dans un placard, je le sens nerveux, il a bien préparé son coup.
La salle de bain est immense comparée à l’autre, sur tout le côté il y a une grande tablette blanche avec un lavabo incorporé dedans, contre le mur du fond une baignoire séparée par des portes vitrées opaques et un cabinet de toilette dans un coin.
Je passe mes mains dans le dos pour défaire ma guêpière, Michel pose la serviette sur la tablette.

- Euh, tu veux peut-être que je t’aide à l’enlever?

- Oui je veux bien, c’est gentil!

Michel se place derrière moi pour dégrafer la guêpière, ça me rend toute chose de le voir faire ça dans le miroir en face de nous.
Je me penche un peu contre le lavabo pour faire semblant de l’aider et j’en profite pour venir faire toucher ma paire de fesse contre le bas-ventre de son pantalon.
Je le voit qui prend tout son temps, il mate mon opulente poitrine dans le reflet de la glace et se frotte discrètement contre moi.
J’y crois pas que le père de ma meilleure amie à des envies de me sauter, car je sens bien son érection sur mon derrière maintenant.
Je me retourne quand il a fini et le remercie.

- C’est vrai que c’est très jolie sur toi, mais pas bien évident à retirer.

Une grosse bosse ressort de l’intérieur de son pantalon, je l’ai mis dans un état pas possible. J’attends qu’il sorte pour retirer ma guêpière, mais il reste là comme un con à me dévisager.
De le voir comme ça, bandé comme un phoque me donne l’envie soudaine d’enlever mes dessous et je me retrouve toute nue comme un vers. J’attrape la forme de mes seins fermes pour les relever vers lui et fixer la trique de son pantalon.

- Michel, j’ai l’impression que je vous fait de l’effet?  

Le fait de voir une jolie blondinette totalement dévêtu dans sa salle de bain fait encore grossir sa bosse, je suis complètement folle, mais cette situation me donne envie de ressentir sa trique dans mon intérieur.
Moi la copine de sa fille, à poil devant lui me caressant les nichons pour le provoquer.

Son regard ne trompe pas, il veut me sauter, alors il ferme la porte.
Dans un temps éclair, Michel défait sa ceinture précipitamment, baisse son pantalon avec son slip et fait sauter les boutons de sa chemise en retirant ses pieds prisonniers de son pantalon.
Je bloque sur sa queue dressée vers moi, je me rends compte que je ne peux plus faire marche arrière et oublie totalement Ludivine, j’ai envie que son père me pénètre et me baise comme une grosse salope.

Michel se colle contre moi, m’attrape par la taille, enfonce sa langue dans ma bouche.
Pendant que l’on mélange nos salives, il me soulève par les hanches pour poser mes fesses contre le rebord de la tablette.
Ensuite, je sens son sexe tendu à l’entrée de ma petite fente, il m’embrasse dans le cou et m’écarte les cuisses.
Je mouille tellement que sa bite me remplit d’un seul coup.
Il passe ses bras sous mes cuisses et je l’attrape par le cou pour bien ressentir son matraquage.
Sous ses yeux, mes nichons se balance à chaque coups de reins envoyés dans ma chatte. Je pousse des petits cris et prie pour que Ludivine ne m’entende pas me faire troncher par son papa.
Il veut tellement s’enfoncer en moi, qu’il me soulève de la tablette et me porte verticalement en lui, j’admire la force de son corps musclé me pilonné les entrailles. Les jambes encerclées autour de lui, il me déchire profondément la chatte, debout.
Au moment où je sens que je vais jouir intensément, il déverse en moi une pluie de feu qui m’oblige à lui mordre les cheveux pour étouffer un braillement de jouissance.

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12 - Une sacrée traînée


Je prends ma douche en pensant à la mère de Ludivine, je la connaît bien et je me demande ce qu’elle penserait si elle apprenait qu’aujourd’hui, je me suis tapée son mari et sa fille!

Je me lave et fais passer le jet de douche dans ma minette pour enlever tous le sperme de Michel qui coule encore en moi, il me l’a vraiment mise profonde à ce que je vois, c‘est vrai qu‘il en a une longue.
Je me rince, sort de la douche et m’essuie.
Je vais pour passer la chemise de nuit que Ludi m’a prêté, mais je me rends compte que je l’ai oubliée dans l’autre salle de bain.
J’ouvre la porte, la chambre de Michel est juste en face, il est en slip allongé sur son lit, une petite lampe allumée et ne dors pas, il me fait signe de venir.
Je rentre dans sa chambre toujours toute nue et lui explique que j’ai oublié la chemisette.
Il me sourit et la sort de sous son coussin, il me fait signe de venir la chercher et de fermer la porte.
Je ne le comprend pas, mais à quoi il joue?
J’obéis, ferme la porte derrière moi et m’approche de lui. Je constate une déformation dans son slip, il bande encore!
Je lui dit que je ne peux pas rester là, que c’est trop risqué si sa fille se réveillait.
Il ne veut rien savoir et m’attrape brusquement pour me plaquer sur le lit contre le ventre, les fesses à l‘air.
Je ne réagis pas sur le moment, me prenant au dépourvu, il me grimpe dessus, coince mon cul entre ses jambes et sort sa queue déjà toute dure de son slip.
Je suis consciente qu’après ce qui c’est passé entre nous, il est inutile que je proteste, il s’en doute bien et veut profiter de mes charmes jusqu’au bout.
Je sens un gros crachat couler sur mon anus et son long pinceau lubrifier mon petit trou.
J’y crois pas il veut m’enculer!
Je tourne la tête pour le regarder et lui dire non que je ne veux pas, mais cadenasser entre ses cuisses, une main sur le dos m’empêchant de bouger, il guide sa bite de son autre main en appuyant bien fort pour me faire sauter la rondelle.
J’attrape le coussin avec mes dents et le mord pour étouffer un cri de douleur. J’éprouve une sensation de crevaison quand son gland envahit mon orifice, il n’y va pas de main morte et s’actionne de plus en plus fort.
Il me viole les fesses avec sauvagerie et j’hurle de souffrance dans le coussin. Ca lui plaît d’enculer brutalement une petite jeunette comme moi et il continue de plus belle, sortant toute la longueur de sa bite pour la renfoncer encore plus durement.
Mon trou du cul est complètement dilaté maintenant et ses coups de pine violente, me font jouir à chaque entrée dans ma grotte. Il entend bien mes petits rugissements de délectations étouffés dans l’oreiller.
Ca l’excite et du coup, il place ses mains sur les côtés de mes fesses pour les secouer encore plus fortement dans son élan.
Michel profite de mon cul comme ça pendant un long moment et j’ai l’impression qu’un train entier est entrain de m’enculer.
Je le sens qui stop ses va-et-vient pour rentrer sa queue au maximum de mon sphincter et sa sauce bouillante fait virevolter l’intérieur de mon corps tout entier.
Michel s’écroule sur moi, heureux d’avoir déchiqueter le bon petit cul de la petite Lucie.

Je retourne dans la salle de bain avec la chemise de nuit sous le bras cette fois, je me rince pour laver mon petit trou des salissures gluantes de Michel. Je me sèche et sort pour aller passer le reste de la nuit dans le canapé.
Je m’endors, en pensant que j’ai aimé me faire sodomiser par le père de ma meilleure amie, je suis vraiment une sacrée traînée.

Je sens l’odeur du café, j’ouvre les yeux péniblement, quelqu’un est dans la cuisine, je lève la tête, c’est Michel qui vient de se réveiller et prépare un petit déj.
Je regarde l’heure sur une pendule digitale accroché au mur, il n’est pas tard, seulement neuf heures, je remets ma tête sur l’oreiller et referme les yeux.
Quelques instant plus tard, je sens une présence tout près de moi et un baiser dans mes cheveux, je fais semblant de dormir, une main passe sous la couverture pour venir se poser sur ma cuisse, elle remonte sur ma hanche en relevant ma chemise de nuit, puis me caresse le ventre délicatement.
Au moment où la main veut descendre plus bas, je réouvre les yeux et bouge mon corps pour dévier cette main, il est assis sur le bord du canapé déplié.
Michel me sourit, il retire sa main pour la posé sur sa demi-gaule du matin. Il est vêtu d’un pyjama à rayure bleu et défait un à un les petits boutons en nacre du pantalon.
Je le regarde faire, mais lui dit non en chuchotant, que Ludivine va bientôt se lever.
Il ne m’écoute pas et ne va pas me lâcher tant qu’il n’aura pas eu ce qu’il veut. Je vois où il veut en venir et je sais d’avance que je vais devoir lui tailler une pipe.
Il sort son chibre déjà tout tendu de son pyjama, passe sa main derrière mon cou pour orienter ma tête et la mener au-dessus de son érection matinale.
Je panique à l’idée de voir Ludi débarquée, alors je me mets à le pomper du mieux que je peux pour le faire jouir le plus rapidement possible.
Je n’ai encore jamais sucer une bite de bon matin, c’est une découverte que j’apprécie et Michel doit le sentir car je le dévore déjà comme une malade.
Il a compris que j’étais une bonne petite suceuse alors il lâche mon cou et viens caresser ma petite chatte qui mouille de sentir la première urine de la journée de ce sexe sale entre mes lèvres.
Il n’y a pas à dire le papa de Ludi est un chaud lapin, maintenant que je lui est bien nettoyé sa pisse de ma salive, je le branle dans ma bouche, mes lèvres collées à son gland.
Michel enfonce des doigts dans ma minette et me masturbe à son tour, je savoure sa dextérité et m’engouffre en lui totalement. Il me contemple, la blondeur de mes cheveux, ma bouche remplit de sa rigidité, mes lèvres jusqu’à ses couilles.
Plusieurs fois d’affilés, je me retire tout doucement pour le ravaler brusquement et cogné mes lèvres jusqu’à son ventre. Il est abasourdi de voir de qu‘elle manière je m’occupe de lui et il retire sa main de ma chatte pour venir m’empoigner la tignasse.
Je sors sa queue de ma bouche car il tire sur ma blondeur, je le regarde avec mes grands yeux bleus larmoyants d’avoir été aussi profondément au bout de sa queue.

- Ouvre la bouche… Tire la langue…

La longue bite devant mes lèvres grandes ouvertes, le bout de son gland venant toucher ma langue qui dépasse, il se paluche comme un timbré pour venir balancer toutes ses giclées de sperme au fond de ma langue et au travers de ma gorge. Je stocke le foutre dans le creux de mes joues et quand il a fini, je fais tourner sa mixture dans ma bouche. Je le défi du regard et avale tout d’un trait, je tire la langue pour bien lui montrer que je suis une bonne fille et qu’il n’y a plus rien à manger.
Michel n’en crois pas ses yeux de savoir que Lucie, la copine de sa fille chérie, est une belle avaleuse de sperme.

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13 - Petit déj en famille
 

On entend du bruit, c’est la chasse d’eau des toilettes à côté de la petite salle de bain, Michel encore la queue à l’air va vite se cacher dans sa chambre et moi je me replonge dans les draps.

Affolé de savoir que Ludivine nous à peut-être vu ou entendu, je prie intérieurement.
Elle rentre dans le salon, je la sens qui vient s’asseoir à côté de moi et de la salive qui a coulé sur le drap pendant ma fellation avec son père.
Il faut que je détourne son attention avant qu’elle se rende compte des tâches sur le canapé.
Je fais semblant de me réveiller et elle se penche vers moi pour me faire une bise sur la joue.
Je sors du canapé d’un coup et me dirige rapidement vers le couloir où mène sa chambre. Ludi éblouie par mon saut d’humeur reste stoïque toujours assise.

- Bah, qu’est-ce qui t’arrive? T’aime plus que je t’embrasse?

- Mais non pas du tout! Mais vient allons dans ta chambre.

Ouf, heureusement elle se lève sans constater les marques humides sur le drap du canapé. Elle me dit qu’elle me trouve bizarre et je lui réponds que j’ai très envie de faire pipi.

- Attend moi dans ta chambre s’il te plaît, j’arrive.

Sans chercher à comprendre, elle retourne dans sa chambre. Sauvée, elle n’a rien entendu.

Une fois dans sa chambre, elle me demande si j’ai bien dormi et si je veux prendre un petit déj.
Je réponds oui au deux questions. On retourne vers le salon dans le coin cuisine. Je lui demande de me préparer un café et des tartines et trouve l’excuse de faire quelque chose en remettant en place le canapé et les draps.
Ludi me dit de le laisser comme ça, que son père le fera, mais j’insiste lourdement alors elle me laisse faire pour ne pas me contrarié.

Michel nous à rejoint et joue le rôle du papa qui a trop dormi. Il s’est changé et à enfilé un survêtement bleu marine en velours.
On s’installe sur les tabourets du bar de la cuisine, Michel s’est mis à côté de moi et Ludivine est en face de nous. Ludi raconte ses rêves de la nuit.
Michel fait semblant de l’écouter mais s’intéresse plus à ma chemise de nuit blanche qui assise les jambes croisées remonte juste sous mes fesses.
Il jette un coup d’œil sur mes cuisses à chaque gorgées de café.
Lucie continue son monologue et Michel vient habillement glisser sa main entre mes cuisses pour pouvoir intégrer son majeur sur ma fente.
Mais qu’est-ce qu’il fait? Il est fou!
J’adorerais qu’il me fasse ça dans d’autre circonstance, mais là je suis décontenancé et hoche la tête à Ludivine à chaque fin de ses phrases pour ne pas trahir mon émotion.
Je trouve une parade, je fais tomber exprès un morceau de tartine pour le ramasser. Michel enlève sa main et je me rassois, une main posée sur mon entrecuisse et de l’autre prenant mon café.
Ludi continue son aparté, mais qu’est-ce qu’elle est bavarde.
Michel ne dit rien et je regarde son bas de survêtement, une autre bosse est apparue.
J’hallucine, il bande encore!
Toujours tout ouie devant sa fille, il me prend la main discrètement avec tact et l’intègre dans son pantalon de survêtement.
Michel ne porte pas de slip et je sens sous l’effet de mes doigts, sa boursouflure grandir encore.
Ludi n’y voit que du feu et je prends un malin plaisir à martyriser le long sexe de son père devant elle.
Michel à poser ses coudes sur le bar pour cacher mon bras et comme ça je peux branler sa bite plus facilement. Pendant que Ludi me raconte ce qu’elle va faire de sa journée, j‘active la branlette en tirant plus fort sur la queue de son papa.
Mon minou redevient humide et je rêverais qu’il me pénètre pour sentir sa sève gluante me réchauffer l’intérieur.
 
- Bon tu m’attend Lucie, je vais prendre une douche dans la petite salle de bain, ok?

- Ok.

Elle a peine disparue, que son père se lève pour me retirer le tabouret des fesses.
Je mime une désapprobation, mais il a déjà bloqué la ceinture de son survêtement sous ses couilles en se plaçant derrière moi.
Je me penche sur le bar, le cul cambré et fait passer sa queue toute raide sous ma chemise de nuit pour qu‘il me prenne en levrette.
Il pénètre ma petite chatte brûlante d‘un coup.
Les mains sur mes hanches, il me baise comme une chienne en chaleur.
J’espère que sa fille n’a rien oubliée et qu’elle est tranquillement sous sa douche car j’aimerais que rien au monde n’arrête cette bite de me défoncer.
Michel relève ma chemisette pour admirer sa bite glisser entre ma paire de fesse qui remue sous ses coups de reins.
Il se penche sur moi et passe ses mains sous ma chemise de nuit pour venir me presser les seins.
Je frissonne de bonheur quand sa lave séminal vient s’éparpiller au plus profond de ma chatte.

J’entends Ludi sortir de la petite salle de bain, je me précipite dans la grande pour aller aux toilettes et me vider la moule de tout le foutre de Mr Marshall.

037

14 -     Malika et son prof


J’allume la télé et passe l’après-midi à glander sur mon sofa.
Je suis exténuée de mettre faites prendre par la bouche, par devant et par derrière par le père de Ludivine.

Je descends dîner chez mes parents, ils me racontent le spectacle qu’ils ont été voir hier soir et je remonte dans ma piaule pour aller surfer sur internet.

Les vacances estivales approches, je visualise plusieurs sites spécialisés pour trouver un plan pas trop chers.
Je ne vois rien d’intéressant, alors je me connecte à ma messagerie personnelle.
Surprise, j’ai un nouveau message de Vincent!

« Salut beauté, j’aimerais que tu me rende un petit service mercredi. Fait moi signe quand tu auras mon message.
C’est important! - Bisous - V. »

Qu’est-ce que c’est qu’encore que cette histoire?
Qu’est-ce qu’il prépare?
On n’est que vendredi et je ne suis pas sûr que je dois lui répondre tout de suite.
Ca fait des semaines que je n’ai plus de nouvelle de lui et il m’envoie ce message comme si on s’était vu la veille.

Le téléphone sonne, c’est Nicolas qui me propose une soirée demain soir avec des amis à lui.
Je lui dit que je viendrais avec Ludivine et Malika, on discute vite fait et je raccroche pour aller me coucher.

Le lendemain soir, j’invite mes copines chez moi pour nous préparer avant d’aller à la soirée de Nico.
J’ai mis en place un petit buffet pour grignoter avec une bonne bouteille de vin que j’ai chipée à mon père.
Je me suis habillée tout en blanc, un caleçon long hyper moulant qui fait ressortir mes fesses et un t-shirt à bouton pour mettre mes seins en valeurs, il va de soi qu‘avec cette tenue, je n‘ai mis aucun sous-vêtement, ni culotte, ni soutien-gorge.
Ludi est ravissante dans sa robe moulante noire.
On se regarde, Malika porte un jean foncé avec un chemisier ocre.
Je lui dit qu’elle est pas mal, mais sort de mon placard, une jupe grise a volant et un débardeur à croisillon qui lui iront à merveille.
Elle se change et on se maquille toutes les trois.
Malika c’est transformée, elle est super bandante comme ça.
On finit la bouteille et on prend un taxi pour rejoindre la soirée dans le sud de Paris.
La fête se trouve dans l’arrière boutique d’un ancien magasin, c’est grand et assez classe, il y a un bar et une piste de danse improvisée.
Les garçons nous ont rejoint et on prend un verre avec eux.
Nicolas, Ludivine et moi sommes amis depuis quelques
années déjà, Nico est accompagné de Greg et de Jeremy que l’on à croisés plusieurs fois à d’autres soirées.
Ils ont notre âge, ils sont super cool et adorent faire la fête.
C’est l’oncle de Greg qui organise cette party, d’ailleurs il nous rejoint pour nous saluer.

- Ca va les gars, alors vous me présentez pas à ces charmantes demoiselles?

Greg, nous présente Bruno, un homme d’une quarantaine d’année, petit, trapu, habillé en costard, les cheveux bruns tirés en arrière. Il nous complimente sur nos tenues en me dévisageant des pieds à la tête.
J’imagine qu’il doit bander en apercevant mes formes provocatrices dans cet accoutrement.

Il y a bien une cinquantaine de personnes qui discutent ou se trimoussent sur la piste de danse.
Après avoir bu maintes verres d’alcool, on se lâche pour aller se remuer sur les derniers tubes musicaux à la mode.
On est ultra sexy toutes les trois, on se dandine et une ronde de mâles ne tardent pas à nous entourer pour nous observer tortiller du cul.

Malika éméchée me prend à partie, on sort prendre l’air, laissant Ludi et les garçons s’éclater sur la musique.
On se retrouve dans la cour intérieur de l‘immeuble derrière la salle où les gens peuvent venir fumer leurs cigarettes.

- Putain Lucie, tu sais quoi, j’ai une de ses envie de sucer de sentir tout ces mecs autour de nous!

Malika me raconte que depuis qu’elle s’en est pris plein la bouche avec le gros porc du Bois de Boulogne, elle a réitérer l’expérience plus d’une fois avec son prof d‘histoire géo.

« Tu comprend Lucie j’avais remarquer que Monsieur Lopez s’approchait souvent de moi pendant les cours, il touchait délibérément mes cheveux avec son visage pour regarder ma copie derrière moi ou il me prenait par les épaules quand j’allais au tableau. Une fois il a même poser une main sur ma taille pour me corriger un exercice.
Je ne sais pas, mais malgré son physique de gros sadique, ce vieux professeur avec ses lunettes double foyer me donnait des idées pas très catholique et je décidais de passer à l’offensive.
C’est le dernier cours de la journée, j’ai changé de place et me suis assise en face du bureau.
Durant tout le cours je me suis amusé à le fixer en sortant ma langue et à la passer entre mes lèvres de droite vers la gauche puis de gauche vers la droite sans que les autres élèves puissent me surprendre.
Mr Lopez me scrutait du coin de l’œil. Je l‘imaginais la bite en feu dans son pantalon, ça m‘excitais grave en pensant qu‘il aimerait éjaculer tout son foutre dans ma bouche.
Un fois le cours terminé, la classe se précipite pour sortir, pendant que Mr Lopez et moi rangeons tranquillement nos affaires.
Le fait de l’avoir chauffé en le regardant et en lui sortant ma langue durant le cours m’a rendu toute mouillée.
Une fois tout le monde dehors et que tous les deux finissons d’avoir ramassé nos cartables, il me dit :

- Dites-moi Malika, j’ai l’impression que vous n’avez pas vraiment suivit mon cours, aujourd’hui? Que vous aviez la tête ailleurs?

- Oui Monsieur… Désolé, mais c’est parce que vous me troublez un peu…

Je suis debout à ma place, Mr Lopez ferme la porte de la classe pour s’adosser contre celle-ci et me demande d’approcher.
Je ne sais plus comment je dois réagir alors je me pointe en face de lui, il fait toujours barrage devant la porte et commence à déboutonner son pantalon.

- Allez, fait moi voir encore ta langue de petite pute, hein!

Déconcerté, je le regarde ouvrir son caleçon.
Le fait d’entendre mon professeur me parler de la sorte agrémente encore l’humidité au sein de ma culotte et je me jette sur son membre détendu qu’il sort de sa braguette.
Sa queue grossit dans ma bouche, il se met à bander comme un âne sous l‘effet de mes lèvres actives.
Il ne rate pas une miette de voir ma langue tournoyer sur son gros machin, à genoux dans la classe, je suce la bite de mon professeur avec frénésie.
Il me regarde de sa hauteur, moi la jeune beurette rabaissée à ses couilles, je branle maintenant sa pine dans ma bouche, mes yeux brillants fixant son regard de vieux vicieux binoclard.

- Oh Oui, c’est ça continue… Avaleeeee! »

Je peux te dire qu’il a kiffé, j’ai bu tout le sperme que Mr Lopez m’a envoyé dans la bouche à pleine gorgée et depuis je suis devenue sa petite suceuse attitrée.
Dès qu’il a moment de libre, je le rejoint pour qu’il se vide les couilles dans ma gueule.
Je l’ai déjà pompé plusieurs fois dans la classe, dans les toilettes privés des profs et même dans la salle des maîtres.

Je comprends mieux à présent ce que tu me disait Lucie et je pensais pas que j’allais devenir une bouffeuse de foutre comme toi!

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15 - La soirée de Bruno


Malika toujours un peu saoule, me dit qu’elle a remarqué un bonhomme qui n’arrête pas de la mater et elle me le montre discrètement.
C’est un homme banal, barbu, assez fort qui fait bon père de famille. Il discute avec ses copains en lançant des petits coups d’oeil vicelards à Malika.
Elle me dit qu’elle se sent trop excitée et qu’elle voudrait lui bouffer la bite, tout de suite.
On est dans la cour en pavé, il y a des petits groupes qui font causettes éparpillés un peu partout.
En face de nous il y a une cage d’escalier et un peu plus loin dans la pénombre, un petit local où il n‘y a personne.
On s’approche du coin sombre, Malika rentre dans le local, ressort et me dit qu’il y a des poubelles à l‘intérieur.
Je lui dit d’attendre dedans entre deux grandes poubelles vertes.

Je me place seule au milieu de la cour, le bonhomme cherche Malika du regard et quand ses yeux se pose sur moi, je l’appelle d’un petit signe de la main.

- Bonsoir, excusez-moi mais j’ai ma copine qui est dans le petit local dans le coin là-bas et qui aimerait vous parlez… Voilà c’était juste pour vous dire qu’elle vous attend!

Le bonhomme me répond bêtement, sans vraiment comprendre ce qui lui arrive et se dirige à grand pas vers le petit local, moi je retourne dans la salle avec tous les regards de ses copains posés dans le bas de mon dos.

Je suis au bar avec Nico, Greg et Jeremy qui draguent deux charmantes nymphettes, moi je cherche Ludivine des yeux, mais je ne la voit pas.
J’aperçois Bruno qui arrive vers moi pour m’inviter à danser la salsa.
Je lui dit que je ne sais pas du tout danser ce genre de musique, mais il insiste et me prend par la main pour m’amener sur la piste.
Il me dirige doucement  en me tenant par la taille et j’essaye tant bien que mal de suivre ses pas. Bruno se débrouille bien et je me laisse guider en lui souriant, il est très vivant pour son âge et malgré sa petite taille, je le trouve assez charmant.
Il en profite aussi pour se frotter à moi dès que la cadence de la musique le permet, il effleure mes seins et mes fesses sans se gêner et doit d’ailleurs commencer à bander dans son caleçon.
La danse se termine, il m’applaudit en rigolant et je lui demande si il n’aurait pas vue la fille avec qui j’étais avant et qui est habillée avec une robe moulante noire.

- Quoi Ludivine, mais si elle est avec nous, suis moi…

Je suis Bruno, on traverse la piste de danse, il ouvre une porte privée, on traverse un petit couloir, on se retrouve hors de la salle et du boucan pour atterrir dans une petite pièce qui ressemble à une cuisine avec une grande table au milieu.
Ludi est là assise sur un meuble, un verre de champagne à la main avec trois hommes autour d’elle qui la pelote de partout.
Bruno me sert une coupe de champagne à mon tour et me présente ses hôtes.
Ludi à trop bu, sa robe est relevée jusqu’à la limite de sa culotte, un des hommes à une main sur l’intérieur de sa cuisse et un autre la tient par la taille et l’embrasse dans le cou.

- Lucie, ça vaa? Aloors vous étiiez où?

Je lui réponds sèchement qu’elle ferait mieux d’arrêter de boire et que d’aller prendre l’air lui ferait le plus grand bien.
Ca la calme, ainsi que les mecs qui la lâche pour prendre un peu de distance.
Bruno comprend mon humeur et trouve que c’est une bonne idée, il invite tout le monde a retourner dans la salle pour aller s’amuser.

De retour dans la salle, on croise les trois garçons accompagnés des nymphettes, ils nous disent qu’ils doivent partir, on se fait la bise et ils nous quittent.

Ludi est reparti danser avec ses deux pots de colle et je reste discuté avec Bruno. Il me parle de son boulot qui lui prête cet endroit pour faire des fêtes et des personnes qui sont invités ce soir, tout en me regardant droit dans le décolleté.
Je regarde Ludivine s’éclater comme une folle sur la piste, elle a envoyé balader ses deux boulets et danse seule à présent.
J’observe le comportement de Bruno, il me dévore des yeux et je sais qu’il a terriblement envie de me niquer.
C’est sûr ce n’est pas le plus beau mec de la soirée, mais sa confiance en lui, son aisance à me parler et sa façon de danser me permette de penser que ça doit être un bon coup au pieu.
Je le fixe avec mes grands yeux bleus et lui gratifie d’un de mes plus beaux sourires.
Je lui dit que finalement je me poserais bien un peu et lui demande si il ne veut pas que l’on retourne dans la cuisine tous les deux.
Il ne se fait pas prier deux fois, il m’ouvre la porte privée et je passe devant, je marche dans le petit couloir en balançant mon petit cul sous mon long caleçon blanc qui me serre la raie des fesses, Bruno derrière moi, ne peut que deviner que je ne porte rien en dessous.
J’arrive dans la cuisine en imaginant dans quel état doit se trouver la chose qui est à l’intérieur de son pantalon, ça m’amuse de savoir si il sait aperçu ou non que je commence à mouillée et que j’ai peut-être une coulure humide qui apparaît sur le blanc de mon pantalon serré.
A peine entrée dans la cuisine, je n’ai pas le temps de dire ouf que j’ai déjà la tête posée, la joue collé contre la grande table en bois, le caleçon blanc baissé sous les cuisses, les fesses en l’air, la queue de Bruno qui pénètre ma minette.

- Aaahh… T’es déjà toute mouillée… Hein, t’es en chaleur toi…

Je ne l’ai pas vu venir, il me prend en levrette de toute ses forces, il en a une très grosse et je pousse des cris aigus à chaque mouvement de sa bite dans ma chatte.
Ses mains de chaque côté de mes fesses pour contrôler mon cul, il s’enfonce dans ma fente de plus en plus fort et de plus en plus loin.
Je tourne le visage pour le regarder me claquer les fesses.

- Huuumm putain… T’es trop bonne toi…

 Je dégouline de plus en plus de voir ce petit homme avec sa grosse queue me traiter comme une chienne en chaleur.
Il continue à fracasser mes rondeurs, mais se retire sentant la montée de sa sève venir à point.
Il se baisse, enlève mes chaussures blanche à talon haut et enlève mon caleçon moulant avec énervement.
Je suis à moitié nue dans cette cuisine, je me retourne vers lui, il m’embrasse en défaisant les petits boutons du haut de mon tee-shirt, il m’allonge et grimpe sur moi pour nous décaler au milieu de la table.
Les jambes en l’air, la queue tendu de Bruno me pénètre une seconde fois, mais cette fois-ci avec douceur, sa grosse bite glisse lentement dans ma moule, sa tête enfoncé dans le creux de mon décolleté, ses doigts malaxant mes seins à travers mon tee-shirt.
Je repose mes pieds sur la table pour le sentir encore plus profondément en moi, il se met à me tringler violemment.
Je m’égosille de joie en appuyant mes mains sur ses fesses pour qu’il continue à me besogner comme ça jusqu’à sa jouissance.
La foudre de sa jute provoque en moi un enivrement de libération fluide.
Bruno m’embrasse tendrement avant de nous rhabiller et de quitter la cuisine, je savais bien que c’était un bon coup.

Je laisse Bruno pour me retrouver aux toilettes, Malika est là devant une porte, elle l’entrouve et je vois Ludi au dessus de la cuvette qui dégueule ses boyaux.
Malika me dit qu’elle a vraiment trop bu et que l’on ferait mieux de rentrer maintenant.

Je sors prévenir Bruno de la situation et il me propose de nous ramener avec sa voiture, je le remercie en lui disant qu’il n’est pas obligé, mais il me dit que ça ne le dérange pas du tout.

Après avoir remercier mille fois Bruno de nous avoir raccompagné chez moi et prie son numéro de téléphone,
on monte les étages de mon immeuble difficilement et Ludi va se coucher sur un matelas sommaire que je lui est installé par terre.

Malika et moi restons là prendre un café et à nous raconter les événements de la soirée.
Elle m’explique que quand le bonhomme est arrivé dans le local, il lui a demander si ça allait et elle le dévorant des yeux et ne savant pas quoi lui dire, elle s’est accroupie directement à ses pieds pour lui défaire sa braguette, le barbu ne savant pas ce qu’il lui arrivait vraiment c’est laissé faire.
Pendant qu’elle était concentré à bien sucer cette queue, elle n’avait pas eu le temps de remarquer que ses potes était venue voir ce que le barbu faisait dans ce local.
Au moment où elle prit conscience que d’autres bites étaient sortis des pantalons, le barbu lui envoyait toute sa purée au fond de la bouche.
Malika me dit que les potes ont alertés d’autres potes et qu’elle a passée toute sa soirée dans le local à poubelle à éponger les couilles de toutes les bites qui se présentait à elle.
Malika à dû vidanger tout le foutre de pratiquement la moitié des hommes qui participaient à cette soirée.
Elle me dit avoir fait une overdose de sperme dans les toilettes après ça.
Je me suis trouvée une sérieuse concurrente, je crois!

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16 - Canal Saint Martin


Patiemment allongées avec Ludivine, lunette de soleil sur le nez, nous attendons Elodie sur le bord du Canal Saint Martin.
Le monde agglutiné au fil de l’eau lézarde gentiment en ce milieu d’après-midi ensoleillé.
Je fais sauter les quelques boutons de mon chemisier, Ludi ouvre sa petite robe à fleur pour aérer ses deux beaux lolos.
Elodie arrive, elle descend d’un gros scooter, semble dicter son numéro de téléphone au conducteur en libérant sa chevelure dorée du casque de moto.

Ludivine me regarde d’un drôle d’air en la voyant débarquée, vêtue d’un top court orange qui moule honteusement ses gros nichons, un piercing brillant sur son nombril et un mini-short de gym noir qui donne presque l’impression qu’elle se trimbale dans la rue en petite culotte.
Je demande à Elodie qui est l’homme du scooter qui est repartit, un rictus coquin au coin de la joue, elle me dit qu’elle vient de le rencontrer, il lui a klaxonné sur le chemin et elle en a profité pour faire un tour en deux roue.
Elo nous raconte son trajet, une main accroché sur le ventre du monsieur pour ne pas tomber, une autre sous la ceinture du pantalon de celui-ci.
Sur la route pour remercier l’inconnu de l’accompagner jusqu’à nous, elle lui prodigue une masturbation plus que vigoureuse jusqu’à le faire éjaculer à l’intérieur de son calbute.
La main toute gluante de sperme du chauffeur, Elo s’en lèche encore les doigts et en rigolant propose à Ludivine de l’aider à nettoyer les restes de brillances crémeuses qui sont étalées sur sa main.
Ludi la bouille dégoûtée, lui répond :

- Sans façon, non merci!.. Au fait ça se passe bien ton stage dans cette boîte de pub?

Elodie sans rentrer dans les détails, nous explique que son boss lui donnait trop de travail et que finalement elle préfère partir en vacance avec nous cet été.

Ludi explose de rire et je ne peux m’empêcher de retenir un fou-rire en regardant Elodie stupéfaite de nous voir se foutre de sa gueule.
Elo fait semblant de ne pas comprendre, alors Ludi lui raconte avant qu’elle ne se fâche que Kevin et Benjamin lui on tout balancé à propos de son stage et qu’on est au courant qu’elle suçait la bite de son directeur tout au long de la journée.
Elodie ridiculisée peste contre les deux garçons et nous avoue qu’elle appréciait être la chose du PDG et de ses meilleurs clients, mais que la situation a dégénérée lorsque son patron lui avait demandé de satisfaire aussi ses collaborateurs. A la fin, elle n’en pouvait plus de sentir toutes ces bites se vider dans sa bouche du matin au soir, elle finit par ne plus y retourner et envoya sa lettre de démission il y a quelques jours.

Ludivine écoeurée n’en croyait pas ses oreilles d’entendre Elodie confesser ses exploits de suceuse de pénis, pendant que moi je compatissait au sors de celle-ci.

Du coup Ludi change de conversation pour nous demander si on a une idée de voyages pour les vacances du mois d’août.
On se met d’accord pour partir quinze jours ensemble et analysont plusieurs possibilités de destinations et de logements sans vraiment décider d’un endroit en particulier.
Ludivine nous dit qu’elle part pour le long week-end prolongé en Normandie dans la maison de campagne de ses parents.
Elle m’invite à venir avec elle et ses parents dans quelques jours, j’accepte au détriment d’Elodie.

- Tu comprends Elo, mon père m’a demandé d’amener une copine, et j’ai pensée à Lucie vue qu’elle connaît déjà mes parents…

Elodie ne dit rien et comprend que c’est normal que je passe avant elle étant donnée que je suis quand même sa meilleure amie.

                    ~~~

J’ai préparée ma valisette, tenue décontractée, maillot de bain et vêtement de pluie au cas où.

Il est dix heures et demi du matin, prête pour le départ en Normandie.
Mr Marshall à fini de caser les sacs dans le coffre et Liliane la mère de Ludivine est déjà pendu au téléphone assise dans la voiture.
Ludi et moi sur la banquette arrière restons à moitié somnolente jusqu’à ce que l’on arrive à destination.
Deux heures de bagnole où Michel, caché derrière ses lunette noire à passé le plus clair de son temps à surveiller la route, mais aussi à essayer de détecter ce qui se trouvait à l’intérieur de ma mini-jupe rose.
Pendant que Liliane et Ludi fermaient les yeux où s’imprégnaient du paysage qui défilait par la vitre de l’auto, je m’amusais à entrouvrir innocemment les cuisses de plus en plus largement, pour dévoiler au lunette de soleil dans le rétroviseur, la blancheur de ma petite culotte.

La voiture rentrée dans le garage, les sacs déposés dans l’entrée, Ludi me fait visiter leur maison secondaire.

C’est une grande bâtisse rénovée, on a chacune notre chambre, il y a une longue salle à manger avec des poutres en bois, une cuisine à l’ancienne avec une cheminée, une salle de bain moderne, des toilettes séparées, la chambre des parents à l’étage avec à côté une grande salle de jeux équipée d’une table de ping-pong, d’un billard et accessoirement dans le fond, d’un appareil de musculation, sûrement pour Mr Marshall.

Dehors, un portail en fer forgé peint en vert foncé, un mur en pierre entoure la cour gravilloneuse décorée de gros bacs de plantes et de pots de fleurs gonflés et colorés en cette période de l‘année.
Derrière la maison, un barbecue en béton blanc, un immense jardin, une belle pelouse entretenue, un grand potager planté de légumes et d’arbres fruitiers qui cache un cabanon à outil en bois foncé.

Je suis éblouie et heureuse que Ludi m’est invitée dans leur petit coin de paradis.
On rejoint la cuisine, où Michel et Liliane nous prépare un gros sandwich avec amour, je les remercie et les complimente sur leur magnifique demeure.
Après avoir mangé ce délicieux sandwich, on se retrouve dans nos chambres respectives pour ranger nos affaires et faire les lits.
Je repense à Liliane, elle est adorable. Dire que son mari l’a trompée avec moi, Lucie la petite blonde, la meilleure copine de sa fille chérie.
J’espère que Michel se tiendra à carreau, même si ici, le fait de vivre dans leur maison de campagne, me donne des envie de recoucher avec le mari de Madame Marshall.
Je chasse cette idée de mon esprit, car ça peut-être dangereux et je vois que Michel, malgré son regard lubrique sur ma personne, reste très prudent et garde ses distances envers moi.
La journée passe en prenant mes marques dans cette grande maison de famille, fatiguée du voyage et du changement d’air, on se couche tôt et je dors à point fermé jusqu’au lendemain matin.

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17 - La maison de campagne


On frappe à ma porte, Ludi entre dans ma chambre pour me réveiller, je me lève et on se traîne toutes les deux jusqu’à la cuisine.
Les parents sont partis faire des courses et on laissé un petit mot sur la table pour nous prévenir.

Après le petit déj, on se pointe dans le jardin en portant nos chaises longues à bout de bras.
Le temps est superbe, il fait bon et le ciel est bleu.
On se tartine de crème à bronzer après avoir passée nos maillots de bain échancrés, moi en turquoise, Ludi en noir. On s’affale sur les transats, le soleil brille de tout ses rayons alors je demande à Ludi si je peux retirer le haut de mon maillot. Elle me dit qu’elle s’en veut de ne pas y avoir penser avant et retire son soutien-gorge de bain.
On se sourit, nos poitrines gonflées, on se les caressent en même temps de crème solaire.
Toutes les deux allongées en monokini face au soleil, on ferme les yeux pour faire bronzette.

- Ehoo… Y’a quelqu’un?…

Sursautant, on relève la tête en même temps, des pas sur les gravillons se rapproche du jardin.
Un monsieur en salopette apparaît sur le côté de la maison.
A peine visible, Ludivine se rue dans ses bras en courant les nichons se balançant dans tout les sens vers lui.
J’ai l’impression qu’elle vient de voir le Père-Noël, d’ailleurs le monsieur, les cheveux et la barbe blanche bien taillée m’y font penser.
Elle le prend dans ses bras chaleureusement, et le vieux en profite pour tâtonner un de ses nibards en rigolant.

- Oh mais dis-moi, je tombe bien… Humm ils ont encore grossis…

Ludivine se laisse faire toute souriante, le Père-Noël lui claque une grosse main aux fesses et reluque son cul avec insistance.
Je me lève en essayant de remettre mon haut de maillot de bain, Ludi me présente Monsieur Serge, un voisin qu’elle connaît depuis longtemps et qui s’occupe de la baraque et du jardin quand ils ne sont pas là.
Ravi de faire ma connaissance, Monsieur Serge m’attrape par la taille pour me faire la bise et commente la proportion de mes seins par rapport à ceux de ma copine.

- Bah dis donc, y’a de la concurrence… Hein Ludivine!

Le vieux se lèche les babines en me regardant remettre mon soutif.

En fait Mr Serge gardait Ludi avec sa femme quand elle était petite, sa femme est décédée il y a quelques années et pour lui qui vit seul maintenant, la petite Ludivine est devenue une charmante jeune fille qui doit sûrement le faire fantasmer.

Le papy gâteux s’est posé sur le transat, Ludi dans les bras, assise sur lui, il continue à lui peloter les nichons et à lui chatouiller le ventre pour la faire rire. Ludivine rigole bêtement comme une gamine en continuant à se laisser tripoter.
C’est la première fois que je la vois se faire toucher comme ça aussi facilement, d’habitude les hommes galèrent avant de l’approcher.
Le Mr Serge doit sentir qu’elle ne se laisse pas souvent peloter et le salaud en profite bien. Un petit canon de dix-huit ans comme Ludivine pratiquement à poil dans ses bras et sur ses genoux, il doit avoir une gaule pas possible dans sa salopette.

Le bruit du portail qui s’ouvre et le ronronnement de la voiture met fin à la petite récréation que Monsieur Serge s’est octroyé avec ma copine, il se lève tout les deux et Ludi remet le haut de son maillot, moi je me rallonge sur le transat comme si de rien n’était, Ludi accompagne le jardinier dans la cour pour aller saluer ses parents.

J’aide à mettre les couverts sur la table de jardin que l’on a préalablement installée dans la cour.
Mr Serge reste pour déjeuner avec nous. On a faim et on va faire honneur à cette table, qui se compose d’une salade niçoise et d’une assiettée de charcuterie en entrée, une plâtrée de moule comme plat du jour et une salade de fruit pour le dessert.
Liliane et Michel en face de nous, Ludi est assise entre moi et Mr Serge.
Durant le repas, Ils parlent de jardinage et des souvenirs en commun qu’ils ont partagés. Ludi se marre comme une conne à chaque petite blague de Mr Serge, il a même posé sa main sur le genou de Ludi collé à lui. Cela me donne une idée, Michel qui est en face de moi, mange tout en matant mes seins comprimés dans mon maillot de bain, je tends ma jambe pour aller poser mon pied entre son short sous la table. Liliane en pleine conversation ne s’aperçoit de rien, alors je remue mon orteil pour faire bander son mari qui n’ose pas bouger.
A côté, le papy à remonter sa main dans le creux de la cuisse de ma copine et elle à mit sa main bien placée, dans le bas de la salopette. Je la voit qui malaxe tendrement la bosse qui s’est formée. Ca m’excite encore plus de voir Ludi faire ça au vieux jardinier et je fais bouger maintenant tous mes doigts de pied sur l’entrejambe du short de Michel qui fait semblant de participer à la discussion.
Nos papilles ravivées, Liliane se lève et on lâche nos occupation pour reprendre une position normal et l’aider à débarrasser.

Ludi et moi sommes fin prêtes pour aller digérer sur nos transats une bonne partie de l’après-midi.
Sous la surveillance des deux bricoleurs dans le jardin, on retire le haut de nos maillot pour nous mettre à l‘aise au soleil.
Liliane qui n’aime pas trop la chaleur, fait une sieste après avoir fait la vaisselle et nous prévient de ne pas trop la déranger parce qu’elle a un travail de comptabilité urgent à faire pour une société.

En fin d’après-midi, Ludi va dans sa chambre, elle revient habillée d’une robe bustier courte beige en me faisant un clin d’œil, elle me dit qu’elle va accompagner Mr Serge chez lui pour aller récupérer des pots de confitures qu’il a préparé en son honneur.

J’espère pour Mr Serge que ses confitures sont super bonnes car Ludi est carrément bandante dans sa petite robe beige qui moule ses formes parfaites.

Liliane toujours dans la maison finit son boulot important.
Je me retrouve donc seule avec Michel dans le jardin.
Je l’observe biner son potager en repensant à ce que je lui est fait sous la table avec mon pied au déjeuner.
Je suis toute excitée de le voir travaillé en short noir torse nu et ça me donne envie de passer mon majeur sur mon maillot de bain pour l’appuyer sur ma petite fente.
Il se retourne pour me mater de loin et constate la position de ma main sur le bas de mon maillot, il s’essuie le front avec son bras et se dirige vers le cabanon à outil en me regardant sucer mon majeur pour qu‘il comprenne que j‘ai une envie de sentir sa pine dans ma bouche.
Je me lève pour regarder discrètement par la fenêtre ouverte qui donne dans la maison.
Liliane est dans le fond du salon, concentrée devant son ordinateur portable.
J’avance dans le fond du jardin vers le cabanon et entre pour voir Michel autour des outils, tourné de dos se laver les mains avec le jet d’eau qui coule dans une bassine.
Je me place derrière lui pour glisser mes doigts dans son short et sentir sa bite toute molle. Il se laisse faire, baisse son short et son slip sur ses cuisses et je viens soupeser ses couilles de mon autre main. Je le masturbe, sa bite gonfle rapidement entre mes doigts, ça m’excite grave de le faire bander et je passe ma langue derrière son oreille pour venir l’embrasser. Michel se retourne, me serre fort dans ses bras, mes gros seins contre son torse velu, il enfonce sa langue dans ma bouche pour que je vienne la sucer, je sens son sexe tout dur contre mon ventre.
Je me penche pour prendre son érection et l’enfoncer délicatement entre mes lèvres. Je commence un va-et vient en continuant à le branler dans ma bouche.
Il attrape ma crinière blonde pour faire venir cogner mes lèvres contre ses couilles.
Cabrée en deux j’ai mis mes mains derrière ses fesses pour maintenir mon équilibre, il accélère la cadence en tirant sur mes cheveux et je le pompe comme une déjantée maintenant.
Je veux le boire complètement car j’aime quand il me domine comme ça.
Michel doit être énervé de ne pas pouvoir me prendre quand il veut et il continue à baiser ma bouche en forçant sur ma blondeur.
Ca vient, il appuie sur ma tête fortement contre son ventre, il se déleste d’une lourde giclée brûlante qui envahit ma bouche, je m‘empresse d‘avaler pour ne pas perdre les autres jets chauds de son foutre qui s’éparpillent dans ma bouche et me rassasie de plaisir.
Je me relève, passe ma langue entre les lèvres pour lui montrer que je suis sa bonne petite suceuse blonde, il me sourit en remontant son short et en me caressant un sein.
Ne pouvant pas rester trop longtemps là avec Michel, au cas où sa femme débarquerait, je retourne directement à ma chaise longue, pendant que lui rejoint sa femme dans la maison tranquillement.

Je me sens encore toute excitée, la culotte de mon maillot de bain est toute humide et une marque est apparue au niveau de mon intimité.
Maintenant seule dans le jardin, à l’abri des regards, je mets mon majeur dans ma bouche pour l’humecter et cette fois-ci le passe à l’intérieur de mon maillot pour venir titiller mon clitoris. Une fois que mon petit bouton est en fleur, j’enfonce mon doigt dans ma fente pour me libérer d’un peu de ma saveur vaginal.
Mon plaisir monte, alors j’introduis deux autres doigts pour les actionner frénétiquement dans mon intérieur.
Le goût du sperme de Michel dans ma gorge en repensant à sa queue au fond de ma bouche me font jouir instantanément.
Je regarde ma mouille dégoulinée de ma chatte en repositionnant la culotte de mon maillot de bain turquoise avec une auréole de mon liquide au milieu.

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18 - Ludi et Mr Serge


Le soir, après avoir dîner et pris une douche, je rejoins Ludivine dans sa chambre pour qu’elle me raconte sa virée chez Mr Serge.
Ludi me dit qu’elle adore la compagnie du vieux jardinier et que depuis la mort de sa femme, elle essaye d’être gentil  et de lui faire plaisir le peu de fois où elle le voit.
Elle me dit que c’est pour ça qu’elle c’est laisser tripoter quand on l’a vu ce midi.
Je lui remémore le déjeuner en lui évoquant le passage où je l’ai vue poser sa main sur la bosse de la salopette du papy.
Un peu gênée, Ludi m’avoue que c’est la première fois qu’il pratique des attouchements sur elle et que pour dire la vérité, ça l’a excitée de sentir sa trique sous la table. 

- Mais il ne t’as pas sauté dessus quand t’es arrivé chez lui?

Ludi avec son sourire de coquine ne peux s’empêcher de me raconter ce qui c’est réellement passé chez Mr Serge :

« Je marche jusqu’à chez lui, il habite à quelques pâtés de maison d’ici et je le sens fière d’être en ma compagnie.
Une fois dans la maison, il me sert une citronnade dans la cuisine. Il observe mon corps dans ma robe bustier beige, mes seins donnent l’impression qu’ils veulent s’échapper de mon bustier. Il me tend le verre en venant placer une main amicale sur mes fesses comprimées dans ma robe courte. Je le laisse tranquillement me caresser le postérieur en buvant une gorgée de citronnade.
Son regard d’antan n’est plus le même, il ne voit plus la gamine que j’avais pu être avant, mais plutôt la belle jeune fille sexy que je suis devenue.

Je me suis habillée dans ma chambre en me disant que je n’avait pas besoin de culotte par cette chaleur et que de savoir que j’allais chez  Mr Serge sans dessous, le minou à l’air m’excitais davantage.

Sa cuisine est un peu vieillotte, éclairé par une fenêtre qui donne dans la rue avec des rideaux en dentelle blanc, un évier en céramique usé, des étagères avec des bocaux et une table en vieux chaîne marquée par les années, il me dit en me dévisageant de haut en bas :

- Nom de dieu, tu sais que t’es une sacrée pépée, toi alors!

- Ah bon merci t‘es sympa! Alors qu’est ce que tu préfère chez moi?

- Tout, on a envie de te croquer quand on te voit!

Je lui sourit et pour le remercier, j’abaisse le haut de mon bustier pour exhiber mes deux obus devant ses yeux éberlués.
Il plaque ses deux mains sur mon derrière en rigolant, il se retrouve face à moi, heureux de me voir me dévoiler à lui et il intègre sa barbe entre ma poitrine voluptueuse.
Je suis contente de lui faire plaisir, lui qui n’a plus sa femme depuis des années.
Le vieux barbu me mangent les seins et me mord les tétons, mes mamelons s’endurcissent et je sens ses mains relever ma robe sur mes reins pour venir me malaxer les fesses.
Il devient dingue quand il s’aperçoit que je ne porte pas de culotte, alors tout en continuant à me bouffer les nichons, il passe des doigts sur mon intimité. Je me mets à mouiller comme une folle quand il enfonce un doigt dans ma fente pour le faire tournoyer efficacement. Sa bouche poilue passe de sein en sein, de téton en téton, tout en enfonçant un autre doigt dans ma minette encore vierge.
Debout entre la table et l’évier face à la fenêtre, j’apperçois un couple de vieux passé dans la rue derrière les rideaux, je repousse gentiment Mr Serge et m’accroupit pour ne pas être vue.
Surpris le vieux à la barbe blanche se retourne pour regarder la fenêtre puis voit ma tête à la hauteur de l’érection de sa salopette.
Je lui dit qu’il y a des gens qui viennent de passer devant la fenêtre et intriguée par la bosse devant mes yeux, je me mets à la caresser en lui souriant. 
Je me sens toute mouillée de caresser la trique du vieux Serge à travers sa salopette et même si c’est un homme qui me connaît depuis que je suis toute gamine, c’est la première fois que j’ai autant envie de sucer une bite.
Mr Serge me prend par le bras et m’invite à passer dans le salon pour m’installer dans son canapé.
Le salon est grand, les fenêtres donnent dans le jardin, une décoration ancienne avec des meubles d’époques, des tableaux de paysages avec une petite télé en face du canapé.

Assise à côté de lui, j’approche mes lèvres de sa barbe pour l’embrasser sur la bouche, je repasse ma main entre ses cuisses pour vérifier la grosseur de sa bosse.
Elle a un peu diminuée, je le frictionne alors davantage en enfonçant ma langue dans sa bouche.
Toujours les seins à l’air, il me les pelotent gentiment en faisant tourner sa langue contre la mienne.
Je suis vraiment entrain de le rendre fou car le vieux jardinier me fait tomber sur le côté du canapé pour s’allonger sur moi tout en gardant sa bouche contre ma bouche. Il m’embrasse sous l’oreille maintenant, sa barbe touffue sur mon cou, ma robe relevée, je sens sa bosse toute dure s’exciter entre mes cuisses ouvertes.
Il redescend ses lèvres poilue le long de mon buste pour revenir dévorer mes nichons, pendant que ma minette continue de dégouliner.
Il descend encore, tire sur ma robe délicatement pour la descendre sur mes hanches, il me mordille le ventre et me fait des chatouilles avec ses poils de barbe.
Il se relève pour mettre sa tête entre mes jambes, mes cuisses sur ses épaules, je vois ses cheveux blanc bouger de haut en bas en ressentant sa langue lécher ma chatte toute baveuse.
J’adore ce qu’il me fait et je lâche des petits râles de satisfaction pour lui faire comprendre de ne pas s’arrêter.
Mr Serge me bouffe le clitoris, sa bouche aspire les flots de mon liquide séminal et sa langue agile s’introduit à l’intérieur de mon intimité imberbe et vierge.
Mes jambes tremblent sous l’effet de ses sucions, je ne me contrôle plus et je jouis intensément en poussant un grand cri de libération fluide.

Le vieux pervers, la bouche trempée, ne tenant plus, se lève, enlève les bretelles des boutons qui tiennent sa salopette et baisse le tout à ses chevilles.
Je me rassois sur le canapé pour contempler le sexe du vieille ami de la famille dressé devant moi, sa bite est courte, épaisse avec des couilles de taureau qui pendouilles.
A part avoir caresser et branler quelques mecs avec qui j’étais sorti, je n’ai encore jamais pratiquée de fellation dans ma vie et je n’aurais jamais pensée que ma première bite dans la bouche serait avec un vieux cochon comme Mr Serge.
Mais bon après ce qu’il vient de me faire et de voir dans quel état je l’ai mis, sa queue tendue en face de moi me donne envie de le goûter pour ma première fois.
J’avance ma tête, prend le prépuce avec mes doigts pour  décalotter son gland et le branler devant ma langue qui lèche son bout. Je lève les yeux pour voir la gueule du vieux jardinier regarder mes lèvres se déformer et s’engouffrer sur sa bite épaisse. Ca me fait bizarre de sentir ce bout de chair tout dur glissé sur ma langue pour venir toucher ma gorge. Je recommence à mouiller en activant ma bouche sur la pine de Mr Serge. De nouveau trempée, je sors doucement sa queue de mes lèvres pour venir lécher ses bourses gonflées à bloc en lui secouant la bite rapidement.
La bouche ouverte, papy serge me regarde lui bouffer les couilles tout en le masturbant.
J’apprécie ce pouvoir de salope de le rendre cinglé pour pouvoir arriver à extraire son jus de couille.
Excitée je le reprends en bouche pour le pomper plus vite.
Le vieux cochon ne va pas tarder à éjaculer car sous l’effet des va-et-vient de ma bouche chaude sur sa queue, je sens une légère coulure amère au fond de ma gorge.
Je n’ai encore jamais goûté de sperme, mais ses testicules me semblent pleines à craquer.
Pour ne pas tout avoir à avaler, je retire délicatement mes lèvres de sa bite pour venir le branler furieusement devant ma bouche grande ouverte, la langue tirée.
Mr Serge fixant le visage de sa petite Ludivine prête à recevoir tout son foutre dans la gueule, se met à gémir et dans une dernière crispation, m’envoie un long jet gluant qui me recouvre toute la langue, un deuxième jet brûlant encore plus épais me rentre dans le gosier et sans m’en rendre vraiment compte, j’avale son sperme en refermant la bouche, une troisième giclure me frappe les lèvres que j’ai refermées, puis tout le reste vient s’étaler sur mon visage d’innocente suceuse.
J’ai fermé les yeux car je suis recouverte de sperme du vieux Serge qu’il à dû garder en lui depuis des lustres! »

- Tu vois Lucie, ça m’a vraiment plu d’avaler une partie de son foutre, c’est un peu amer mais j’ai trouvée ça excellent tout de même!  

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19 - Confidence au marché


C’est une belle région que la Normandie, dommage que le temps change si vite.
Une pluie fine tombe depuis ce matin et le ciel bleue d’hier à été remplacé par une brume grisâtre.
Ludivine me propose d’aller faire un tour au marché du village malgré la grisaille.
J’enfile un bas de survêtement et un sweat à capuche gris clair et Ludi un jean équipée du k-way bleu marine de son père, elle nage dedans, mais au moins elle sera au sec.
Sur le chemin qui mène de la maison au centre du village, Ludi me dit qu’elle a mal dormi, qu’elle a repensé toute la nuit à la queue de Mr Serge qui lui a craché dans la bouche pour la première fois de sa vie et quelle comprenait mieux pourquoi Elodie aimait autant sucer des bites.
Je lui fais part de mon avis sur la question en lui expliquant qu’à moi aussi ça m’ai arrivé plusieurs fois et que je l’ai même déjà fait avec des hommes âgés.
Ludi n’en revient pas de savoir que sa copine a pratiqué des fellations à la chaîne et que j’aime avaler le sperme de tous ses vieux pervers.
Si elle savait la pauvre qu’en plus de ça son père m’avait pris par tous les trous, je me demande ce qu’elle dirait!

On arrive au marché, Ludi me dit qu’elle a hâte de revoir Mr Serge pour pouvoir le re-sucer encore. Je lui réponds qu’il n’y a pas que le vieux jardinier, je lui parle de Malika qui depuis qu’elle a connue sa première bite dans la bouche, ne peux plus s’en passer et qu’elle essaye d’assouvir le plus de queue possible depuis que je lui est dit que tous les hommes aimeraient se vider les couilles dans sa gueule de beurette.

- Toi aussi Ludi si tu aime ça, tu devrais faire plaisir à tous ses hommes qui rêveraient de se faire sucer par ta belle petite bouche pulpeuse!

- Attend Lucie, arrête! Ca me donne envie de pomper tous les mecs que l’on vient de croiser là!

On voit que les gens d’ici sont habitués à ce temps pluvieux car ils ont tous prévus un parapluie.
Une fois rentrée dans le marché, on retire nos capuches pour lâcher nos cheveux longs, les parapluies qui passent devant nous et les toiles des stands couverts nous protègent des gouttes pour le moment.
On se balade à la recherche de babiole, de petit bijoux ou de souvenir que l’on pourrait ramener avec nous.
On se marre toutes les deux à chaque fois qu’un homme nous dévisage accompagné de sa femme ou pas. On essaye aussi de deviner la taille de leur quéquette ou bien de savoir s‘ils sont poilues, ça nous fait rire.

Un vendeur nous interpelle en passant pour nous proposer ses vêtements d’été, jupe, robe, pantalon, chaussure…
On jète un coup d’œil vite fait, c’est pas très cher mais pas trop à mon goût.
Ludivine regarde une paire de ballerine et un t-shirt, le vendeur sentant qu’elle hésite à les prendre lui propose de les essayer dans la camionnette derrière qui fait office de cabine d’essayage.
Ludi me regarde avec son air malicieux, je lui fait signe d’y aller et j’attends avec la vieille dame assise qui tient le stand avec le vendeur qui accompagne Ludivine à la camionnette.
Non! elle ne va pas se taper ce monstre quand même?
Le vendeur habillé en survêtement bleu clair est un homme d’une quarantaine d’année, de taille moyenne et qui doit peser dans les cent kilos, les cheveux dégarnit blonds mi-long plaqués en arrière avec de la graisse, il n‘a pas vraiment le profil d‘un vendeur mais plutôt celui d‘un boucher.
Je fa    is semblant de m’intéresser aux vêtement pendant que Ludi fait ses essayages; en regardant dans un miroir posé sur le stand, je vois le gros vendeur monter dans la camionnette et fermer un rideau de l‘intérieur, sûrement pour conseiller Ludivine sur sa tenue?
Quelques minutes plus tard, ils ressortent, je vois Ludi s’essuyer la bouche avec un kleenex en sortant de la cabine avec le gros un grand sourire aux lèvres, le vendeur lui à mis le t-shirt et les ballerines dans un sac et Ludi me fait signe de nous éclipser rapidement.

Sur le chemin du retour, elle m’explique pourquoi il ne lui a pas fait payer les affaires et pourquoi il lui en a fait cadeau.

« Une fois dans la camionnette, il fait sombre, mais il y a une ampoule allumée qui éblouit un grand miroir posé dans le fond, je me suis assise sur un fauteuil bas sans pied, le fauteuil est mou, je m’enfonce dedans pour enlever mon k-way qui me gêne et pour pouvoir essayer les ballerines à ma taille. Le gros vendeur rentre en refermant un rideau improvisé qui nous cache de la vue des passants du marché, il me demande si elle me vont bien, je lui réponds oui que ça à l’air d’aller. Il me tend la main, je l’attrape pour qu’il m’aide à me relever, je le remercie et me regarde dans la glace.
Je vois le regard sadique du gros vendeur dans le reflet qui juge mes formes sous mon jean brut qui colle mes fesses et mon petit pull noir décolleté en v qui moule mes seins. Au lieu de me dégoûter son visage de porcin m’émoustille et je retire d’un coup mon petit pull noir pour voir sa réaction quand il découvre mon soutien-gorge noir transparent sous cette lumière blafarde.
Les yeux écarquillés, il me passe le t-shirt et je prends un malin plaisir à faire ma salope en prenant tout mon temps pour essayer le t-shirt.
Je lui dit que les articles me plaisent mais que je dois faire un choix parce que je n’ai pas assez d’argent pour m’offrir les deux, je retire le t-shirt et me rassoit sur le petit fauteuil restant en soutien-gorge, le gros vendeur et son ventre gras debout devant moi.
Son regard passant de mes yeux à mon soutif qui laisse apparaître mes tétons, il me dit avec son visage bouffi qui se déforme en me souriant:

- Y’a toujours un moyen de s’arranger, non?

Le gros porc ne m’attire pas du tout, mais la situation me plaît bien et le fait de savoir qu’il y a une bite qui ne demande qu’a sortir de ce bas de survêtement en face de mon visage, m’excite vraiment.
Le gros vendeur l’a bien compris en voyant approcher délibérément mes lèvres au niveau du milieu de son pantalon, mes yeux lui suppliant de me montrer sa pine et de me la foutre dans la bouche.
Voilà il l’a fait, il l’a sortit, après avoir remonté son bide énorme avec ses mains en baissant son survêtement sur ses grosses cuisses, j’enfonce entièrement son gland dans ma bouche, mouillant au passage ma petite culotte.
Sa bite est peu plus longue que celle de Mr Serge, je peux aisément allonger mes lèvres coulissantes dessus, mes va-et-vient sur le bâton de chair le font grossir encore dans ma bouche chaude. Je ferme les yeux pour sentir encore mieux ce mélange de sueur et de pisse dans mes narines, contrairement à ce que je me disais avant, sucer une queue et sentir toutes ses odeurs de mâle en rut m’excite violemment et je ressens des frissons dans ma culotte déjà toute humide.
La queue toute dure, j’expérimente une gorge profonde pour connaître la sensation d’un gland venir toucher le fond de ma glotte, je me retire et recommence jusqu’à cogner mes lèvres sur les poils de sa bedaine, ma salive dégouline sur un côté de ma mâchoire et je le garde à moitié en bouche maintenant pour pouvoir placer des doigts et le branler entre mes lèvres.
Ma branlette est efficace car il m’asperge la gorge de sa jute de gros cochon que je m’empresse de goûter avec avidité. Le liquide gluant se déversant dans ma gorge, j’en avale tellement une grande quantité que j’ai l’impression qu’il me pisse du foutre au fond de la gueule, mais bon je suis tellement excitée que je bois tout son sperme et aspire même les gouttelettes qui ressortent de son gland à la fin de son éjaculation dans ma bouche de belle pompeuse.

- Wouaaw tu reviens me voir quand tu veux si tu as besoin de quelque chose! Tiens je te les files mais dit rien à ma mère ok?!… »

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20 - Barbecue avec saucisse


Les péripéties de Ludivine me donnent des envies de sexe, mais une fois rentrée à la maison, il m’est difficile d’approcher Michel pour qu’il me prenne dans un coin de la baraque.
Liliane ne se doute de rien sur mes vues de baiser encore avec son mari, mais ils ont toujours quelque chose à faire, elle ne le quitte pas d’une semelle et je dois me contenter de me toucher le soir avant de m‘endormir.


Le lendemain la journée est maussade mais il ne pleut pas, c’est déjà ça.
Les parents de Ludi doivent partir faire des courses pour préparer le barbecue qu’ils organisent ce soir avec quelques amis.
Ludi me dit que c’est des gens super sympa et que l’on va faire la fête avec eux ce soir.
En fin d’après-midi, le temps se découvre et on aide à installer et à dresser les tables dans le jardin.
Je libère ma chambre pour la laisser à des invités de la famille qui vont rester dormir cette nuit et pose mes affaires dans la chambre de Ludivine.

Les premier invités sont là, c’est une famille un couple avec deux enfant, Liliane me présente son frère Alain, bel homme de trente huit ans, cheveux châtain court, fin mais musclé, commercial dans la région; sa femme Linda, belle brune aux cheveux longs, assistante dentaire, leur fils Lucas six ans et leur fille Flora quatre ans.
Ludi et sa mère sont ravies de les voir et je fais leur connaissance. Les enfants m’ont déjà adoptés et je joue un peu avec eux pour leur faire plaisir.
Pendant ce temps là, d’autres personnes sont arrivées, je dit bonjour à tout le monde, il y a des amis de Liliane, des potes à Michel et quelques voisins du village.
Je ne sais plus trop qui est qui car il y a maintenant une bonne vingtaine de personnes qui prennent l’apéro dans le jardin.
Le barbecue est prêt, la braise à bien pris et les merguez, saucisses, côtes d’agneaux et cuisses de poulets sont prêtes à se faire griller.
Dans le jardin, plusieurs mômes courent et s’amusent, je bois un kir en compagnie de Liliane, d’Alain et de Linda qu’en je vois débarquer Ludi et son Mr Serge bras dessus bras dessous.
Mr Serge nous fait la bise, il s’est mis sur son trente et un, il passe de groupe en groupe pour aller saluer les gens qui ont l’air de tous le connaître et va aider Michel à tenir le barbecue.
Je remarque que Ludi et moi sommes les seules jeunes filles de la soirée, à part nous et Linda la tante de Ludivine qui ne doit pas avoir plus de vingt-cinq ans, on dénote avec nos tenue sexy.
La plupart des hommes sont en pantalon chemise, les femmes habillées classique et sobre, sauf nous, Ludi à mis sa petite robe moulante noire pour sûrement émoustiller papy Serge, Linda porte une mini-jupe noire avec un petit pull rouge ouvert sur sa poitrine et moi, une jupe à volant bariolée et un body blanc qui maintien fermement mes gros seins.
Je continue à boire d’autres kirs et grignote les apéritifs et les petits fours que l’on a aidé préparer cet après-midi.
Ludi à ramené de la musique et les invités qui commencent à avoir bien bu se lâche sagement.
Ca discute, ça mange, ça rigole dans une ambiance familiale et sympathique.
Un peu à l’écart, je distingue quand même les regards lubriques de la gente masculine sur ma personne. Je ne leur en veux pas car vue ma tenue vestimentaire, mon visage mutin de blondinette et mes nichons qui pointe en l’air, je ne peux que les comprendre.
Quelques hommes sont même venues me faire la conversation pour savoir qui j’étais et apprécier mes formes de plus prêt.
Je guette Ludivine, mais je ne la vois toujours pas, je ne m’inquiète pas car Mr Serge est toujours au fourneau avec Michel et ses potes.
Linda et Alain m’on rejoint pour me donner une assiette de saucisses et je fini mon kir en les remerciant.
Liliane vient chercher Linda pour lui présenter quelqu’un et je reste seule debout avec Alain qui me regarde manger mes saucisses avec les doigts.
Ca le fait sourire de me voir bouffée comme une cochonne, alors je m’amuse devant lui à prendre une saucisse dans ma bouche et à la faire glisser sur mes lèvres doucement pour en croquer un bout, un fois le morceau mangé, je passe délicatement ma langue sur mes lèvres pour nettoyer la graisse qui à coulée sur ma bouche, il me regarde gêné et ne rigole plus du tout de voir cette jeune blonde excitante habillée comme une salope sucer des saucisses en face de lui.

- Hum… Tu as l’air d’aimer ça?!

- Oui j’adore les saucisses, surtout quand elles sont bien grosses!

- Aah bon… tu devrais goûter la mienne alors, je suis sûr qu’elle te plairait?!

Stupéfaite de sa réponse et de l’ambiguité de la question, j’explose de rire en comprenant que l’oncle de Ludivine me fait des avances en me proposant de goûter sa queue.
Alain se met à rire aussi pour ne pas passer pour un con et je lui réponds que ça me plairais bien de pouvoir le déguster!
Surpris par ma réponse, il n’en revient pas que la belle  blondinette sexy de la soirée à envie de lui sucer la bite et me demande de l’attendre discrètement dans le garage de la cour de l’autre côté du jardin.
Je passe par la maison, il n’y a personne, je rentre dans la cuisine et ouvre la porte qui donne dans le garage directement.
Quelques minutes plus tard Alain pousse le rideau de la porte extérieur du garage et la referme calmement.
Le voyant se pointer devant moi je m’accroupie entre le mur et la voiture garée pour déboutonner le jean de Alain qui me regarde sortir sa grosse saucisse de son caleçon.
Il ne m’a pas menti, parce que c’est vrai qu’il en a une énorme qui gonfle déjà dans ma bouche.
Je ne peux pas la faire rentrer entièrement dans ma gueule, alors je garde mes lèvres préssées sur son gland en le masturbant énergiquement.
Ma tête sécouée par les acoups de cette branlette dans ma bouche me rende toute mouillée.
Alain heureux de voir cette jeune et jolie blonde le fixer, sa queue entre mes lèvres pour en récolter la semence; mais tout d’un coup, il me tire par les bras pour me plaquer sur le ventre contre le capot de la voiture en relevant ma jupette et en baissant mon string blanc à mes genous.
Il malaxe mes fesses et les écartes pour découvrir ma vulve toute mouillée, il se baisse et lèche ma chatte dégoulinante, sa langue remonte jusqu’à mon anus et il essaye de l’enfoncer le plus profondément qu’il peut dans mon petit trou et craché sa bave gluante à l’intérieur pour l’humecter le mieux possible.
J’ai l’impression que sa grosse bite à envie de me sodomiser et ça m’excite encore plus en pensant à sa  belle femme qui est peut-être entrain de le chercher pendant que son mari colle son sexe tout dur contre mon anus pour me péter le cul.
Coincée par mon string les jambes serrées, Alain me pénètre violemment la rondelle avec son gland, je serre les dents pour ne pas hurler, il me maintient les fesses pour faire rentrer sa grosse queue et dilater au maximum mon trou du cul.
J’ai mal mais en même temps j’aime sa grosse bite toute dure qui s’acharne à l’intérieur de mon derrière.

- Aaah t’aime ça te l‘a prendre dans le cul, hein cochonne…!

Alain défoule sa grosse pine dans mon cul et j’essaye d’étouffer mes cris en fermant mes lèvres et en agrippant mes mains sur le capot de la voiture de Michel.
Alain continue à me déchirer les fesses, il m’encule sauvagement et malgré la douleur, j’adore le sentir me dominer de cette façon.
Après un dernier va-et-vient, il m’empoigne fortement les fesses en les arrachant presque avec ses poignées de main et vient me balancer toute sa séve brûlante dans les entrailles; sentant le fond de mon orifice remplit de tous ses jets de chaleur me combler, je jouis intérieurement pour ne pas alarmer les voisins de ce qui se passe dans le garage.
Je ne me suis même pas rhabiller, le cul toujours en l’air que Alain à déjà disparu du garage.
Je trouve un chiffon qui traîne sur un établi et m’essuie le derrière du foutre de Alain qui coule de mon petit trou sur ma chatte et je me rhabille pour ouvrir la porte doucement et rentré dans la cuisine.

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21 - Bien mangé, mais surtout bien bu


Je vais pour ouvrir la porte de la cuisine, mais au moment où je l’entrouvre légèrement pour constater qu’il n’y a personne, j’aperçois Ludivine à genou sur le carrelage près de l’évier qui bouge sa chevelure au niveau du bas de pantalon de Mr Serge; ce qui me surprend le plus, c’est la présence de Gerald un des potes de son père à côté d’elle qui tient son sexe en se le frictionnant. Contre la porte de la cuisine qui donne dans le salon, Aurélien un autre des vieux potes de Michel fait le guet pour voir si personne ne vient les déranger, il a aussi intégré une main dans son pantalon pour se secouer l’entrejambe.
Ils n’ont pas remarqués l’entrebâillement de la porte d’où je peux les espionner et je peux facilement observer la bouche de Ludivine grande ouverte se régaler des giclures blanchâtres du vieux Serge qui atterrissent au fond de sa gorge.
Pour faire passer le tout, Ludi attrape la queue dressée de Gerald et se met à le sucer comme une gorée.
Gerald qui est le vieux pillier de comptoir du pmu où va jouer Michel, ne doit pas avoir l’habitude de se faire pomper le dard par une jeune beauté comme ma copine car il lui envoie vite son bouillonnement de couille entre les lèvres qu’elle s’empresse d’essayer d’avaler malgré les reliquats de foutre qui dégouline le long de sa bouche.
Inconsciemment à la vue du spectacle que m’offre mon amie, j’ai mis ma main dans ma culotte et me masturbe agréablement.
Aurélien qui doit être le plus âgé de la bande à pris la place des deux autres débris et apprécie la caresse de la langue de Ludi sur son petit pénis poilue, elle pousse son prépuce avec ses lèvres pour le gober entièrement. Aurélien qui me semble être un peu gâteux prend vigueur sous les sucions dévorante de la belle petite suçeuse à genou devant lui.
Ludi encore la bouche dégoulinante de sperme des deux autres vieux cochons, la bite d’un septuagénaire entre les lèvres m’excite gravement, j’aimerais être à sa place et je m’enfonce un doigt, ma main toujours dans ma culotte.
Gerald qui fait le guet au coin de la porte du salon donne l’alerte, papy Aurélien qui n’a pas eu le temps de jouir ramasse son attirail dégoûté, pendant que Ludivine se lève, reprend ses esprit et s’essuie la bouche avec un torchon.
C’est Liliane sa mère qui vient chercher des gobelets en plastique en demandant à tout le monde si ça va.
Aurélien en s’asseyant sur une chaise dans un coin de la cuisine dit qu’il se sent un peu fatigué, Gerald est repartit et Ludi accompagne sa mère rejoindre les invités dans le jardin.
Le vieux Aurélien, le visage dépité assis dans le coin sur sa chaise, frustré de ne pas avoir éjaculé dans la bouche de la fille de son pote, ressort sa petite queue encore toute raide pour se faire une branlette pour sûrement se finir.
Toujours excitée malgré le déroulement de la scène, j’ouvre la porte, complètement ahuri de voir la copine de la suçeuse, la jolie blondinette aux gros seins s’installer à genou entre ses jambes et poser ses lèvres sur son gland pendant qu’il continue à se masturber, il me laisse descendre mes lèvres sur son attribut pour les faire remonter et les redescendre plusieurs fois.
Je le garde un moment au fond de ma bouche pour ressentir ses soubresauts de liquides glaireux que j’aspire avec gourmandise.
Je me lève et m’en vais en passant ma langue entre mes lèvres et en lui faisant un clin d’œil, le pauvre vieux m’a fait pitié, je ne pouvais pas le laisser comme ça!

Une fois de retour au barbecue, il ne reste que les potes à Michel qui me semblent bien éméchés, les autres couples avec leurs enfants sont parties.
J’aide Ludi et sa mère à faire un peu de ménage pendant qu’Alain et Linda vont coucher les enfants.
Les hommes assis sur les bancs de la grande table en bois de la cuisine en sont au digestif et rigolent bien en nous voyant travaillées.
Il commence à être tard et je boirais bien un petit coup en leur compagnie. Ludi reste avec moi, boire un whisky coca et Liliane nous souhaite une bonne nuit en faisant attention de ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller les enfants.
Alain et Linda nous ont rejoint pour un dernier verre mais ne traîne pas car ils ont fait de la route aujourd’hui et vont se coucher à leur tour.
Ludi et moi en sommes déjà à notre deuxième verre quand Mr Serge, Gerald et Aurélien culbabilisant d’avoir cracher tout leur foutre dans la bouche de Ludivine et ne se sentant pas trop à l’aise entre elle et son père Michel, prennent le chemin du retour pour rentrer tranquillement chez eux. Le vieux Aurélien me fait quand même un clin d’œil en partant.

Les autres potes de Michel, eux sont ravies de voir deux petites jeunettes super bien foutues participer à leur rigolade générale.
Au moment où Ludi va pour se servir un troisième verre, Michel lui balance une remontrance qu’elle n’apprécie guère, énervée par son père et l’alcool, elle quitte la table et me laisse seule avec Michel, Gilbert, Léon, Denis et un autre dont je ne sais plus le prénom.
Je ne l’a comprends pas, Michel lui à dit seulement de ne pas trop boire, que c’était pas du petit lait mais du whisky, mais bon visiblement fatiguée et un peu bourrée, Ludi à prit la mouche pour aller se coucher.
Michel qui commence à être un peu saoul se rapproche debout derrière moi, il met ses mains sur mes épaules nues et me fait un gros bisous sur la joue devant ses copains.

- eeehh les gars, hein c’est pas beau ça, regardéé là…

Michel me demande de me lever et de tournoyer sur moi-même pour montrer mes formes à ses amis.
Je m’exécute en souriant ma jupe à volant se relève en tournant pour dévoiler mon string blanc qui me rentre dans la raie du cul sous le regards brillants des hommes assis en face de moi.
La tête me tourne et je manque de tomber quand Denis qui est assis sur le banc au plus prêt de moi, me rattrape dans ses bras in extremis.
Le jardin qui est éclairé un peu partout par de puissantes lampes hallogènes montre mes deux gros seins qui son sortis de mon body durant ma chute.
Denis qui m’a récupérer avant que je m’étale par terre me relève debout les nichons à l’air devant tout le monde.
Je rigole confuse en remettant mon body sur mes nibards, je me rassois et bois une gorgées de whisky coca entre Denis et Michel qui se sont assit contre moi.  
Les hommes me complimente en blaguant et en essayant de connaître la taille exacte du gabarit de ma poitrine.
Des idées cochonnes me parcours l’esprit et je sens mon string s’humidifié au contact de Michel et de Denis me serrer entre eux.
Michel passe une main sous la table pour venir me caresser la cuisse et après avoir bu une autre gorgée de whisky, je passe à mon tour mes deux mains sous la table pour venir les placer sur la bosse du pantalon de mes voisins.
Sous la vision des six paires d’yeux en face de moi, je défais la fermeture de chaque côté pour sentir entre mes doigts les sexes à l’intérieur des slips.
Denis ne croit pas vraiment à ce qu’il est entrain de vivre, la petite bombe aux gros seins qui lui branle la bite sous la table devant ses copains, Michel, lui n’a pas perdu de temps et à tirer sur mon string pour mettre ses doigts sur ma chatte baveuse.
Les autres potes assis de l’autre côté de la table, leurs regards fixés sur mes bras et mes épaules qui bougent de haut en bas, comprenne vite ce que je suis entrain de faire à Michel et à Denis et dans la minute qui suit, je vois aussi leurs mains descendre sous la table.
Ils me dévisagent tous, ma grosse poitrine qui se dodeline au dessus de la table, je regarde la bite de Michel grossir et celle de Denis qui arrive bientôt à expiration sous l’effet de ma branlette sur sa queue.
Je n’ai pas envie qu’il éjacule n’importe où, je le veux dans ma bouche à foutre, alors je lâche le sexe de Michel pour me mettre sous la table, m’agenouiller sur la pelouse entre les cuisse de Denis et le masturber encore plus vite, mes lèvres collées contre son gros gland.
Au moment où il m’envoie son nectar gluand, j’avance ma bouche au milieu de sa queue pour lui faire comprendre qu’en plus d’être une belle jeune blonde au gros nichon, je suis aussi une belle jeune blonde avaleuse de sperme.
Je me retourne pour constater qu’effectivement les trois autres ont tous sortis leurs grosses quequettes de vieux pervers pour espérer se la faire sucer par la jolie blondinette qui est sous la table.
Excitée comme une truie, je passe de bite en bite pour les pomper et les essorer de leurs trop pleins de couilles pour boire tout leurs coulis laiteux.
Michel s’est levé et quand je sors de sous la table, il fait signe à ses potes qu’il revient et m’entraîne avec lui au fond du potager derrière le cabanon à outil.
Les bras appuyés contre le cabanon, Michel retire mon string complètement, j’écarte un peu les jambes pour tenir l’équilibre, il relève ma jupe sur mes reins et s’enfonce dans ma chatte toute mouillée encore toute excitée d’avoir pompée toute ses bites dans ma bouche de salope.
Je le sens en manque de ma chatte depuis plusieurs jours car il me besogne sans ménagement, je pousse des petits cris discrets à chaque coup de queue dans mon vagin.
Il continue longtemps à me prendre comme ça en levrette, il tire sur mon body pour libérer mes mamelles qui se balancent quand son ventre vient cogner contre mes fesses .
L’effet de l’alcool prolongeant la durée pour mon plus grand plaisir, Michel m’allonge sur la pelouse, m’écarte les cuisses pour me prendre en missionnaire, les jambes en l’air pour me baiser profondément.
Il me soulève les fesses de la pelouse avec sa force pour me défoncer encore plus sauvagement, je cache ma bouche contre son bras pour ne pas hurler de bonheur, je dégouline comme une fontaine en sentant ses couilles frapper mon cul, je serre ses hanches comme une furie pour le sentir encore plus en moi et il m’électrise quand sa lave bouillonnante explose dans le plus profond de mon intérieur, je jouis comme une folle en le mordant de mes lèvres sur son épaule.

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Par Brav Bitt - Publié dans : jeune avec vieux
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