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  • DEBAUCHE D'UNE BLONDINETTE
  • : jeunes avec vieux Histoires érotiques
  • : Lucie et ses copines attirées par les vieux pervers racontent leurs rencontres et leurs expériences sexuelles dans ce journal plus que intime... Tous les récits écrits et imaginés ici ne sont que purs fantasmes extrêmes. TOUTES LES PHOTOS PUBLIEES SUR CE BLOG AINSI QUE LES HEROINES DECRITES DANS CES HISTOIRES ONT PLUS DE 18 ANS ET SONT MAJEURS.
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Mardi 14 juin 2 14 /06 /Juin 17:33

1 - La chambre de bonne


J’ouvre les yeux avec difficultés, j’ai mal à la tête. Je suis allongée sur un lit dans une chambre sombre. J’ai l’impression qu’il fait jour, malgré les rideaux qui masquent la lumière naturelle.

Un goût amer dans la gorge, je déglutis, ma salive me semble plus épaisse que d’habitude. J’ouvre la bouche, mais je dois faire un effort pour décoller mes lèvres l’une de l’autre. Ma peau est sèche et mes cheveux poisseux.
Je me relève, une drôle d’odeur de renfermé et de sueur règne dans la pièce. En me relevant, je me rends compte que je suis sur un matelas dégueulasse posé à terre. Je me trouve dans une minuscule chambre de bonne avec pour tout mobilier, un lavabo et un miroir crasseux près de la fenêtre.
Je m’assois sur le matelas, prise de panique je me demande ce que je fais là. Je ne me souviens plus de rien. comment j’ai pu atterrir ici? Cet endroit ne me dit rien qui vaille.

Je me lève et remarque que je suis entièrement nue, je tire doucement le rideau de la petite fenêtre,
J’imagine que je suis au dernier étage d‘un immeuble, le temps est gris et la vue donne sur des rails et sur d‘autres immeubles.

Devant le miroir, apparaît une jolie jeune fille, avec des magnifiques yeux bleus un peu rougis par la fatigue, un visage juvénile malgré quelques traits tirés par une nuit agitée.
J’observe ma chevelure blonde légèrement ébouriffée. J’examine mon corps : mes jambes longilignes, mes gros seins en forme de poire, mon ventre plat et mon entrecuisse qui est totalement imberbe. Je me retourne et apprécie mes fesses toutes fermes.
Le gars qui m’a amené ici à dû bien en profité car je suis courbaturée de partout.

Je regarde autour de moi, il y a la porte d’entrée, la fenêtre avec le rideau noir, les murs sont blancs jaunis par le temps.
Au bout de quelques minutes, j’ai le regard sur la porte d’entrée et  je me demande si je ne serais pas enfermée?
Mais un détail me surprend, j’aperçois le loquet de la serrure qui n’est pas fermé. La porte doit certainement être ouverte? Réflexion faite, je me dis que je ne dois pas traîner ici.

Mais comment faire car je suis complètement nue?
Je me lève et me dirige vers la porte, et là encastré dans le mur un placard intérieur auquel je n’avais pas encore prêté attention.
Tout en fixant ce placard, je prie intérieurement pour qu’il ne soit pas vide, et pour qu’il y est quelques vêtements à me mettre.

J’ouvre le placard, et n’en crois pas mes yeux quand je découvre un sac à main, un sac H&M avec des vêtements féminins, plus un sac avec une paire de chaussure!
Il y aussi une jupe noire et un tee-shirt rose tournés en boule, mais maculés de tache blanche!?

Après avoir vérifié que la porte était bien ouverte et passée la tête à l’extérieur pour voir si personne ne m’attendait, je passe au lavabo pour me rendre présentable en enlevant toutes ses taches de sperme sur mon corps. Je me débarbouille et me coiffe mieux que bien, et j’enfile une jupe en jean ainsi qu’un caraco soyeux à bretelle rouge et des ballerines argentées que j‘ai trouvée dans les sacs.

Ce n’est pas grand-chose, et c’est sur que je ne vais pas passer inaperçue! parce qu’en plus d’être hyper sexy je ne porte pas de culotte!
Mais bon c’est déjà mieux que rien!

Je récupère le sac à main, laisse la jupe noire et le tee-shirt souillés . N’entendant aucun signe de vie, je sors dans le couloir et commence à descendre les escaliers. J’ai dévalé tous les étages. Je suis arrivée en bas et je n’ai aperçu aucune âme qui vive, la voie est libre et je m’engage dans la rue.

2

2 - Le métro sexuel


Je me retrouve sur un grand boulevard, je sais que je suis dans le quartier de Picpus à Paris. je reconnais car j’y suis déjà passé en voiture. Je continue sur le boulevard en attendant de trouver le métro le plus proche.
Le regard de tous les hommes et les petits sourires qui en disent longs, me rendent mal à l’aise. J’ai l’impression, quand je les croise,  qu’ils sont tous au courant que je ne porte pas de culotte sous ma jupe?
Alors pour tromper les regards, je fouille dans mon sac à main, trouve ma carte d’identité et un sursaut de lucidité me revient :

Lucie Creuzeau - 18 ans - née à Paris
Jean-Louis Père entrepreneur - Clotilde Mère comptable
Fille unique
Habite a Paris 16ème
Etudiante au Lycée Marie Curie
Meilleure amie Ludivine Marshall


J’arrive enfin à une bouche de métro, j’achète un ticket avec  les quelques pièces que je trouve dans mon sac, et prend la direction du métro qui va me ramener chez moi.
Je me sens mieux tout d’un coup. Tous mes souvenirs me reviennent par bride, je suis ailleurs, je souris, contente d’avoir retrouvé la mémoire.
Sur le quai, un homme d’âge mûr bedonnant qui est à côté de moi se met à me sourire.
Je remets la tête dans mon sac, en l’ignorant, je cherche mon téléphone portable.

Le métro aérien arrive à quai, je monte dans la rame suivie du monsieur qui mate sans gêne mes seins qui ne porte pas de soutient-gorge.
C‘est très calme à l’intérieur, il y a juste quelques personnes dans le fond du wagon.
On a changé d’heure et les jours se sont rallongés.
Je m’assois sur une des banquettes à quatre, il n’y a pas grand monde dans notre rame, mais le vieux se met en face de moi, les mains entre ses cuisses.
Je tire sur ma jupette en jean car j’ai complètement oublié cette histoire de culotte sur le coup!
De toute façon il n’est pas sensé savoir que je n’en porte pas.
J’essaye d’allumer mon téléphone, mais visiblement je n’ai plus de batterie.
Le métro est passé en souterrain.
Je regarde le reflet de l’homme dans la vitre, il me dévisage de haut en bas.
Je continue à trifouiller mon portable et j’aperçois ses mains caresser une énorme bosse à travers son pantalon!
Les stations défilent et toujours personnes qui montent dans notre wagon.
J’ai rangé mon téléphone et je jette un oeil furtif sur les mains qui frotte cette bosse qui semble grossir encore.
Je regarde rapidement mon reflet dans la vitre et comprend vite le monsieur qu’avec cette jupe qui dévoile la totalité de mes jambes et de mes cuisses, ce caraco qui fait ressortir ma poitrine et laisse apparaître le bout de mes tétons, je ne peux que le mettre dans cet état.
Ne sachant pas quoi faire je continue à l’observer jusqu’à que l’on arrive à une station. Les portes s’ouvrent et un couple vient s’asseoir sur la banquette d’à côté. Le vieux se penche et met ses mains sur les genoux pour cacher son érection.
Maintenant il regarde la vitre.
Etrange sensation, j’ai presque du regret qu’il ne continue pas son petit jeu.
Je sais qu’il m’observe à travers la vitre, et je ne sais pas ce qui me prend, je passe ma langue langoureusement au travers de mes lèvres.
L’effet ne se fait pas attendre il se remet en position, les mains entre ses cuisses.
Je fixe son entrejambe, ça lui plaît, il continue à se toucher plus discrètement.
Je ne sais pas ce que j’ai, mais je commence à être excité de voir ce gros porc dégueulasse se frotter le sexe en me reluquant.
On arrive à une autre station, le couple se lève et descend du wagon, personne d’autre monte. Le métro repart, le vieux monsieur me fixe cette fois. Je baisse le regard et retire sur ma jupe.
Il ne se laisse pas démonter et passe une main dans son pantalon pour se masturber. Je le regarde faire, et commence à sentir une moiteur dans mon entrejambe.
Il sort le bout de sa langue et continue de me dévisager en s’astiquant de plus en plus vite.
Voir ce gros visqueux se palucher en pensant à moi, me rend toute mouillée et je décide de le lui montrer.
Je relève ma jupe lentement tout en le fixant, je repasse ma langue entre mes lèvres plusieurs fois. Il me regarde faire, je me soulève un peu et tire sur ma jupe pour qu’il entrevoit l’éclat de mon petit sexe imberbe!
Il n’en revient pas! il sue de voir une petite jeune canon comme moi s’exhiber sans culotte devant lui.
Il se jette la tête en avant entre mes cuisses. Je sens sa langue me pénétrer, j’appuie sur sa tête pour qu’il l’enfonce au plus profond de ma chatte.
J’ai envie qu’il me nettoie de toutes ses bites qui m’ont souillé ces derniers temps.
Nous passons une autre station, je regarde mais personne en vue.
Lui ne calcule rien, il a passé ses bras sous mes cuisses et a les mains sur mes belles fesses toutes ronde. Il en profite, il dévore ma minette, il l’embrasse, la titille, l’aspire avec sa bouche, la lèche et l’enfonce avec sa langue, le siège est trempé de sa salive et de ma sécrétion.
Le métro continue sa progression sans perturbation.
Je lâche mes mains de son crâne dégarni.
Il relève la tête, sa bouche est toute baveuse, son front dégouline de sueur, il s’essuie et se rassoit en face de moi, tout en déboutonnant son pantalon.
Je suis toute trempée, son sexe trop poilu est tendu au maximum, je me mets a genoux devant lui, j’attrape sa bite et l’avale entièrement.
Je suis grave excitée, et je vais lui faire la pipe de sa vie à ce vieux bonhomme.
Je remonte lentement en pinçant mes lèvres sur son gland, je commence un va-et-vient de forcené, tout en appuyant ma main sur ses couilles qui me semble pleine à craquer.
Je sens que je vais encore en prendre plein la gueule!
Il n’est pas très propre, sa queue sent un peu la pisse, mais je ne sais pas, ça me rend encore plus folle! 
Tout à coup, on entend au microphone : prochain arrêt terminus!
Il met les mains sur ma tête, j’accélère le mouvement, mes lèvres toujours pincées, je me prépare à tout avaler.
Il appuie sur ma tête, j’enfonce ma bouche jusqu’à sentir son gland au plus profond de ma gorge, puis c’est l’explosion!
La première giclée me fait directement avaler sa jouissance, le reste vient fouetter mon palet et mes dents, ma bouche se remplit à ras bord, je déglutis vite pour pouvoir avaler la première gorgée, la deuxième gorgée suivit de près, à la troisième gorgée je me rends compte qu’en fait, il est toujours entrain d’éjaculer dans ma bouche, alors je me concentre pour avaler de plus grosses gorgées de sperme.
Je lève le regard vers le vieux dégueulasse, toujours sa queue dans ma bouche, je déglutis à chaque soubresaut de jute.
Le gros porc, le visage grimaçant est aux anges.
Enfin l’éjaculation se termine et il m’aura fallu une bonne dizaine de gorgées pleines de foutre pour pouvoir tout avaler jusqu’au bout!

Je rentre fière de moi, je n’ai perdu aucune goutte.

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3 - Rendez-vous avec Vincent


Heureuse de rentrer dans le studio que mes parents me prêtent, en attendant de finir mes études, je me vautre sur le canapé après avoir pris une longue douche bien chaude.
Je me remémore le temps passé entre mon réveil dans cette chambre glauque et la pipe royale que j’ai pratiquée à ce vieux porc.
J’en souris encore de voir sa gueule d’halluciné!

« Je me rappelle qu’il y a deux jours, j’étais parti faire du shopping sur les Champs-Elysée, je portais ma jupe noire, un string noir et mon tee-shirt rose sans soutien-gorge.
Ce qui mettait en valeur mes formes et me rendais super sexy.
J’adore voir le regard des hommes se poser sur mes seins pour observer le bout de mes tétons ressortir de sous mon tee-shirt.

J’avais pris un rendez-vous avec un homme d’une quarantaine d’année avec qui je tchattais de temps en temps sur internet.
On avait décidé de se rencontrer devant le Drugstore à 14h30 cette après-midi là.

J‘attends depuis deux minutes et le voilà qui arrive.

- Tu es encore plus belle en vrai que sur photo!

- Ah c’est gentil merci !
- Bonjour Vincent.

- Bonjour Lucie.


On est parti prendre un verre et on a discuté un peu de nous pour mieux faire connaissance.

En se découvrant, on en est arrivé à parler de sexe. Il faut dire que c’était notre principal sujet de conversation sur le net.

C’est vraiment un homme sans tabou et de nature pervers.
Je ne le trouve pas spécialement beau, il est même plutôt banal, mais je le trouve intéressant et assez excitant.
 
Après avoir commandé plusieurs cocktails alcoolisés, il me raconte certaines choses de son expérience et une partie de ses fantasmes les plus fous.
Pendant ce temps-là, la main sous ma minijupe discrètement sans qu’il me voie, je me caresse le clitoris.

- Et toi Lucie, as-tu un fantasme en particulier?

Je réfléchis un moment, et je lui avoue que depuis que j’ai connu le sexe, je ne peux plus m’en passer.

- Vincent, j’ai vraiment l’impression d’être une accroc au sperme, j’aimerais en boire des différents tous les jours!

Je suis folle, n’en croyant pas mes oreilles d’avoir dit cela a un homme que je connais à peine.

Il sourit, ça lui donne une idée.
Il me propose de m’emmener sur une aire d’autoroute en banlieue ou bons nombres d’hommes seraient ravi de se soulager dans ma bouche.

Excitée par ses propos et par l’alcool, j’accepte et nous partons en direction de la banlieue nord.

On a quitté Paris, on roule maintenant sur l’autoroute pour atteindre l’aire de repos.
Je lui demande:
- Il y beaucoup d’hommes a satisfaire quand nous serons là-bas?

- Ooh quelques uns, ça dépend des jours!
- Mais bon, si tu te sens déjà en manque, tu peux toujours      commencer par moi?

Une main sur le volant, son autre main défait sa ceinture de pantalon.
Je me penche vers lui pour l’aider à défaire sa braguette.
Je passe ma main sous son caleçon, il bande moyennement.
Je commence à le masturber et sors son sexe tout rasé.
Il a été gâté par la nature de ce point de vue là.
Je commence par faire tournoyer ma langue sur son gland, tout en continuant à le branler.
Il s’endurcit, je descends ma bouche vers ses couilles, je les mordille, les mets dans ma bouche, les recrachent, plusieurs fois.
Je relève la tête, regarde Vincent, il double un camion doucement.
Je pose mes lèvres sur son gland et le masturbe avec plus de vigueur.
J’imagine la gueule du routier, voire la scène par la vitre de son camion, une chevelure blonde entre les cuisses de son chauffeur, la jupe relevée jusqu‘aux hanches, le string à l‘air.
Cette vision m’émoustille, je veux son jus maintenant.
Alors j’accélère la branlette, tout en englobant la totalité de son gland.
Je le pompe à fond, ne ralentissant pas la cadence.
Je sais qu’il va craquer, il y a de la salive partout sur ses couilles.
Je continue encore plus fort jusqu’à faire toucher le bout de son gland au fond de ma glotte.
J’entends un « Rrrrrraaaaa » de satisfaction, alors j’attrape ses fesses pour appuyer au maximum mes lèvres contre son ventre et le haut de ses couilles. La puissance de son jet au fond de ma gorge me donne un renvoi, mais j’arrive quand même à rester collé contre ses couilles. Les giclées que je reçois après m’envahissent les joues, j’avale le tout par gorgée en retirant ma bouche tout doucement.

- Wahou, dis donc, t’es une sacrée pompeuse, toi!
- Les mecs du parking vont se régaler!

- Oui merci, tu vois je t’avais prévenu!

Le parking est en vue, on stationne, il y a plusieurs voitures avec des hommes à l’intérieur.

J’avoue que l’endroit n’est pas rassurant.
Mais Vincent me met à l’aise, j’ai confiance en lui.
En attendant que ça bouge, il me raconte quelques anecdotes. Il me fait rire. Je commence à me détendre, Vincent s’approche de moi, me touche en bas, me soulève le tee-shirt  pour mordiller mes tétons.
Je suis toute trempée.
Il malaxe mes seins, retire ma culotte, et introduit un doigt, puis deux, puis trois dans mon intimité.
Il baise ma petite fente avec sa main, je mouille de plaisir.
J’ai bien compris que les hommes à l’intérieur des voitures, nous épient.

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4 - Toilettes pour hommes


Sur le parking, trois jeunes hommes sortent de voitures pour se diriger vers la petite maison des toilettes publiques.

Vincent arrête ses caresses pour me dire d’aller les rejoindre aux toilettes.
Je suis un peu déçu qu‘il retire sa main et je reste interloqué par sa demande. Il veut que j’y aille seul.

- Ne t’inquiète pas, je suis là. Je te rejoins, je veux juste que vous fassiez connaissance.
- N’est pas peur, vas-y, rentre dans une des cabines de toilettes pour hommes, j’arrive après.

Je me rhabille, sans remettre ma culotte, je sors de la voiture et vais vers la maisonnette.
J’ai un peu peur mais je suis encore toute excitée, et c’est vrai que j’ai encore envie de me rassasier en sperme.

Arrivé devant l’entrée, je vois les trois mecs devant les urinoirs.
Je tremble et je baisse la tête en passant derrière eux.
Ils se retournent légèrement pour me voir passer.
J’ouvre un toilette, m’installe sur la lunette des WC et laisse la porte entre-ouverte.
Je me sens alors en panique de savoir que ces hommes m’ont vue rentrée dans leur territoire.

J’aperçois une ombre sur le reflet du carrelage, la porte s’ouvre.
Devant moi un jeune homme, le membre à la main se masturbe.
Il s’approche rentre dans le cabinet et m’arrose de son foutre en plein visage!
Je suis complètement surprise, quand j’ouvre les yeux, je vois un autre jeune dans la même position, et lui non-plus ne tarde pas à projeter sa semence contre mon visage!
Jamais deux sans trois, le troisième ne se fait pas attendre. Il est face de moi pareil, s’astique la queue devant ma jolie bouche, mais cette fois je ne me fais pas avoir et je l’ouvre bien en grand.
Il a une grosse éjaculation bien chaude sur ma langue puis le reste part sur mon visage et mes cheveux, j’en ai partout.
Le sperme coule sur ma jupe noire et mon tee-shirt rose.
Ils avaient vraiment très envie.

Je vais pour me lever quand j’entends des pas sur le carrelage.
La porte est restée ouverte, l’ombre d’un homme corpulent surgit dans ma cabine, il se débraguette, derrière se trouve d’autre personne. Je comprends que je vais devoir essorer toutes les bourses pleines qui se présentent à moi.
Le costaud m’attrape par les cheveux, me force à engloutir son braquemart. Il me tire par les cheveux vers lui et je l’aide en posant mes mains sur le haut du derrière de ses cuisses. Il empoigne mes cheveux contre son ventre poilu pour que je l’engloutisse profondément. Sa réaction ne tarde pas et il m’envoie sa purée directement dans l’estomac.

Je baisse la tête pour reprendre mon souffle.
Un type plus petit se présente à moi, lui m’attrape par le cou, me l’enfonce sèchement et me baise littéralement la gueule.
Ces va-et-vient brutaux me donnent envie de gerber, mais heureusement son chibre n’est pas trop imposant.
Je le supporte, mais je me dégage pour lui bouffer ses boules gonflées, il apprécie. Je le reprends en bouche, pressent ses roubignolles et il ne se fait attendre, un déferlement de son liquides envahis mon palet. J’avale presque tout, je suis couverte d’un mélange de salive et de sperme.

Les prochains sont rentrés à trois et je les éponge à tour de rôle. Les suivants prennent le relais.
Pendant que je m’exécute sur une bite, les autres se paluchent en me regardant, m‘insulte ou commente la scène vulgairement.
J’imagine le spectacle, voire une blondinette au visage angélique taillé des pipes à la chaîne à des inconnus en avalant des tonnes de  foutres. Ca doit les rendrent dingues!
En tout cas, moi ça me rend folle. La preuve les trois jouissent, l’un après l’autre, dans ma bouche, sur mes lèvres, sur mes joues, sur mon nez, dans mes cheveux.
Je suis recouverte de foutre, ça coule dans mon cou, sur mes cuisses et ma jupe et mon tee-shirt sont maculés de salive et de sperme.

Ils sont tous sortis?

Je me lève, prend le papier pour m’essuyer, mais rien à faire, j’en ai vraiment partout.

- Lucie t’es là?

C’est  Vincent, il est avec deux autres messieurs qui ont l’air très âgés.

- Tiens cadeau! Voilà deux autres candidats!

Je les regarde, il n’est pas sérieux, il veut que je suce ces deux vieux débris?!

Les deux messieurs rentrent dans mon toilette.
Vincent a fermé la porte me laissant seul avec eux.
Ils me dévisagent avec de grands yeux, la bouche ouverte.
Les deux vieux me font pitié, alors je m’accroupis pour défaire leur braguette.
Mais le premier a déjà sorti son petit sexe tout mou.
L’autre s’est assis sur les toilettes.
Sa queue est toute molle, verte, tachée et veineuse. Je la tire de haut en bas. Je le mate, il a un filet de bave sur le coin de la bouche. L’autre vieux assis est dans le même état, le zizi à la main.
J’ai beau tirer, elle ne grossit pas. Je la goûte activement.
Il ne bande toujours pas. Je m’énerve, je le branle et je me mets à le pomper comme une cinglée en tirant dessus avec mes lèvres.
L’autre vieux s’est levé, le sexe dans ma direction, il s’astique le poireau et me demande ma bouche à son tour.
Lui par contre à l’air bien à point, car j’ai à peine posé mes lèvres qu’une épaisse liqueur amère coule le bout de son gland.
J’aspire le gluant dans un grand bruit de succion.
Epuisé, langue pendue il se rassoit sur les WC.
Je passe ma langue sur mes lèvres et me remet à bouffer l’autre mollusque. j’y vais à fond pendant plusieurs minutes.
Je le branle avec mes lèvres en tirant dessus au maximum.
Je commence à trouver le temps long, mais j’ai envie de faire cracher ce vieux vicieux.
En plus l’autre vieux c’est carrément allongé par terre, la tête sous ma jupe, il me lèche goulûment.
Je suis carrément excité et je veux boire toute la jute du vieux cochon.
Une idée perverse me traverse l’esprit.
Je rentre le petit sexe le plus au fond possible dans ma gorge, je fais passer la première couille à l’intérieur de ma joue et l’autre couille à l’intérieur de mon autre joue.
En voyant ce visage de gamine déformé par sa bite et ses couilles, le vieux se met à bander tout doucement.
Je commence à sentir son gland grossir au fond de ma gorge, je bouge ma tête de haut en bas, sa chair s’élargit encore, je me dis que je vais étouffer s’il continue, alors je bouge ma langue sur la bite et les couilles qui sont à l’intérieur de ma gueule, et dans un dernier gonflement, il crache sa jute au goût de pisse pour me remplir complètement.
J’ai les yeux exorbités, je sors de ma bouche une à une les couilles du vieux bonhomme en laissant échapper un filet de salive et de sperme sur le front de l’autre débris qui continue à me manger la chatte et le cul.

Les vieux messieurs sont partis, c’est je crois le plus beau jour de leur vie.
Vincent m’a rejoint dans le cabinet et ferme la porte.

- Alors tu t’es bien amusé?

Je lui souris, souillée des pieds à la tête.

- Bon maintenant avant de partir, il faut tout nettoyer?!

Toujours agenouillée, je le regarde sans vraiment comprendre.
Il me montre du doigt toutes les marques de sperme qui sont collées sur le carrelage.
Je vais pour attraper du papier toilette, mais il m’arrête, pousse ma tête vers le carrelage et me fait signe de le nettoyer avec ma langue!
Abasourdi par sa requête, je visualise l’état du sol, il y a des grumeaux étalés un peu partout.

- Alors quoi, qu’est ce que tu attends? lèche.

Sans réfléchir, je sors ma langue et commence à laper les grumeaux de sperme froid.
De toute façon avec toute ce que j’ai dû avaler, je ne suis plus à ça près.
Bizarrement, le fait d’être dans cette position, à quatre pattes, dans un toilette pour hommes, jouant la chienne, me procure une nouvelle excitation.

Je lèche les carreaux avec ferveur, j’y mets ma langue, mes lèvres,  ma bouche toute entière pour qu’il n’en reste plus une seule goutte.
Vincent regarde sa femme de ménage travaillée, il a sorti son pénis et se masturbe comme un dingue.
Pour me motiver encore plus, je me suis introduit un doigt dans la foufoune. Le sol est presque propre.
Vincent s’approche, relève la lunette des WC, se baisse un peu et dans un dernier coup de main sur sa queue, éclabousse son foutre sur les rebords du toilette, puis va se finir sur la cloison murale.
Après avoir fini de faire briller le sol, je comprends que mon travail n’est pas terminé.
Je me tourne vers le toilette, colle mes lèvres sur les rebords et aspire le foutre avec des bruits de succion qui résonnent à travers la cabine.
J’attaque la cloison avec ma langue. Je la fais glisser de bas en haut le long du mur, pour éviter que les gouttes ne se répandent par terre. Quand j’ai fini de récolter le tout et qu’il n‘y a plus de trace sur le mur, je fais tourner le sperme dans ma bouche, l‘ouvre pour le montrer à Vincent, puis l‘avale d‘un trait.

Je me dis que j’ai eu ma dose de sperme pour aujourd’hui et que je suis vraiment une belle Salope!

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5 - L’abandon sur l’autoroute


Ça fait cinq bonnes minutes que Vincent est parti chercher la voiture pour la garer devant les toilettes et je suis vraiment inquiète.
Je suis toujours à l’intérieur du cabinet des WC.
Je me prends la tête en pensant qu’il m’a peut-être abandonné ici, toute seule sur une aire d’autoroute.
Le pire est que je n’ose pas sortir, car même si je me suis nettoyée avec le peu de  papier hygiénique qu’il restait, mes vêtements sont totallement recouvert de foutre qui commence à sécher.

Ah j’entends quelqu’un rentré, c’est peut-être lui qui vient me chercher?
Mais non, visiblement c’est un qui est dans le cabinet d’à côté.
J’entends la chasse d’eau et les minutes passent. Toujours personne.
Bon faut que je réfléchisse, maintenant c’est clair, il m’a laissé ici, souillée de sperme et sans ma petite culotte. Quel salaud!
J’entends à nouveau des bruits, des écoulements et les chasses d’eaux des urinoirs.
Bon faut vraiment que je fasse quelque chose, je ne vais pas moisir dans des chiottes pour mec quand même!
Oh la là, mais dans quelle galère je me suis fourrée!

Une idée me vient à l‘esprit, je me dis que j’aurais plus de chances de trouver de l’aide dans les toilettes pour femme. Elle comprendrait mieux ma situation et accepterait de me raccompagner chez moi.
Ma minijupe et mon tee-shirt sont encore tout tachés, mais le sperme a séché maintenant.
J’ouvre la porte tout doucement, je ne veux pas qu’un homme me surprenne, vue la réputation de l’endroit et de tout ce que j’ai déjà reçu dans la bouche.

Je me dirige précipitamment dans le coin des toilettes pour dames sans me faire surprendre, ouf.

J’angoisse, je ne sais pas quelle heure il est, mais le jour est tombé, et la nuit ne va pas tarder.
Le temps passe, j’ai entendu des gens, mais j’ai l’impression qu’ici, il n’y a que les mecs qui vont pisser.

Ah ce moment-là! une femme surprise de me voir, rentre et se dirige vers une cabine. J’attends qu’elle finisse et quand elle ressort, je vais vers elle et lui parle de ma situation.

- Bonjour excusez-moi de vous déranger, mais j’ai un problème, je suis venue ici avec un ami, mais lui est reparti sans moi et je ne sais pas comment repartir?

C’est une femme la quarantaine passée, elle n’est pas trop mal mais à un look de pouffiasse.
Elle me toise et me dit :

- Ah bah ça c’est pas de chance ma cocotte!

- Oui, est-ce que vous pourriez m’aider, je ne sais vraiment pas quoi faire?

- Ton mec t’a planté ici, pourtant t’es sacrément mignonne.

- Merci. Je n’ai plus mes affaires sur moi, mais je vous paierais si vous voulez bien m’aider.

- Eh tu sais, tu peux tout me dire? On me l’a fait pas à moi!

- Je ne comprends pas, que voulez-vous dire?

- Arrête, ça se voit sur ta figure et même sur tes frusques!

Elle me regarde, je baisse la tête, je ne sais plus ou me mettre.

- T’es venue sucer des bites, c’est ça, non?

- Oui mais maintenant je suis toute seule, là. Il m’a laissé en plan, je ne sais pas quoi faire, s’il vous plaît?

J’insiste et je me sens monter les larmes aux yeux.

- T’inquiète pas poupée, on va te ramener, mais je te préviens je ne suis pas toute seule.

Heureuse qu’elle accepte, je la prends dans mes bras et la remercie vivement.

- Merci beaucoup, je m’appelle Lucie.

- Fanny, enchantée.

Je la suis en direction de sa voiture.

- Pourquoi il t’a lâché ton copain, tu voulais pas le sucer?

- Non, ce n’est pas mon copain, c’est un homme que je ne connais pas vraiment. En plus si, je lui est fait plaisir, je comprends pas!

- Dis donc, dis-moi tu n’as pas dû sucer que celui-là?

Je baisse le regard, sans lui répondre. On arrive à la voiture.
Elle monte du côté conducteur, il y a un homme côté passager.
Je monte à l’arrière, le bonhomme le regard ébloui par ma présence, se retourne pour me mater.

- Tiens Francis, regarde ce que je te ramène!
Le Francis n’en croit pas ses yeux de voir une petite blonde aux gros seins en mini jupe, s’asseoir dans la voiture.

Après avoir fait les présentations, la voiture démarre direction l’autoroute.
Nous roulons tranquillement. La nuit est tombé et je me sens rassuré d’avoir quitté l’aire de repos.

Francis me propose une bière. Il a un stock caché entre ses pieds.
Vu les événements passés, j’accepte volontiers.

Nous discutons brièvement de choses et d’autres.
Francis à l’œil dans le miroir du pare-soleil qui est rabaissé et ne quitte pas mes cuisses du regard. Je me pose la question, aurait-il constaté toutes ses taches ou que je ne porte rien sous ma minijupe?
Je continue à boire ma bière comme si de rien n’était, en imaginant qu’il est en train de bander.
Je repense aussi à toutes ces bites que j’ai avalées.

C’est à ce moment que Francis commence à parler de sexe.
Il parle de Fanny qui à me semble t’il sucer des queues dans les fourrées derrière la maison des toilettes de l’aire de repos!
Fanny rigole. J’hallucine!

- Et toi ma belle, alors dis-moi, t’as dû être gâtée?

Je reste interloquée aux propos que Fanny insinue sur moi devant Francis. Lui se retourne, me sourit, cligne de l’œil et me tend une autre cannette de bière.
Je prends la cannette, l’ouvre et en boit une grosse gorgée.

Pendant que Francis me complimente sur ma beauté, Fanny met sa main entre ses jambes.

- Eh ben, elle te fait de l’effet la petite chérie derrière. Tu bandes comme un cochon!
 
Moi ne savant plus où me mettre je continue à boire ma bière à grosse gorgée.

- Tiens Lucie, regarde ça, regarde dans quel état tu le mets!

Elle défait les boutons de son jean, et en sort le bout de chair dressé.
Je me sens obligée de le regarder. Elle le tient du bout des doigts, tout en conduisant.

- Alors c’est pas beau ça, ça te donne pas des envies, Hein?

J’aperçois son énorme sexe tout dur, derrière son bide poilu. C’est un homme gras d’une cinquantaine d’années, bouffi, le visage rougit par l’alcool, un regard pervers, il n’est  vraiment pas attirant, mais il a  une grosse quéquette.

Je me remets dans le fond du siège pour finir ma cannette.
Le Francis se tourne pour me contempler.
Le chibre à la main, il commence sa petite branlette.

- Montre moi tes nichons!

Il y a des fois où j’aimerais être moche, surtout en ce moment!
J’hésite une seconde, et remonte mon haut dans le creux de mes épaules. Il découvre ma belle poitrine toute ferme en forme de poire, mes tétons pointant vers lui. Il accélère le mouvement sur sa queue.

- Fais voir ta culotte, maintenant!

Merde, je peux pas faire ça, ils vont découvrir que je suis vraiment une vraie salope si j’écarte les cuisses!
Alors pour gagner du temps, je finis cul sec ma bière et lui tend ma canette vide.
Il lâche son immensité, pour en prendre une autre et me la donner.
Je prends tout mon temps pour l’ouvrir et je la bois lentement.

Fanny ralentit pour prendre une sortie pour aller chercher de l’essence. Francis à calmé ses ardeurs.
Ouf, sauvée, il était temps, je remets mon tee-shirt.
Francis fait un peu la gueule et à ranger son attirail.

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6 - En voiture avec Fanny et Francis


Fanny est descendu pour faire le plein, Francis aussi, je les vois qui parle deux minutes et Francis part visiblement faire un tour aux toilettes.
Je les attends en continuant à boire ma bière. Je me sens d’ailleurs un peu pompette. Mais dans cette situation, je préfère être un peu saoul.

Fanny est parti payer, ils reviennent tous les deux ensembles.
A mon grand étonnement, Francis ne s’installe pas du côté passager, mais derrière à côté de moi, il a racheté de la bière.

Fanny redémarre la voiture, en me regardant dans le rétroviseur.

- Ca va Lucie, vous allez vous amuser un peu, hein?

Je réponds timidement.

- Euh oui, oui…

J’ai bien peur de devoir passer à la casserole avec ce gros porc, qui ne va sûrement pas tarder à découvrir que je n’ai pas de culotte.
Je me recroqueville dans mon coin et je regarde le néant par la vitre.
On continue à rouler et je sens son regard lubrique sur mon corps. Il se rapproche.
Je me tourne, la canette de bière à la bouche.

- Tu aimes ça?

- Quoi, la bière?

- Non sucer des bites?

Je lève le cou pour ravaler un peu de bière.
Il me prend la main et la pose sur la bosse au milieu de son jean.
Je sais que je n’ai plus le choix, et je n’ai pas très envie qu’il découvre que je porte pas de dessous, alors je me baisse pour déboutonner son jean. Il soulève sa bedaine, il fait sombre, mais c’est suffisamment éclairé par les lampes de l’autoroute pour qu’il me voit le prendre en bouche.
Je sors sa grosse queue poilue, il est déjà dressé comme tout à l’heure, je tire sur son prépuce jaunâtre, découvre son gland rougi, pose mes lèvres dessus et descend vers ses balloches tout doucement.
Cet homme me dégoûte, mais là de savoir que j’ai son énorme sexe dans la bouche et que ce vieux cochon va tout me cracher dans la gueule, ça me rend hystérique.
Je me sens toute humide d’un coup.
J’attrape les bourrelets de ses hanches et je j’essaye de le garder entièrement dans ma gorge pendant quelques temps, je remonte tout doucement, puis je me mets à l’ingurgiter sauvagement. L’odeur infecte que dégage sa pine alimente mon excitation et je veux le faire dégorgé rapidement, alors je le pompe, je le pompe, jusqu’à faire toucher son gland contre ma glotte.
Il n’en peut plus, il gicle une partie de son foutre dans le fond de ma gorge, il me repousse, je me retire avec des flots de crème le long de ma bouche et il continue de m’arroser la face à grands coups de jets.

Le gros porcin, la langue pendante est tout essoufflé, il scrute mon visage barbouillé de sa semence. Je vais pour m’essuyer mais il me stop et me demande de rester dans cet état. Le sperme  se répand sur ma joue et mes lèvres dégoulinent de ce que je n‘ai pas pu absorber.

Francis ouvre une autre bière, en boit une bonne rasade.

- Tiens rince-toi la bouche!

Je prends la canette, et boit à mon tour avec le mélange de sperme toujours collés à mes lèvres.
Je ne suis pas à l’aise avec cette matière qui refroidit sur mon visage. Une belle nana comme moi avilit par ce vioc répugnant.
Je continue à boire pour oublier.

Nous reprenons une courte discussion banale, comme si de rien n‘était.
Fanny dit qu’elle doit repasser chez elle pour se changer avant d’aller à la soirée!
De quelle soirée parle t’elle?
Je lui demande si elle compte me déposer directement chez moi?
Après ce que je viens de faire à son pote, je pense que je mérite bien ça.

- Mais oui ma belle, ne t’inquiète pas, mais avant on va aller prendre un verre, on va continuer à faire la fête, tu veux bien, hein?

Je ne sais pas quoi dire sur le coup. Je ne sais pas où elle veut en venir alors je réponds par l’affirmative pour ne pas l’offusquer.

- J’habite dans le nord de Paris, on est pratiquement arrivé. Détends-toi ma chérie, on arrive bientôt!

Me détendre, j’aimerais bien l’y voir elle, le visage souillé de sperme, avec ce vieux poivrot, toujours la bite à l’air, accolé à moi la main sur mon épaule qui continue à me faire boire sa bière.

On arrive enfin chez Fanny, la porte du parking de l’immeuble s’ouvre lentement et on s’engouffre dans le souterrain.
Le parking est géant et on descend au moins deux, elle stationne à sa place et sors de la voiture.

- Ok attendez-moi là, j’en ai pas pour longtemps!

Il n’y a pratiquement pas de lumière dans ce parking et je suis un peu dégoûtée qu’elle me laisse seul avec le gros pervers toujours collé contre moi, la bière à la main.
On en a bu plusieurs depuis et je me sens ivre.
Je me détache de lui et entâmes une conversation pour faire diversion.

- Tu habites aussi dans le coin?

Il ne me répond même pas et passe une main sur un de mes nichons.
Il n’a toujours pas rangé son long sexe tout rétrécie mais qui apparemment commence à reprendre vigueur légèrement.
Je le repousse, mais il s’empare de mes deux globes pour les malaxer sous mon tee-shirt. Sa bite grossit à vue d’œil.
Il embrasse mes nibards et bouffe mes tétons. Je me sens trop saoul pour résister, je le laisse faire.
Il se relève, m’allonge brutalement sur la banquette et d’un coup rehausse ma minijupe pour écarter mes jambes.
Il n’en revient pas!

- Putain Salope, t’as même pas de culotte!

Ca le rend complètement fou de voir ma petite fente imberbe.
Il se défroque et me coince contre la banquette, écrasé par son bide, il passe ses bras sous mes cuisses pour les soulever, et me pénètre sans ménagement.
Je lâche un petit cri, quand je ressens son gland pousser pour me déchirer l‘intérieur.
Je suis bloquée par cet amas de graisse flasque qui me besogne furieusement.
Il est accroché à moi comme un coquillage sur son rocher.
J’ai ma jolie petite frimousse en face de sa sale gueule de gros vicelard.
Son poids et sa force me maintiennent, je ne peux plus bouger et j’accepte ses grands coups de queue au fond de ma minette.
Sous ses coups de butoirs, je me mets à mouiller intensément.
Maintenant il comprend que ça me plaît, alors plusieurs fois il sort sa grosse bite entièrement pour la renfoncer encore plus violemment.
Ma petite chatte serrée s’élargit de plus en plus, je ressens ses va-et-vient au plus profonds de moi.
Je vibre à chaque coup de reins, ne tenant plus, je sors ma langue au vieux sadique, on s’embrasse baveusement.
Un de mes nombreux cris de douleur et de jouissance étouffé par la bave de nos bouches collées, le font réagir, une sensation de chaleur liquide envahit l’intérieur de mon ventre, j’hurle de plaisir.

Le vieux salaud à tout éjaculer au fond de ma chatte.
Il m’a violée, mais bon j’ai adoré!

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7 - Soupçon de souvenir


Fanny arrive juste au moment où l’on a fini de se rhabiller.
Elle porte un sac avec des bouteilles dedans.
Francis est descendu, il récupère les bouteilles pour se rasseoir devant.
La voiture démarre, on remonte le parking pour sortir, puis elle s’engage dans une rue.

- Alors les amoureux, pas trop fait de bêtise?

Francis se marre, mais ne dit rien.
Fanny dit ça au moment où ne pouvant plus me retenir, le sperme de Francis dégouline de ma chatte et se répand sur le siège.
Je l’étale un peu avec mes cuisses, mais comme il y a de grosse flopée, je le récupère discrètement avec mes doigts.

Tous les deux discutent de la direction à prendre pour rejoindre la soirée.

Moi pendant ce temps là, du foutre plein les doigts, ma chatte toujours en train de couler,  je me demande ou je vais bien pouvoir le mettre, ma jupe et mon tee-shirt doivent rester sec pour aller à cette soirée.

Francis ouvre une bouteille de whisky et commence à boire au goulot!

Ne savant pas trop où étaler cette substance, je porte les doigts à ma bouche discrètement. J’effectue plusieurs aller retour de ma chatte à ma bouche pour bien me la remplir.
Au même moment Francis me tend la bouteille de whisky, ayant la bouche pleine et ne pouvant pas lui répondre, je l’attrape avec ma main propre et en boit une rasade pour faire passer le tout!

- Ah t’aime bien picoler toi aussi, hein?

- Wouah c’est fort, je préfère avec du coca!

- Mais non vas-y c’est meilleur comme ça, faut s’habituer c’est tout!

Je reprends plusieurs gorgées et lui rend sa bouteille, j’ai la tête qui me tourne et m‘enfonce dans la banquette.

Je me sens complètement saoul, je comate pendant tout le trajet.
Je n’entends plus rien autour de moi, à part de temps en temps le rire de Francis et de Fanny.
Je ne dors pas vraiment, mais après toutes ses émotions, je me sens éreinter de fatigue.

On est arrivé à destination, et j’ai du mal à me réveiller, je suis toujours dans le coltar.
J’entends les portes claquées, ma portière s’ouvre, je vois Francis me secouer.
Il m’attrape, me sort de la voiture, met mon bras autour de son épaule et me prend par la taille pour que j’avance en même temps que lui.
Je me laisse guider par Francis, on rentre dans un immeuble pour monter des escaliers et je me laisse porter pour grimper les marches en retombant dans un sommeil précaire...»

Bon, c’est pas tout mais j’ai une autre journée pour repenser à tout ça demain, allez au dodo.

Je mets mon réveil sur mon téléphone portable que j’ai rechargé pour demain matin, défait le canapé lit, m’engouffre dans les draps, j’éteint la lumière et me souhaite une bonne nuit.

Je vais pour fermer les yeux quand mon téléphone se met à sonner!

Il est vrai que j’avais vu que ma messagerie contenait plusieurs messages, mais je n’avais pas eu le courage de les écouter.
Ca devait être ma mère qui s’inquiétait?
Je prend le téléphone et finalement décroche.
- Allo oui maman!
- …
- Oui oui ça va.
- …
- Non ne t’inquiète pas, j’étais juste chez Nicolas, Hier.
- …
- Non mais je suis au lit, là! J’allais m’endormir.
- …
- Bon ok!
- …
- Ok à demain.
- …
- D’accord, moi aussi, bisous.

Le lendemain, je me prépare pour aller en cours.
J’envoie un sms à Ludivine pour qu’elle m’attende avant la classe.
J’habite au cinquième étage et mes parents au quatrième.
Je passe prendre le petit déjeuner avec eux pratiquement tout les matins. C’est pour cela qu’ils se sont inquiétés hier.
J’ai ma clef pour rentrer chez eux, et je les rejoint à la cuisine.
On prend notre café ensemble et je les rassure en leur expliquant que j’ai passé la nuit chez Nico.
Mes parents pensent que c’est mon petit copain, mais en fait, c’est juste un ami.
Les voilà rassurés. Je fini ma tasse de café et file retrouver Ludivine.

Ludi, c’est ma meilleur amie et je lui raconte pratiquement toutes mes histoires. On s’entend super bien mais elle n’est pas autant délurée que moi.
On fait partit des plus belles nana de l’école, et on se marre bien à faire bisquer les mecs.
Elle, c’est une belle fille châtain avec des reflets miel, les yeux gris-vert, une poitrine plus que généreuse, une paire de jambe élancée avec un beau ptit cul bien rond aussi ferme que le mien.
On sait bien que tout les mecs nous veulent dans leur lit.
Elle sait que je suis plus fofolle qu’elle, mais elle m’adore et elle ferait n’importe quoi pour moi.

J’ai pris le bus pour arriver à l’école, je suis en avance, mais Ludivine est déjà là, elle m’attend.
Elle me dit qu’elle a essayé de me joindre au téléphone plusieurs fois hier, mais que je ne répondais pas.
Je n’ai pas vraiment envie de lui raconter tout ce qui m’est arrivé, alors j’invente un bobard.
Je lui explique que j’ai passé la journée avec un homme et que je n’avais plus de batterie. Ludi veut en savoir un peu plus, alors je lui explique que l’on a couché ensemble et que je suis resté chez lui.
Elle n’en revient pas et j’invente quelques détails pour créditer mon discours.
C’est l’heure d’aller en cours, elle me demande si je vais le revoir, je lui répond que non.

La journée à passé, je quitte Ludivine et reprend le bus pour rentrer à la maison.

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8 - Malika au Bois de Boulogne


Les beaux jours sont arrivés, le début de l’été ne va pas tarder et les filles s’habillent de plus en plus court.
Les semaines ont passés, nous n’avons pratiquement plus de cours, on ne révise même plus et je passe le plus clair de mon temps à battre le pavé avec mes copines.

Aujourd’hui, je suis au Bois de Boulogne avec Ludivine, Elodie et Malika.
Ludivine est ma meilleure amie, son visage mutin et ses longs cheveux châtains lui donne une élégance naturelle dans un corps parfait.
Elodie c’est un peu ma concurrente physiquement, blonde, yeux noisette, grosse poitrine, grande gueule et une vrai tête de cochonne.
Malika, c’est la jeune beurette introvertie avec ses yeux de chat, ses lèvres charnue, c’est une belle brune, cheveux ondulée, d’apparence mince mais avec des courbes de méditerranéenne.

Elles ont un rencart avec deux garçons rencontrés récemment.
Elles m’ont demandées de les accompagner pour me les présenter.

Benjamin et Kevin sont très sympa, mais un peu gamin à mon goût. On passe l’après-midi à rigoler de leurs sottises.
Sentant une affinité entre Elodie, Ludivine et les deux garçons, je propose à Malika d’aller se balader autour du lac.
C’est une fille un peu timide et elle accepte volontiers de laisser les autres dans leur complicité.

Sur le chemin, elle me parle de sa famille et de son environnement qui l’étouffe. Elle me dit qu’elle n’ose pas s’habiller comme nous, mettre des jupes, se maquiller, s’amuser et c’est pour cela qu’elle me dit qu’elle est réservée. Entre sa famille et sa religion, on ne l’a laisse rien faire et elle me dit qu’elle en a vraiment marre.

- Tu comprend Lucie, en plus t’imagine je ne suis jamais sortis avec un mec…

- Quoi? Tu veux me dire que t’as jamais embrassé un garçon?!

- Ben non, j’ai dix huit ans et je n’ai jamais embrassé un mec!

J’essaye de la comprendre et de connaître ses envies, de savoir si ça lui plairait?
Elle m’avoue qu’elle fantasme sur des mecs et qu’elle se masturbe régulièrement dans sa chambre en regardant des films pornos.
Je la rassure, je lui dit que c’est normal et qu’il faudrait qu’elle fasse le premier pas, qu‘elle rencontre un mec juste comme ça, pour le plaisir, elle se libèrerait.
Après avoir marcher le long du lac, on s’installe sur une petit coin de pelouse tranquille à l’abri des regards.
Je m’allonge, Malika observe mon corps, ma poitrine moulée dans un body marron, mes jambes nues sous mon mini-short kaki.

- T’es vraiment très belle Lucie.

Je relève la tête. Elle est habillée plutôt classique, pantalon noir et chemise à rayure, c’est pas super sexy, mais son regard de coquine ne laisse personne indifférent.

- Merci. Tu veux que je t’apprenne à embrasser?!

Elle baisse le regard et sourit, j’attrape son menton du bout des doigts et pose mes lèvres contre les siennes et lui roule un patin langoureusement. Elle vient se coller à moi, elle est nerveuse et tourne sa langue maladroitement dans ma bouche, je me laisse faire, je pose ma main entre ses fesses.
Je retire ma bouche pour venir l’embrasser dans le cou, sous l’oreille, son souffle s’accélère alors j’appuis mes doigts sur son pantalon. Elle se mets à me caresser les seins qui sortent à peine de mon body
Je ne suis pas particulièrement attiré par les femmes, mais l’innocence de Malika m’émeut, j’ouvre tous les boutons de son pantalon et passe ma main dans sa culotte pour faire tournoyer mon majeur sur son clitoris.
Je lui titille le lobbe de l’oreille et enfonce mon doigt dans sa chatte trempée. Malika dégouline, Malika  jouit dans un cri inaudible.

Elle ouvre les yeux et se relève surprise, un bonhomme passe doucement son chemin en nous observant.
Gênée, on s’en va dans la direction opposée vers le bois.

- Ca t’as plu?

- Oui bien sûr, mais Lucie je voudrais pas que tu pense que je suis lesbienne. Seulement j’ai regardé des films quelques fois avec des filles qui… enfin tu vois?!

- Oui, non mais rassure toi, moi c’est pareil, et j’adore trop les bites pour devenir gouine!

- Les bites?!

- Oui t’as jamais eu envie de sucer une bite?

- Si, si, souvent, mais j’ai jamais vraiment eu l’occasion de le faire.
Et toi, ça t’es déjà arrivée?

- Moi tu rigole, je raffole de ça, j’adore même avaler tout le sperme!

- Mais c’est pas dégueulasse?!

- Non moi j’aime l’avaler, mais t’es pas obligée, tu peux recracher si t’aime pas. Tu veux pas essayer?

Je lui explique qu’elle est super mignonne, jeune, fraîche et que tous les hommes rêveraient de jouir dans sa bouche et qu’il n’y a qu’à se baisser pour les ramasser.
Elle semble intriguée et me demande comment elle doit s’y prendre. Je lui dit que le plus important est que le mec ne doit pas sentir ses dents, qu’elle doit ouvrir grand la bouche, de bien faire glisser ses lèvres et de jouer un peu avec la langue et que le reste vient en pratiquant.

En quête d’une proie pour Malika sur un petit chemin boisé, je n’aperçois que des sportifs qui courent à plusieurs ou des cyclistes qui tracent la route.

- Il n’y a pas grand monde dans ce coin là?

- Oui c’est vrai, on retourne vers le lac.

Sur le chemin du retour, face à nous on remarque une silhouette au loin.

- Tiens regarde Malika, le bonhomme qui arrive là-bas, tu veux pas le sucer?

- Je sais pas, c’est vrai que ce que tu m’as dit me donne envie de goûter, mais j’ai un peu la trouille quand même.

- Mais non ne t’inquiète pas, tu vas adorer ça, fais moi confiance!

La silhouette se rapproche sur ce chemin sombre qui laisse transparaître quelques rayons de soleil.
Malika s’affole de savoir qu’elle va peut-être subir sa première fellation.
L’homme de loin marche tranquillement dans notre direction, il n’a pas l’air tout jeune, il à l’air grassouillet, il porte un jean, une veste à poche sans manche beige et des lunettes tamisées, le prototype du parfait sadique du bois.
Malika reconnaît le bonhomme qui nous à surpris tout à l’heure, elle me dit qu’il n’a pas l’air terrible, je lui répond pour la détendre qu’il en à peut-être une grosse, que vue son genre, il doit sûrement avoir les bourses pleines et qu’elle va se faire asperger la gueule.
Elle se marre mais semble terroriser de croiser ce type devant elle.

- Malika, quand il arrive, tu lui demande où se trouve le grand lac, ok?

- Je sais pas, il me fait un peu flipper, en plus regarde c’est un vieux. On dirait un gros porc!

A quelques dizaines de mètres devant nous, le vieux quitte le sentier et rentre dans le bois.
Malika me demande ce qu’il fait, je lui répond que j’en sais rien.

Arrivé à l’endroit où le bonhomme à tourné, on constate qu’il est toujours là, dans les fourrés, tourné contre un arbre, le sexe dans la main, nous regardant passer.
Malika veut tracer, mais je m’arrête sur le chemin au niveau de l’homme des bois et dit à Malika de venir.
Le vieux porc à tourner sa queue vers nous maintenant, en nous faisant un signe de la tête de le rejoindre.

- Allez vas-y, met toi à genoux devant lui et suce le. Regarde, je te l’avais bien dit, il n’attend que ça.

Voyant notre réaction sans prendre nos jambes à nos cou, le gros porc s’approche pour se masturber de plus près, puis à nous inviter derrière les fourrés.

Je prends Malika part les épaules pour aller nous cacher avec le vieux pervers tout souriant, content d‘avoir trouvé deux magnifiques petites salopes pour lui sucer sa grosse bite.

Une fois planqué, Malika qui bloque sur l’énormité du monsieur, n’hésite pas s’agenouiller devant lui pour venir timidement lui lécher le bout de la queue avec sa langue, ce qui a pour effet au vioc de faire baisser son froc à ses pieds.
Je me place à son niveau pour la voir engloutir doucement la grosse bite du vieux sadique.
La gueule de ma copine vierge, une grosse queue poilue enfoncer entièrement dans la bouche, provoque chez moi une nouvelle sensation de voyeurisme et j’en mouille mon string.
Je me mets à lécher les roubignolles dures comme du béton du vieux bonhomme, pendant que Malika, la bouche grande ouverte effectue un va et vient prudent avec ses lèvres sensuelles.

Le gros cochon n’en revient pas de voir deux petits canons, une blonde et une brune se défouler sur sa queue et ses couilles.
Malika aime ça, j‘entend des petits cris de plaisir, elle le prend en main et le branle énergiquement dans sa bouche, je vois qu’elle apprend vite.
J’ai passer ma main dans la fente de mon mini-short , voir Malika la petite sage dévorer cette sale bite, m’a rendu toute mouillée.
Je décroche mes lèvres des balloches du vilain pervers, pour incruster ma bouche entre ses cuisses, remonter parmi les poils jusqu’à son fessier graisseux pour pouvoir introduire ma langue à l’intérieur de son cul immonde.
Il ne pourra pas tenir bien longtemps, la langue d’une mignonnette blonde nettoyant son trou du cul avec la bouche de sangsue d’une superbe beurette encore vierge, il a de quoi devenir fou.
Ca y est, Il maintient le crâne de Malika sur sa pine et lui éjacule tout dans le gosier, je redescends vite mordiller ses couilles avec mes lèvres pour bien faire sortir tout son jus de porc, j’ai l’impression qu’il projète des litres de foutre dans la gueule de la beurette.
Complètement ahuri, les yeux sortant des orbites, toujours la queue du vieux dégueulasse au fond de la gorge et malgré les longues coulées de sperme débordantes de sa mâchoire, elle n’a pas d’autre choix que d’avaler.
J’observe scrupuleusement Malika vomir du sperme, moi pressant fermement les testicules du pervers que je veux vider jusqu’à la dernière goutte.
La beurette, le regard toujours exorbité, écoeuré de toutes ses rafales de foutre qu’elle doit ingurgiter, comprend qu‘elle doit finir de tout bouffer jusqu’à la dernière ration de bouillon crémeux.

Il finit par la lâcher enfin, je me précipite sur sa bouche avec ma langue pour récupérer les relents de sperme qui dégobille de son estomac.
Le vieux porc me regarde lécher et aspirer sa jute qui ressort de la gorge de ma copine éberluée et me dit:

- Désolé beauté, mais là, je crois qu’tu m’a tout vidé!

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9 - A propos d’Elodie


Ces derniers temps, je suis resté sage.
La dernière aventure qui me soit arrivé était avec Malika au bois de Boulogne.
Cette expérience nous a rapproché, elle s’est un peu dévergondé et pense beaucoup au sexe maintenant.
Moi de mon côté, je m’inquiète un peu, car depuis l’épisode sur l’aire d’autoroute avec Vincent, je n’ai plus reçue de nouvelle de sa part.

Mon portable sonne, c’est Ludivine. Elle me propose de passer chez elle pour discuter et écouter le dernière album qu‘elle vient d‘acheter. Elle habite pas tout près de chez moi mais je la rejoint chez elle.

Je sonne à la porte et tombe sur son père.

- Bonjour Mr Marshall.

- Voyons entre Lucie, et tu peux m’appeler Michel tu sais.

- Oui, merci. Ludivine m’a téléphoné…

- Oui, oui, vas-y, elle t’attend dans sa chambre.
- Ok alors j’y vais… Michel, merci.

Ludi est sur son lit avec ses écouteur, la musique à fond dans ses oreilles. Elle me voit, me fait la bise, et on discute de tout et de rien allongé sur son lit.
Je la sens angoissée et lui demande ce qui ne va pas?

- bah tu sais, Benjamin… Il m’a lâché pour se taper Elodie.

- Ah bon, mais je croyais que vous étiez bien ensemble, tous les deux?

Elle me raconte qu’en fait, Elodie s’est tapé Kévin et benjamin qui était devenu son petit copain.
Que Benjamin l’avait jeté parce qu’elle ne voulait pas coucher avec lui.

- Mais il te plaisait Benjamin, pourquoi t’as pas voulu?

- Ben, je voulais te le dire depuis longtemps, mais tu le garde pour toi… Bah en fait, je t’es toujours menti… J’ai jamais baisé avec un mec, voilà!

J’en crois pas mes oreilles, elle qui se vantait de coucher avec tout les mecs avec qui elle était sorti, me raconte qu’elle n’a même jamais sucer une queue, elle me dit qu’elle n’a connu que le touche-pipi avec les garçons, j’hallucine!

Je ne sais pas trop comment prendre ce mensonge, Ludivine gênée, me narre les exploits de Élodie pour combler le blanc entre nous :
 
« Benjamin m’a expliqué que Kevin qui baisait avec Elo, lui aurait dit que c’était une grosse cochonne et qu‘on pouvait tout lui faire.
Il paraît qu’elle a trouvé une place de stagiaire dans une boîte de pub pour deux mois cette été.
Elle s’est présenté en robe moulante à l’entretien, tu l’imagine avec sa gueule de petite pute et ses gros nibards. Elle voulait absolument le poste pour la formation qu’elle doit poursuivre après.

Le boss l’a convoquée dans son bureau et lui aurait demandé ce qu’elle savait faire?
Elle a répondu, rien mais vous ne me trouvez pas jolie?
Le patron en bavait qu’en il la regardait.

- Si, si vous êtes ravissante au contraire.

- Ah bien, donc vous pensez que je pourrais vous être utile à quelque chose, alors?

- Oui certainement, une belle fille comme vous ne peut que valoriser l’image de notre société.

- Merci monsieur, c’est très gentil. Je peux commencer quand?

Le patron se lève de son bureau, et se plante debout devant Elodie assise, la braguette du directeur à la hauteur de son nez, les mains sur les hanches de sa chemise.

- Tu peux faire un essai tout de suite si tu veux?

La bouche vorace a déjà sorti l’engin du patron, et exécute un aller retour sur toute sa longueur.
L’homme se laisse faire en plongeant ses mains dans le décolleté de la robe moulante pour en sortir les deux obus compressés.
Le boss sort sa trique dressée des lèvres de la jeune blonde pour venir la placer entre ses mamelons.
Elodie fixe son dirigeant et le branle prestement avec ses seins.
Après avoir défié le regard de son chef, elle baisse son cou, la langue tirée, le bout des lèvres attirées par la tête du gland qui rentre et ressort de sa poitrine.
Une fontaine grumeleuse jaillit sur sa langue, dans ses lèvres, sur son nez, son front, son cou, pour venir se répandre entre ses mamelles et couler dans son décolleté.

- Bon travail, tu commence demain matin. »

Ludivine continue à me raconter en quoi consiste le nouveau stage d’Elodie.

- Il paraît que depuis, elle travaille presque tous les jours et accompagne le patron de la boîte partout où il va.
Kévin a dit à Benjamin, que son boulot de stagiaire, consiste seulement a sucer la bite de son patron quand il en a envie, c’est tout!
T’imagine, Elodie doit le pomper, matin, midi et soir!

Le matin, dès qu‘elle arrive, en guise de bonjour au directeur, elle doit s’accroupir sous le bureau, défaire sa braguette, le décrasser avec sa bouche et faire dégorger le trop plein de couille en avalant tout son sperme, et ça même s‘il est au téléphone.

Tu vas me dire, c’est son actimel du matin!

Le midi, il vont dans un restaurant avec un salon privé.
Mais elle ne mange pas avec lui. Le PDG déjeune tout seul à sa table, sa petite stagiaire blonde sous la table cachée sous une longue nappe. Pendant que monsieur déguste, Elodie doit lui suçoter la queue durant le repas.
Elle suçote lentement jusqu’à la fin du dessert. Quand monsieur à fini et qu‘il s’essuie les mains dans ses cheveux, c’est le signal où elle doit lui bouffer la bite pour se délecter les babines de son digestif crémeux.

Drôle de façon de faire un régime, tu ne crois pas!

En fin de journée, c’est les heures où le directeur donne les rendez-vous avec ses clients VIP.
Elodie doit assister à toutes les réunions importantes.
Ce jour là, il a rendez-vous avec quatre japonais pour décrocher un très beau contrat.
Il demande à Elodie de préparer la salle de réunion pour l’occasion.

La salle est super classe, moquette beige épaisse, fauteuils gris en cuir capitonnés et une grande table en verre transparente.
Les hôtes arrivent et s’installent dans les fauteuils. Le dirigeant commence son speach et fait signe à Elodie de se mettre en place pour débuter son job.
Elle passe sous la table, à la vu de tous les clients qui la voit débraguetter le premier japonais sous la table de verre.
Son patron continue son discours comme si de rien n’était.
Elodie la tête dans le pantalon du jap, branle l’asticot dans sa bouche qui ne tarde pas à gicler en voyant cette jeune secrétaire blonde aspirer tout son nectar putride.
Le deuxième en a une plus grosse et elle le pompe avec empressement, un flux mousseux envahit alors sa gorge.
Le troisième est tout veineux, Elodie les lèvres dans le caleçon en éjecte tout le sirop abjecte dans le lointain de sa bouche.
Le dernier a sorti son instrument, elle le dévore pressée d’en finir, le japonais triche et profite de cette chevelure blonde lui tailler une bonne pipe. Elodie veut le faire jouir, alors elle englobe carrément la grandeur du sexe, sort le reste du bout de langue qui peut sortir de sa bouche pour venir léchouiller les testicules qui viennent exploser dans le tréfonds de sa gorge.

Le plus difficile dans son boulot, c’est qu’elle est obligée de tout avaler pour ne pas tâcher les clients, non!

Wotan's-wunderbare-Wichsvorlagen-6-14

10 - La chambre de Ludivine            


On change de conversation car le récit de Ludivine sur les péripéties d’Elodie commence à me démanger l’entrejambe. Le fait de savoir qu’Elo suce des bites à longueur de journée, me donne des envies de faire un stage moi aussi.

Ludi me fait écouter le cd qu’elle a acheter.
Moi, je me suis payé de nouveaux dessous et je compte les lui montrer.
Je me déshabille  pour lui demander ce qu’elle en pense.
Elle me regarde avec attention, j’enlève mes tennis, mon jean et mon sweat.

- Ouaw, c’est super sexy, t’es vraiment trop bonne comme ça! Attend regarde moi ce que j’ai mis aujourd’hui…

On se mate dans le miroir de son armoire, je porte une guêpière-bustier transparente violette qui dévoile tout mon buste, mon cul, ma chatte et ma grosse poitrine. Ludi a mis un mini shorty rose fushia assortie avec son soutien-gorge qui lui va à ravir.

- Huumm… mais tu sais que t’es pas mal non plus, je crois que si j‘étais un mec, là, tu me foutrais la gaule!

On se met à se caresser pour rigoler, puis je lui demande de tout enlever pour apprécier ses formes.
Ludi retire son soutien-gorge pendant que j’enlève ma guêpière et que je me fou à poil.
C’est la première fois que l’on s’observe et se touche de cette manière.
On se pelote mutuellement les seins, une tâche liquide apparaît au milieu de son mini shorty rose fushia, Ludivine mouille!
Je la pousse sur son petit lit d’une place et me couche sur elle, mes gros seins écrasés contre les siens, je la trouve vraiment très belle, mon visage au dessus du sien, je lui caresse les cheveux, son regard de coquine ne tenant plus, elle m’embrasse à pleine bouche.
Les lèvres collées, nos langues se croisent et se recroisent, je lui embrasse le cou et descends pour lui malaxer les seins, je prends un de ses nichons dans ma bouche pour lui  bouffer le téton, je le relâche, puis passe à l‘autre téton.
Ludi m’excite terriblement la culotte mouillée, mais je décide de le lui enlever, elle est toute trempée et se laisse faire sans rien dire, alors j’en profite pour lui écarter les cuisses et venir poser mes lèvres sur son minou tout doux.
Je me fraye un passage avec ma langue et lèche sa jute qui dégouline, son cul vibre sous l’émotion et elle balance ses jambes en l’air.
Ma copine dans cette position, sa petite minette vierge offerte à mes lèvres, mes mains agrippées à ses nichons me rende complètement folle.
J’enfonce ma langue au plus profond de son intimité pour baiser sa chatte grande ouverte.
Ludi ne se contrôle plus, un long cri de jouissance suivie de jet de saveur féminin viennent se mélanger à ma salive.
Je relève la tête pour écouter si son père nous à entendu, mais, semble t’il que non?
Ludi a reposée ses jambes sur le lit, elle me sourit, je passe ma langue sur mes lèvres pour les nettoyer de la cyprine de ma copine, je me mets à genoux sur le lit et change de position.
J’écarte une de ses jambes en l‘air, fais glisser mes cuisses entre ses cuisses pour venir toucher sa petite moule baveuse contre ma toison imberbe, nos petites chattes s’entrechoquent dans un mouvement de frotti-frotta, on se regarde bestialement en poussant des petits cris de forte respiration, nos chattes gluantes encastrées l’une dans l’autre se frottent maintenant sauvagement et l’on mouille abondamment jusqu’à connaître l’orgasme suprême dans un hurlement de jouissance intérieure.

On s’allonge sur son petit lit étroit nue l’un contre l’autre pour nous reprendre de nos émotions.

- Ludi j’aimerais savoir pourquoi t’as jamais couché avec un mec? T’avais l’air si heureuse de me parler de tes  fausses relations sexuelles?

- Bah, je pense que j’attend de trouver le bon mec c’est pour ça… et je pense pas encore l’avoir trouvé.

Je me sens un peu fatiguée, Ludi change de culotte et passe un tee-shirt, je me relève pour me rhabiller.

- Mais ta mère n’est pas là, aujourd’hui?

- Non, y’a que mon père, ma mère est en déplacement toute la semaine pour son boulot.

J’ai à peine remis ma guêpière-bustier transparente, que la porte de la chambre s’ouvre! 

Le père de Ludivine est entré dans la chambre et reste abasourdi en me voyant dans cette tenue.
Moi gênée de le voir, je cache ma poitrine, mais son regard reste bloqué sur le tissu transparent de mon bas ventre encore humide.

- Bah papa, dis donc, tu pourrais frapper avant d’entrer!

Il reste planté là, ahuri, puis me demande si je veux rester dîner avec eux.
Je regarde Ludi qui trouve que c’est une bonne idée et qui insiste pour que je reste. J’accepte avec grand plaisir, de toute façon ça tombe bien car je n‘ai plus rien dans mon frigo et mes parents sortent ce soir.
Il continue de me reluquer pour dire à Ludi qu’il va à la cuisine préparer le dîner et qu’il n’en a pas pour longtemps. Je me tourne pour masqué ma petite minette de son regard vicieux et il ferme la porte doucement pour avoir le temps de bien apprécier la raie de mon postérieur.

- Hahaha, je crois que t’as tapé dans l’œil de mon paternel, Lucie!

Je reste dans la chambre à écouter de la musique et a survoler un bouquin, Ludivine est partit prendre sa douche.

Trente minutes plus tard, on passe à table.
Mr Marshall, nous à préparé ses hamburgers maison.
Ils sont excellent et on les dévorent avec Ludi.
On discutent d’un peu de tout, de nous, de l’actualité.
Michel est vraiment très sympa malgré son regard de vicelard. Il est assez bel homme, la cinquantaine passé, grand, costaud, les cheveux mi-long grisonnant pas trop dégarnis pour son âge.
Il me dit qu’il n’a jamais fumé et s’entretient en faisant du sport tous les jours.
Je le félicite et me dit intérieurement, que si c’était pas le père de Ludivine, je me laisserais bien tenté.
Le dessert arrive, un tiramisu. Pour rigoler Michel nous raconte qu’il la préparé lui-même, mais Ludi ne le crois pas et lui balance que c’est sa mère qu’il a acheté au rayon surgelé. Il me font rire à les voir se chamailler.

- Dites moi toutes les deux, vous aviez bien l’air de vous amuser dans la chambre cet après-midi?

On se regarde interloquée! Ludi lui raconte que si c’était au sujet des petits cris qu’il a dû sûrement entendre, que c’était seulement pour imiter une scène d’orgasme dans le film «Quand Harry rencontre Sally». Elle explique l’histoire du film à son père pour faire diversion et pour qu’il arrête de poser des questions idiotes. Quelle sacrée menteuse!

 


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                              bravbitt@ymail.com

Par Brav Bitt - Publié dans : jeune avec vieux
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