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  • DEBAUCHE D'UNE BLONDINETTE
  • : jeunes avec vieux Histoires érotiques
  • : Lucie et ses copines attirées par les vieux pervers racontent leurs rencontres et leurs expériences sexuelles dans ce journal plus que intime... Tous les récits écrits et imaginés ici ne sont que purs fantasmes extrêmes. TOUTES LES PHOTOS PUBLIEES SUR CE BLOG AINSI QUE LES HEROINES DECRITES DANS CES HISTOIRES ONT PLUS DE 18 ANS ET SONT MAJEURS.
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Dimanche 3 juillet 7 03 /07 /Juil 20:46

11 - La grande salle de bain


Après avoir refait le monde et bien rigoler, il faut que je rentre chez moi. Je n’ai pas trop le courage, mais il se fait tard et je dois bientôt y aller.

- Bah pourquoi, dis-nous t’es pas bien là avec nous?
Tu peux rester dormir ici, je te prépare le canapé si tu veux?

Le père de ludivine insiste pour que je reste et Ludi me propose de me prêter une chemise de nuit.
C’est vrai qu’après tout je n’ai rien de spécial à faire demain et je me sens bien avec eux, je cède et demande à Michel si je peux prendre une douche.

- Bien sûr ma chérie, je te prépare le canapé et je t’apporte une serviette, vas-y!

C’est vrai que l’appartement est sympa, grand, lumineux, une décoration sobre.
L’entrée est composée d’un petit couloir qui mène au salon, il y a le coin canapé avec une télé plasma dans l‘angle de la pièce, en face une autre pièce ouverte fait place à la cuisine et sur la droite, un petit couloir qui doit sûrement débouché dans la chambre des parents.
Sur le côté gauche du salon, un long couloir mène à la salle de bain et aux toilettes et tout au bout la petite chambre de Ludivine, qui se trouve à l‘opposé de celle de ses parents.

J’accompagne Ludi dans sa chambre pour qu’elle me prête quelque chose à me mettre pour dormir.
Elle me dit qu’elle est crevée et qu’elle va se coucher. Elle me précise aussi de faire comme si j’étais chez moi.
Ludi me donne la chemise de nuit blanche avec des motifs pastels et me fait un bisous pour me souhaiter une bonne nuit.

Je la laisse pour rejoindre la salle de bain qui n‘est pas très grande, juste une place pour le lavabo et la douche. J’enlève mon jean et mon pull, je me retrouve en dessous sexy violet et m’aperçois qu’il n’y a pas de serviette pour m’essuyer. J’attends, Michel m’a dit qu’il allait m’en ramener une je crois?
J’entends des pas sur la moquette, il a retiré ses chaussures, il s’arrête devant la porte et me demande de sortir en chuchotant?!
Surprise par sa requête, j’entrouvre la porte.

- Viens, c’est pas celle-là, il y a une autre salle de bain beaucoup plus grande… suis moi.

Je sors pour le suivre, confuse de me retrouver encore devant lui dans ma guêpière translucide. Je cache mon sexe de ma main et ma poitrine de mon bras.
Il semble frustré de me voir me couvrir et me demande d‘avancer dans le couloir.
Ah voilà, j’ai compris son petit jeu, il veut pouvoir reluquer mon fessier quand je marche.
Je n’ose pas le contredire, et puisqu’il veut voir et bien il va me voir. Je passe devant et je m’amuse à l’échauffer en roulant bien du cul, je me retourne niaisement pour lui demander si c’est par là.
Les yeux grand ouvert, il ne quitte pas la forme de mes fesses sous la matière de cette culotte qui ne cache rien et qui rentre dans ma raie.
Je me marre intérieurement, ça doit lui faire un drôle d’effet de voir le beau petit cul de la copine de sa fille se balancer à moitié à poil au milieu de son appartement.

La grande salle de bain se trouve de l’autre côté du salon dans l’autre couloir en face de sa chambre. Je le remercie
mais il entre dans la salle de bain avec moi pour faire semblant de chercher une serviette dans un placard, je le sens nerveux, il a bien préparé son coup.
La salle de bain est immense comparée à l’autre, sur tout le côté il y a une grande tablette blanche avec un lavabo incorporé dedans, contre le mur du fond une baignoire séparée par des portes vitrées opaques et un cabinet de toilette dans un coin.
Je passe mes mains dans le dos pour défaire ma guêpière, Michel pose la serviette sur la tablette.

- Euh, tu veux peut-être que je t’aide à l’enlever?

- Oui je veux bien, c’est gentil!

Michel se place derrière moi pour dégrafer la guêpière, ça me rend toute chose de le voir faire ça dans le miroir en face de nous.
Je me penche un peu contre le lavabo pour faire semblant de l’aider et j’en profite pour venir faire toucher ma paire de fesse contre le bas-ventre de son pantalon.
Je le voit qui prend tout son temps, il mate mon opulente poitrine dans le reflet de la glace et se frotte discrètement contre moi.
J’y crois pas que le père de ma meilleure amie à des envies de me sauter, car je sens bien son érection sur mon derrière maintenant.
Je me retourne quand il a fini et le remercie.

- C’est vrai que c’est très jolie sur toi, mais pas bien évident à retirer.

Une grosse bosse ressort de l’intérieur de son pantalon, je l’ai mis dans un état pas possible. J’attends qu’il sorte pour retirer ma guêpière, mais il reste là comme un con à me dévisager.
De le voir comme ça, bandé comme un phoque me donne l’envie soudaine d’enlever mes dessous et je me retrouve toute nue comme un vers. J’attrape la forme de mes seins fermes pour les relever vers lui et fixer la trique de son pantalon.

- Michel, j’ai l’impression que je vous fait de l’effet?  

Le fait de voir une jolie blondinette totalement dévêtu dans sa salle de bain fait encore grossir sa bosse, je suis complètement folle, mais cette situation me donne envie de ressentir sa trique dans mon intérieur.
Moi la copine de sa fille, à poil devant lui me caressant les nichons pour le provoquer.

Son regard ne trompe pas, il veut me sauter, alors il ferme la porte.
Dans un temps éclair, Michel défait sa ceinture précipitamment, baisse son pantalon avec son slip et fait sauter les boutons de sa chemise en retirant ses pieds prisonniers de son pantalon.
Je bloque sur sa queue dressée vers moi, je me rends compte que je ne peux plus faire marche arrière et oublie totalement Ludivine, j’ai envie que son père me pénètre et me baise comme une grosse salope.

Michel se colle contre moi, m’attrape par la taille, enfonce sa langue dans ma bouche.
Pendant que l’on mélange nos salives, il me soulève par les hanches pour poser mes fesses contre le rebord de la tablette.
Ensuite, je sens son sexe tendu à l’entrée de ma petite fente, il m’embrasse dans le cou et m’écarte les cuisses.
Je mouille tellement que sa bite me remplit d’un seul coup.
Il passe ses bras sous mes cuisses et je l’attrape par le cou pour bien ressentir son matraquage.
Sous ses yeux, mes nichons se balance à chaque coups de reins envoyés dans ma chatte. Je pousse des petits cris et prie pour que Ludivine ne m’entende pas me faire troncher par son papa.
Il veut tellement s’enfoncer en moi, qu’il me soulève de la tablette et me porte verticalement en lui, j’admire la force de son corps musclé me pilonné les entrailles. Les jambes encerclées autour de lui, il me déchire profondément la chatte, debout.
Au moment où je sens que je vais jouir intensément, il déverse en moi une pluie de feu qui m’oblige à lui mordre les cheveux pour étouffer un braillement de jouissance.

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12 - Une sacrée traînée


Je prends ma douche en pensant à la mère de Ludivine, je la connaît bien et je me demande ce qu’elle penserait si elle apprenait qu’aujourd’hui, je me suis tapée son mari et sa fille!

Je me lave et fais passer le jet de douche dans ma minette pour enlever tous le sperme de Michel qui coule encore en moi, il me l’a vraiment mise profonde à ce que je vois, c‘est vrai qu‘il en a une longue.
Je me rince, sort de la douche et m’essuie.
Je vais pour passer la chemise de nuit que Ludi m’a prêté, mais je me rends compte que je l’ai oubliée dans l’autre salle de bain.
J’ouvre la porte, la chambre de Michel est juste en face, il est en slip allongé sur son lit, une petite lampe allumée et ne dors pas, il me fait signe de venir.
Je rentre dans sa chambre toujours toute nue et lui explique que j’ai oublié la chemisette.
Il me sourit et la sort de sous son coussin, il me fait signe de venir la chercher et de fermer la porte.
Je ne le comprend pas, mais à quoi il joue?
J’obéis, ferme la porte derrière moi et m’approche de lui. Je constate une déformation dans son slip, il bande encore!
Je lui dit que je ne peux pas rester là, que c’est trop risqué si sa fille se réveillait.
Il ne veut rien savoir et m’attrape brusquement pour me plaquer sur le lit contre le ventre, les fesses à l‘air.
Je ne réagis pas sur le moment, me prenant au dépourvu, il me grimpe dessus, coince mon cul entre ses jambes et sort sa queue déjà toute dure de son slip.
Je suis consciente qu’après ce qui c’est passé entre nous, il est inutile que je proteste, il s’en doute bien et veut profiter de mes charmes jusqu’au bout.
Je sens un gros crachat couler sur mon anus et son long pinceau lubrifier mon petit trou.
J’y crois pas il veut m’enculer!
Je tourne la tête pour le regarder et lui dire non que je ne veux pas, mais cadenasser entre ses cuisses, une main sur le dos m’empêchant de bouger, il guide sa bite de son autre main en appuyant bien fort pour me faire sauter la rondelle.
J’attrape le coussin avec mes dents et le mord pour étouffer un cri de douleur. J’éprouve une sensation de crevaison quand son gland envahit mon orifice, il n’y va pas de main morte et s’actionne de plus en plus fort.
Il me viole les fesses avec sauvagerie et j’hurle de souffrance dans le coussin. Ca lui plaît d’enculer brutalement une petite jeunette comme moi et il continue de plus belle, sortant toute la longueur de sa bite pour la renfoncer encore plus durement.
Mon trou du cul est complètement dilaté maintenant et ses coups de pine violente, me font jouir à chaque entrée dans ma grotte. Il entend bien mes petits rugissements de délectations étouffés dans l’oreiller.
Ca l’excite et du coup, il place ses mains sur les côtés de mes fesses pour les secouer encore plus fortement dans son élan.
Michel profite de mon cul comme ça pendant un long moment et j’ai l’impression qu’un train entier est entrain de m’enculer.
Je le sens qui stop ses va-et-vient pour rentrer sa queue au maximum de mon sphincter et sa sauce bouillante fait virevolter l’intérieur de mon corps tout entier.
Michel s’écroule sur moi, heureux d’avoir déchiqueter le bon petit cul de la petite Lucie.

Je retourne dans la salle de bain avec la chemise de nuit sous le bras cette fois, je me rince pour laver mon petit trou des salissures gluantes de Michel. Je me sèche et sort pour aller passer le reste de la nuit dans le canapé.
Je m’endors, en pensant que j’ai aimé me faire sodomiser par le père de ma meilleure amie, je suis vraiment une sacrée traînée.

Je sens l’odeur du café, j’ouvre les yeux péniblement, quelqu’un est dans la cuisine, je lève la tête, c’est Michel qui vient de se réveiller et prépare un petit déj.
Je regarde l’heure sur une pendule digitale accroché au mur, il n’est pas tard, seulement neuf heures, je remets ma tête sur l’oreiller et referme les yeux.
Quelques instant plus tard, je sens une présence tout près de moi et un baiser dans mes cheveux, je fais semblant de dormir, une main passe sous la couverture pour venir se poser sur ma cuisse, elle remonte sur ma hanche en relevant ma chemise de nuit, puis me caresse le ventre délicatement.
Au moment où la main veut descendre plus bas, je réouvre les yeux et bouge mon corps pour dévier cette main, il est assis sur le bord du canapé déplié.
Michel me sourit, il retire sa main pour la posé sur sa demi-gaule du matin. Il est vêtu d’un pyjama à rayure bleu et défait un à un les petits boutons en nacre du pantalon.
Je le regarde faire, mais lui dit non en chuchotant, que Ludivine va bientôt se lever.
Il ne m’écoute pas et ne va pas me lâcher tant qu’il n’aura pas eu ce qu’il veut. Je vois où il veut en venir et je sais d’avance que je vais devoir lui tailler une pipe.
Il sort son chibre déjà tout tendu de son pyjama, passe sa main derrière mon cou pour orienter ma tête et la mener au-dessus de son érection matinale.
Je panique à l’idée de voir Ludi débarquée, alors je me mets à le pomper du mieux que je peux pour le faire jouir le plus rapidement possible.
Je n’ai encore jamais sucer une bite de bon matin, c’est une découverte que j’apprécie et Michel doit le sentir car je le dévore déjà comme une malade.
Il a compris que j’étais une bonne petite suceuse alors il lâche mon cou et viens caresser ma petite chatte qui mouille de sentir la première urine de la journée de ce sexe sale entre mes lèvres.
Il n’y a pas à dire le papa de Ludi est un chaud lapin, maintenant que je lui est bien nettoyé sa pisse de ma salive, je le branle dans ma bouche, mes lèvres collées à son gland.
Michel enfonce des doigts dans ma minette et me masturbe à son tour, je savoure sa dextérité et m’engouffre en lui totalement. Il me contemple, la blondeur de mes cheveux, ma bouche remplit de sa rigidité, mes lèvres jusqu’à ses couilles.
Plusieurs fois d’affilés, je me retire tout doucement pour le ravaler brusquement et cogné mes lèvres jusqu’à son ventre. Il est abasourdi de voir de qu‘elle manière je m’occupe de lui et il retire sa main de ma chatte pour venir m’empoigner la tignasse.
Je sors sa queue de ma bouche car il tire sur ma blondeur, je le regarde avec mes grands yeux bleus larmoyants d’avoir été aussi profondément au bout de sa queue.

- Ouvre la bouche… Tire la langue…

La longue bite devant mes lèvres grandes ouvertes, le bout de son gland venant toucher ma langue qui dépasse, il se paluche comme un timbré pour venir balancer toutes ses giclées de sperme au fond de ma langue et au travers de ma gorge. Je stocke le foutre dans le creux de mes joues et quand il a fini, je fais tourner sa mixture dans ma bouche. Je le défi du regard et avale tout d’un trait, je tire la langue pour bien lui montrer que je suis une bonne fille et qu’il n’y a plus rien à manger.
Michel n’en crois pas ses yeux de savoir que Lucie, la copine de sa fille chérie, est une belle avaleuse de sperme.

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13 - Petit déj en famille
 

On entend du bruit, c’est la chasse d’eau des toilettes à côté de la petite salle de bain, Michel encore la queue à l’air va vite se cacher dans sa chambre et moi je me replonge dans les draps.

Affolé de savoir que Ludivine nous à peut-être vu ou entendu, je prie intérieurement.
Elle rentre dans le salon, je la sens qui vient s’asseoir à côté de moi et de la salive qui a coulé sur le drap pendant ma fellation avec son père.
Il faut que je détourne son attention avant qu’elle se rende compte des tâches sur le canapé.
Je fais semblant de me réveiller et elle se penche vers moi pour me faire une bise sur la joue.
Je sors du canapé d’un coup et me dirige rapidement vers le couloir où mène sa chambre. Ludi éblouie par mon saut d’humeur reste stoïque toujours assise.

- Bah, qu’est-ce qui t’arrive? T’aime plus que je t’embrasse?

- Mais non pas du tout! Mais vient allons dans ta chambre.

Ouf, heureusement elle se lève sans constater les marques humides sur le drap du canapé. Elle me dit qu’elle me trouve bizarre et je lui réponds que j’ai très envie de faire pipi.

- Attend moi dans ta chambre s’il te plaît, j’arrive.

Sans chercher à comprendre, elle retourne dans sa chambre. Sauvée, elle n’a rien entendu.

Une fois dans sa chambre, elle me demande si j’ai bien dormi et si je veux prendre un petit déj.
Je réponds oui au deux questions. On retourne vers le salon dans le coin cuisine. Je lui demande de me préparer un café et des tartines et trouve l’excuse de faire quelque chose en remettant en place le canapé et les draps.
Ludi me dit de le laisser comme ça, que son père le fera, mais j’insiste lourdement alors elle me laisse faire pour ne pas me contrarié.

Michel nous à rejoint et joue le rôle du papa qui a trop dormi. Il s’est changé et à enfilé un survêtement bleu marine en velours.
On s’installe sur les tabourets du bar de la cuisine, Michel s’est mis à côté de moi et Ludivine est en face de nous. Ludi raconte ses rêves de la nuit.
Michel fait semblant de l’écouter mais s’intéresse plus à ma chemise de nuit blanche qui assise les jambes croisées remonte juste sous mes fesses.
Il jette un coup d’œil sur mes cuisses à chaque gorgées de café.
Lucie continue son monologue et Michel vient habillement glisser sa main entre mes cuisses pour pouvoir intégrer son majeur sur ma fente.
Mais qu’est-ce qu’il fait? Il est fou!
J’adorerais qu’il me fasse ça dans d’autre circonstance, mais là je suis décontenancé et hoche la tête à Ludivine à chaque fin de ses phrases pour ne pas trahir mon émotion.
Je trouve une parade, je fais tomber exprès un morceau de tartine pour le ramasser. Michel enlève sa main et je me rassois, une main posée sur mon entrecuisse et de l’autre prenant mon café.
Ludi continue son aparté, mais qu’est-ce qu’elle est bavarde.
Michel ne dit rien et je regarde son bas de survêtement, une autre bosse est apparue.
J’hallucine, il bande encore!
Toujours tout ouie devant sa fille, il me prend la main discrètement avec tact et l’intègre dans son pantalon de survêtement.
Michel ne porte pas de slip et je sens sous l’effet de mes doigts, sa boursouflure grandir encore.
Ludi n’y voit que du feu et je prends un malin plaisir à martyriser le long sexe de son père devant elle.
Michel à poser ses coudes sur le bar pour cacher mon bras et comme ça je peux branler sa bite plus facilement. Pendant que Ludi me raconte ce qu’elle va faire de sa journée, j‘active la branlette en tirant plus fort sur la queue de son papa.
Mon minou redevient humide et je rêverais qu’il me pénètre pour sentir sa sève gluante me réchauffer l’intérieur.
 
- Bon tu m’attend Lucie, je vais prendre une douche dans la petite salle de bain, ok?

- Ok.

Elle a peine disparue, que son père se lève pour me retirer le tabouret des fesses.
Je mime une désapprobation, mais il a déjà bloqué la ceinture de son survêtement sous ses couilles en se plaçant derrière moi.
Je me penche sur le bar, le cul cambré et fait passer sa queue toute raide sous ma chemise de nuit pour qu‘il me prenne en levrette.
Il pénètre ma petite chatte brûlante d‘un coup.
Les mains sur mes hanches, il me baise comme une chienne en chaleur.
J’espère que sa fille n’a rien oubliée et qu’elle est tranquillement sous sa douche car j’aimerais que rien au monde n’arrête cette bite de me défoncer.
Michel relève ma chemisette pour admirer sa bite glisser entre ma paire de fesse qui remue sous ses coups de reins.
Il se penche sur moi et passe ses mains sous ma chemise de nuit pour venir me presser les seins.
Je frissonne de bonheur quand sa lave séminal vient s’éparpiller au plus profond de ma chatte.

J’entends Ludi sortir de la petite salle de bain, je me précipite dans la grande pour aller aux toilettes et me vider la moule de tout le foutre de Mr Marshall.

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14 -     Malika et son prof


J’allume la télé et passe l’après-midi à glander sur mon sofa.
Je suis exténuée de mettre faites prendre par la bouche, par devant et par derrière par le père de Ludivine.

Je descends dîner chez mes parents, ils me racontent le spectacle qu’ils ont été voir hier soir et je remonte dans ma piaule pour aller surfer sur internet.

Les vacances estivales approches, je visualise plusieurs sites spécialisés pour trouver un plan pas trop chers.
Je ne vois rien d’intéressant, alors je me connecte à ma messagerie personnelle.
Surprise, j’ai un nouveau message de Vincent!

« Salut beauté, j’aimerais que tu me rende un petit service mercredi. Fait moi signe quand tu auras mon message.
C’est important! - Bisous - V. »

Qu’est-ce que c’est qu’encore que cette histoire?
Qu’est-ce qu’il prépare?
On n’est que vendredi et je ne suis pas sûr que je dois lui répondre tout de suite.
Ca fait des semaines que je n’ai plus de nouvelle de lui et il m’envoie ce message comme si on s’était vu la veille.

Le téléphone sonne, c’est Nicolas qui me propose une soirée demain soir avec des amis à lui.
Je lui dit que je viendrais avec Ludivine et Malika, on discute vite fait et je raccroche pour aller me coucher.

Le lendemain soir, j’invite mes copines chez moi pour nous préparer avant d’aller à la soirée de Nico.
J’ai mis en place un petit buffet pour grignoter avec une bonne bouteille de vin que j’ai chipée à mon père.
Je me suis habillée tout en blanc, un caleçon long hyper moulant qui fait ressortir mes fesses et un t-shirt à bouton pour mettre mes seins en valeurs, il va de soi qu‘avec cette tenue, je n‘ai mis aucun sous-vêtement, ni culotte, ni soutien-gorge.
Ludi est ravissante dans sa robe moulante noire.
On se regarde, Malika porte un jean foncé avec un chemisier ocre.
Je lui dit qu’elle est pas mal, mais sort de mon placard, une jupe grise a volant et un débardeur à croisillon qui lui iront à merveille.
Elle se change et on se maquille toutes les trois.
Malika c’est transformée, elle est super bandante comme ça.
On finit la bouteille et on prend un taxi pour rejoindre la soirée dans le sud de Paris.
La fête se trouve dans l’arrière boutique d’un ancien magasin, c’est grand et assez classe, il y a un bar et une piste de danse improvisée.
Les garçons nous ont rejoint et on prend un verre avec eux.
Nicolas, Ludivine et moi sommes amis depuis quelques
années déjà, Nico est accompagné de Greg et de Jeremy que l’on à croisés plusieurs fois à d’autres soirées.
Ils ont notre âge, ils sont super cool et adorent faire la fête.
C’est l’oncle de Greg qui organise cette party, d’ailleurs il nous rejoint pour nous saluer.

- Ca va les gars, alors vous me présentez pas à ces charmantes demoiselles?

Greg, nous présente Bruno, un homme d’une quarantaine d’année, petit, trapu, habillé en costard, les cheveux bruns tirés en arrière. Il nous complimente sur nos tenues en me dévisageant des pieds à la tête.
J’imagine qu’il doit bander en apercevant mes formes provocatrices dans cet accoutrement.

Il y a bien une cinquantaine de personnes qui discutent ou se trimoussent sur la piste de danse.
Après avoir bu maintes verres d’alcool, on se lâche pour aller se remuer sur les derniers tubes musicaux à la mode.
On est ultra sexy toutes les trois, on se dandine et une ronde de mâles ne tardent pas à nous entourer pour nous observer tortiller du cul.

Malika éméchée me prend à partie, on sort prendre l’air, laissant Ludi et les garçons s’éclater sur la musique.
On se retrouve dans la cour intérieur de l‘immeuble derrière la salle où les gens peuvent venir fumer leurs cigarettes.

- Putain Lucie, tu sais quoi, j’ai une de ses envie de sucer de sentir tout ces mecs autour de nous!

Malika me raconte que depuis qu’elle s’en est pris plein la bouche avec le gros porc du Bois de Boulogne, elle a réitérer l’expérience plus d’une fois avec son prof d‘histoire géo.

« Tu comprend Lucie j’avais remarquer que Monsieur Lopez s’approchait souvent de moi pendant les cours, il touchait délibérément mes cheveux avec son visage pour regarder ma copie derrière moi ou il me prenait par les épaules quand j’allais au tableau. Une fois il a même poser une main sur ma taille pour me corriger un exercice.
Je ne sais pas, mais malgré son physique de gros sadique, ce vieux professeur avec ses lunettes double foyer me donnait des idées pas très catholique et je décidais de passer à l’offensive.
C’est le dernier cours de la journée, j’ai changé de place et me suis assise en face du bureau.
Durant tout le cours je me suis amusé à le fixer en sortant ma langue et à la passer entre mes lèvres de droite vers la gauche puis de gauche vers la droite sans que les autres élèves puissent me surprendre.
Mr Lopez me scrutait du coin de l’œil. Je l‘imaginais la bite en feu dans son pantalon, ça m‘excitais grave en pensant qu‘il aimerait éjaculer tout son foutre dans ma bouche.
Un fois le cours terminé, la classe se précipite pour sortir, pendant que Mr Lopez et moi rangeons tranquillement nos affaires.
Le fait de l’avoir chauffé en le regardant et en lui sortant ma langue durant le cours m’a rendu toute mouillée.
Une fois tout le monde dehors et que tous les deux finissons d’avoir ramassé nos cartables, il me dit :

- Dites-moi Malika, j’ai l’impression que vous n’avez pas vraiment suivit mon cours, aujourd’hui? Que vous aviez la tête ailleurs?

- Oui Monsieur… Désolé, mais c’est parce que vous me troublez un peu…

Je suis debout à ma place, Mr Lopez ferme la porte de la classe pour s’adosser contre celle-ci et me demande d’approcher.
Je ne sais plus comment je dois réagir alors je me pointe en face de lui, il fait toujours barrage devant la porte et commence à déboutonner son pantalon.

- Allez, fait moi voir encore ta langue de petite pute, hein!

Déconcerté, je le regarde ouvrir son caleçon.
Le fait d’entendre mon professeur me parler de la sorte agrémente encore l’humidité au sein de ma culotte et je me jette sur son membre détendu qu’il sort de sa braguette.
Sa queue grossit dans ma bouche, il se met à bander comme un âne sous l‘effet de mes lèvres actives.
Il ne rate pas une miette de voir ma langue tournoyer sur son gros machin, à genoux dans la classe, je suce la bite de mon professeur avec frénésie.
Il me regarde de sa hauteur, moi la jeune beurette rabaissée à ses couilles, je branle maintenant sa pine dans ma bouche, mes yeux brillants fixant son regard de vieux vicieux binoclard.

- Oh Oui, c’est ça continue… Avaleeeee! »

Je peux te dire qu’il a kiffé, j’ai bu tout le sperme que Mr Lopez m’a envoyé dans la bouche à pleine gorgée et depuis je suis devenue sa petite suceuse attitrée.
Dès qu’il a moment de libre, je le rejoint pour qu’il se vide les couilles dans ma gueule.
Je l’ai déjà pompé plusieurs fois dans la classe, dans les toilettes privés des profs et même dans la salle des maîtres.

Je comprends mieux à présent ce que tu me disait Lucie et je pensais pas que j’allais devenir une bouffeuse de foutre comme toi!

Cock-Craving-Carnivores-122-63

15 - La soirée de Bruno


Malika toujours un peu saoule, me dit qu’elle a remarqué un bonhomme qui n’arrête pas de la mater et elle me le montre discrètement.
C’est un homme banal, barbu, assez fort qui fait bon père de famille. Il discute avec ses copains en lançant des petits coups d’oeil vicelards à Malika.
Elle me dit qu’elle se sent trop excitée et qu’elle voudrait lui bouffer la bite, tout de suite.
On est dans la cour en pavé, il y a des petits groupes qui font causettes éparpillés un peu partout.
En face de nous il y a une cage d’escalier et un peu plus loin dans la pénombre, un petit local où il n‘y a personne.
On s’approche du coin sombre, Malika rentre dans le local, ressort et me dit qu’il y a des poubelles à l‘intérieur.
Je lui dit d’attendre dedans entre deux grandes poubelles vertes.

Je me place seule au milieu de la cour, le bonhomme cherche Malika du regard et quand ses yeux se pose sur moi, je l’appelle d’un petit signe de la main.

- Bonsoir, excusez-moi mais j’ai ma copine qui est dans le petit local dans le coin là-bas et qui aimerait vous parlez… Voilà c’était juste pour vous dire qu’elle vous attend!

Le bonhomme me répond bêtement, sans vraiment comprendre ce qui lui arrive et se dirige à grand pas vers le petit local, moi je retourne dans la salle avec tous les regards de ses copains posés dans le bas de mon dos.

Je suis au bar avec Nico, Greg et Jeremy qui draguent deux charmantes nymphettes, moi je cherche Ludivine des yeux, mais je ne la voit pas.
J’aperçois Bruno qui arrive vers moi pour m’inviter à danser la salsa.
Je lui dit que je ne sais pas du tout danser ce genre de musique, mais il insiste et me prend par la main pour m’amener sur la piste.
Il me dirige doucement  en me tenant par la taille et j’essaye tant bien que mal de suivre ses pas. Bruno se débrouille bien et je me laisse guider en lui souriant, il est très vivant pour son âge et malgré sa petite taille, je le trouve assez charmant.
Il en profite aussi pour se frotter à moi dès que la cadence de la musique le permet, il effleure mes seins et mes fesses sans se gêner et doit d’ailleurs commencer à bander dans son caleçon.
La danse se termine, il m’applaudit en rigolant et je lui demande si il n’aurait pas vue la fille avec qui j’étais avant et qui est habillée avec une robe moulante noire.

- Quoi Ludivine, mais si elle est avec nous, suis moi…

Je suis Bruno, on traverse la piste de danse, il ouvre une porte privée, on traverse un petit couloir, on se retrouve hors de la salle et du boucan pour atterrir dans une petite pièce qui ressemble à une cuisine avec une grande table au milieu.
Ludi est là assise sur un meuble, un verre de champagne à la main avec trois hommes autour d’elle qui la pelote de partout.
Bruno me sert une coupe de champagne à mon tour et me présente ses hôtes.
Ludi à trop bu, sa robe est relevée jusqu’à la limite de sa culotte, un des hommes à une main sur l’intérieur de sa cuisse et un autre la tient par la taille et l’embrasse dans le cou.

- Lucie, ça vaa? Aloors vous étiiez où?

Je lui réponds sèchement qu’elle ferait mieux d’arrêter de boire et que d’aller prendre l’air lui ferait le plus grand bien.
Ca la calme, ainsi que les mecs qui la lâche pour prendre un peu de distance.
Bruno comprend mon humeur et trouve que c’est une bonne idée, il invite tout le monde a retourner dans la salle pour aller s’amuser.

De retour dans la salle, on croise les trois garçons accompagnés des nymphettes, ils nous disent qu’ils doivent partir, on se fait la bise et ils nous quittent.

Ludi est reparti danser avec ses deux pots de colle et je reste discuté avec Bruno. Il me parle de son boulot qui lui prête cet endroit pour faire des fêtes et des personnes qui sont invités ce soir, tout en me regardant droit dans le décolleté.
Je regarde Ludivine s’éclater comme une folle sur la piste, elle a envoyé balader ses deux boulets et danse seule à présent.
J’observe le comportement de Bruno, il me dévore des yeux et je sais qu’il a terriblement envie de me niquer.
C’est sûr ce n’est pas le plus beau mec de la soirée, mais sa confiance en lui, son aisance à me parler et sa façon de danser me permette de penser que ça doit être un bon coup au pieu.
Je le fixe avec mes grands yeux bleus et lui gratifie d’un de mes plus beaux sourires.
Je lui dit que finalement je me poserais bien un peu et lui demande si il ne veut pas que l’on retourne dans la cuisine tous les deux.
Il ne se fait pas prier deux fois, il m’ouvre la porte privée et je passe devant, je marche dans le petit couloir en balançant mon petit cul sous mon long caleçon blanc qui me serre la raie des fesses, Bruno derrière moi, ne peut que deviner que je ne porte rien en dessous.
J’arrive dans la cuisine en imaginant dans quel état doit se trouver la chose qui est à l’intérieur de son pantalon, ça m’amuse de savoir si il sait aperçu ou non que je commence à mouillée et que j’ai peut-être une coulure humide qui apparaît sur le blanc de mon pantalon serré.
A peine entrée dans la cuisine, je n’ai pas le temps de dire ouf que j’ai déjà la tête posée, la joue collé contre la grande table en bois, le caleçon blanc baissé sous les cuisses, les fesses en l’air, la queue de Bruno qui pénètre ma minette.

- Aaahh… T’es déjà toute mouillée… Hein, t’es en chaleur toi…

Je ne l’ai pas vu venir, il me prend en levrette de toute ses forces, il en a une très grosse et je pousse des cris aigus à chaque mouvement de sa bite dans ma chatte.
Ses mains de chaque côté de mes fesses pour contrôler mon cul, il s’enfonce dans ma fente de plus en plus fort et de plus en plus loin.
Je tourne le visage pour le regarder me claquer les fesses.

- Huuumm putain… T’es trop bonne toi…

 Je dégouline de plus en plus de voir ce petit homme avec sa grosse queue me traiter comme une chienne en chaleur.
Il continue à fracasser mes rondeurs, mais se retire sentant la montée de sa sève venir à point.
Il se baisse, enlève mes chaussures blanche à talon haut et enlève mon caleçon moulant avec énervement.
Je suis à moitié nue dans cette cuisine, je me retourne vers lui, il m’embrasse en défaisant les petits boutons du haut de mon tee-shirt, il m’allonge et grimpe sur moi pour nous décaler au milieu de la table.
Les jambes en l’air, la queue tendu de Bruno me pénètre une seconde fois, mais cette fois-ci avec douceur, sa grosse bite glisse lentement dans ma moule, sa tête enfoncé dans le creux de mon décolleté, ses doigts malaxant mes seins à travers mon tee-shirt.
Je repose mes pieds sur la table pour le sentir encore plus profondément en moi, il se met à me tringler violemment.
Je m’égosille de joie en appuyant mes mains sur ses fesses pour qu’il continue à me besogner comme ça jusqu’à sa jouissance.
La foudre de sa jute provoque en moi un enivrement de libération fluide.
Bruno m’embrasse tendrement avant de nous rhabiller et de quitter la cuisine, je savais bien que c’était un bon coup.

Je laisse Bruno pour me retrouver aux toilettes, Malika est là devant une porte, elle l’entrouve et je vois Ludi au dessus de la cuvette qui dégueule ses boyaux.
Malika me dit qu’elle a vraiment trop bu et que l’on ferait mieux de rentrer maintenant.

Je sors prévenir Bruno de la situation et il me propose de nous ramener avec sa voiture, je le remercie en lui disant qu’il n’est pas obligé, mais il me dit que ça ne le dérange pas du tout.

Après avoir remercier mille fois Bruno de nous avoir raccompagné chez moi et prie son numéro de téléphone,
on monte les étages de mon immeuble difficilement et Ludi va se coucher sur un matelas sommaire que je lui est installé par terre.

Malika et moi restons là prendre un café et à nous raconter les événements de la soirée.
Elle m’explique que quand le bonhomme est arrivé dans le local, il lui a demander si ça allait et elle le dévorant des yeux et ne savant pas quoi lui dire, elle s’est accroupie directement à ses pieds pour lui défaire sa braguette, le barbu ne savant pas ce qu’il lui arrivait vraiment c’est laissé faire.
Pendant qu’elle était concentré à bien sucer cette queue, elle n’avait pas eu le temps de remarquer que ses potes était venue voir ce que le barbu faisait dans ce local.
Au moment où elle prit conscience que d’autres bites étaient sortis des pantalons, le barbu lui envoyait toute sa purée au fond de la bouche.
Malika me dit que les potes ont alertés d’autres potes et qu’elle a passée toute sa soirée dans le local à poubelle à éponger les couilles de toutes les bites qui se présentait à elle.
Malika à dû vidanger tout le foutre de pratiquement la moitié des hommes qui participaient à cette soirée.
Elle me dit avoir fait une overdose de sperme dans les toilettes après ça.
Je me suis trouvée une sérieuse concurrente, je crois!

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16 - Canal Saint Martin


Patiemment allongées avec Ludivine, lunette de soleil sur le nez, nous attendons Elodie sur le bord du Canal Saint Martin.
Le monde agglutiné au fil de l’eau lézarde gentiment en ce milieu d’après-midi ensoleillé.
Je fais sauter les quelques boutons de mon chemisier, Ludi ouvre sa petite robe à fleur pour aérer ses deux beaux lolos.
Elodie arrive, elle descend d’un gros scooter, semble dicter son numéro de téléphone au conducteur en libérant sa chevelure dorée du casque de moto.

Ludivine me regarde d’un drôle d’air en la voyant débarquée, vêtue d’un top court orange qui moule honteusement ses gros nichons, un piercing brillant sur son nombril et un mini-short de gym noir qui donne presque l’impression qu’elle se trimbale dans la rue en petite culotte.
Je demande à Elodie qui est l’homme du scooter qui est repartit, un rictus coquin au coin de la joue, elle me dit qu’elle vient de le rencontrer, il lui a klaxonné sur le chemin et elle en a profité pour faire un tour en deux roue.
Elo nous raconte son trajet, une main accroché sur le ventre du monsieur pour ne pas tomber, une autre sous la ceinture du pantalon de celui-ci.
Sur la route pour remercier l’inconnu de l’accompagner jusqu’à nous, elle lui prodigue une masturbation plus que vigoureuse jusqu’à le faire éjaculer à l’intérieur de son calbute.
La main toute gluante de sperme du chauffeur, Elo s’en lèche encore les doigts et en rigolant propose à Ludivine de l’aider à nettoyer les restes de brillances crémeuses qui sont étalées sur sa main.
Ludi la bouille dégoûtée, lui répond :

- Sans façon, non merci!.. Au fait ça se passe bien ton stage dans cette boîte de pub?

Elodie sans rentrer dans les détails, nous explique que son boss lui donnait trop de travail et que finalement elle préfère partir en vacance avec nous cet été.

Ludi explose de rire et je ne peux m’empêcher de retenir un fou-rire en regardant Elodie stupéfaite de nous voir se foutre de sa gueule.
Elo fait semblant de ne pas comprendre, alors Ludi lui raconte avant qu’elle ne se fâche que Kevin et Benjamin lui on tout balancé à propos de son stage et qu’on est au courant qu’elle suçait la bite de son directeur tout au long de la journée.
Elodie ridiculisée peste contre les deux garçons et nous avoue qu’elle appréciait être la chose du PDG et de ses meilleurs clients, mais que la situation a dégénérée lorsque son patron lui avait demandé de satisfaire aussi ses collaborateurs. A la fin, elle n’en pouvait plus de sentir toutes ces bites se vider dans sa bouche du matin au soir, elle finit par ne plus y retourner et envoya sa lettre de démission il y a quelques jours.

Ludivine écoeurée n’en croyait pas ses oreilles d’entendre Elodie confesser ses exploits de suceuse de pénis, pendant que moi je compatissait au sors de celle-ci.

Du coup Ludi change de conversation pour nous demander si on a une idée de voyages pour les vacances du mois d’août.
On se met d’accord pour partir quinze jours ensemble et analysont plusieurs possibilités de destinations et de logements sans vraiment décider d’un endroit en particulier.
Ludivine nous dit qu’elle part pour le long week-end prolongé en Normandie dans la maison de campagne de ses parents.
Elle m’invite à venir avec elle et ses parents dans quelques jours, j’accepte au détriment d’Elodie.

- Tu comprends Elo, mon père m’a demandé d’amener une copine, et j’ai pensée à Lucie vue qu’elle connaît déjà mes parents…

Elodie ne dit rien et comprend que c’est normal que je passe avant elle étant donnée que je suis quand même sa meilleure amie.

                    ~~~

J’ai préparée ma valisette, tenue décontractée, maillot de bain et vêtement de pluie au cas où.

Il est dix heures et demi du matin, prête pour le départ en Normandie.
Mr Marshall à fini de caser les sacs dans le coffre et Liliane la mère de Ludivine est déjà pendu au téléphone assise dans la voiture.
Ludi et moi sur la banquette arrière restons à moitié somnolente jusqu’à ce que l’on arrive à destination.
Deux heures de bagnole où Michel, caché derrière ses lunette noire à passé le plus clair de son temps à surveiller la route, mais aussi à essayer de détecter ce qui se trouvait à l’intérieur de ma mini-jupe rose.
Pendant que Liliane et Ludi fermaient les yeux où s’imprégnaient du paysage qui défilait par la vitre de l’auto, je m’amusais à entrouvrir innocemment les cuisses de plus en plus largement, pour dévoiler au lunette de soleil dans le rétroviseur, la blancheur de ma petite culotte.

La voiture rentrée dans le garage, les sacs déposés dans l’entrée, Ludi me fait visiter leur maison secondaire.

C’est une grande bâtisse rénovée, on a chacune notre chambre, il y a une longue salle à manger avec des poutres en bois, une cuisine à l’ancienne avec une cheminée, une salle de bain moderne, des toilettes séparées, la chambre des parents à l’étage avec à côté une grande salle de jeux équipée d’une table de ping-pong, d’un billard et accessoirement dans le fond, d’un appareil de musculation, sûrement pour Mr Marshall.

Dehors, un portail en fer forgé peint en vert foncé, un mur en pierre entoure la cour gravilloneuse décorée de gros bacs de plantes et de pots de fleurs gonflés et colorés en cette période de l‘année.
Derrière la maison, un barbecue en béton blanc, un immense jardin, une belle pelouse entretenue, un grand potager planté de légumes et d’arbres fruitiers qui cache un cabanon à outil en bois foncé.

Je suis éblouie et heureuse que Ludi m’est invitée dans leur petit coin de paradis.
On rejoint la cuisine, où Michel et Liliane nous prépare un gros sandwich avec amour, je les remercie et les complimente sur leur magnifique demeure.
Après avoir mangé ce délicieux sandwich, on se retrouve dans nos chambres respectives pour ranger nos affaires et faire les lits.
Je repense à Liliane, elle est adorable. Dire que son mari l’a trompée avec moi, Lucie la petite blonde, la meilleure copine de sa fille chérie.
J’espère que Michel se tiendra à carreau, même si ici, le fait de vivre dans leur maison de campagne, me donne des envie de recoucher avec le mari de Madame Marshall.
Je chasse cette idée de mon esprit, car ça peut-être dangereux et je vois que Michel, malgré son regard lubrique sur ma personne, reste très prudent et garde ses distances envers moi.
La journée passe en prenant mes marques dans cette grande maison de famille, fatiguée du voyage et du changement d’air, on se couche tôt et je dors à point fermé jusqu’au lendemain matin.

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17 - La maison de campagne


On frappe à ma porte, Ludi entre dans ma chambre pour me réveiller, je me lève et on se traîne toutes les deux jusqu’à la cuisine.
Les parents sont partis faire des courses et on laissé un petit mot sur la table pour nous prévenir.

Après le petit déj, on se pointe dans le jardin en portant nos chaises longues à bout de bras.
Le temps est superbe, il fait bon et le ciel est bleu.
On se tartine de crème à bronzer après avoir passée nos maillots de bain échancrés, moi en turquoise, Ludi en noir. On s’affale sur les transats, le soleil brille de tout ses rayons alors je demande à Ludi si je peux retirer le haut de mon maillot. Elle me dit qu’elle s’en veut de ne pas y avoir penser avant et retire son soutien-gorge de bain.
On se sourit, nos poitrines gonflées, on se les caressent en même temps de crème solaire.
Toutes les deux allongées en monokini face au soleil, on ferme les yeux pour faire bronzette.

- Ehoo… Y’a quelqu’un?…

Sursautant, on relève la tête en même temps, des pas sur les gravillons se rapproche du jardin.
Un monsieur en salopette apparaît sur le côté de la maison.
A peine visible, Ludivine se rue dans ses bras en courant les nichons se balançant dans tout les sens vers lui.
J’ai l’impression qu’elle vient de voir le Père-Noël, d’ailleurs le monsieur, les cheveux et la barbe blanche bien taillée m’y font penser.
Elle le prend dans ses bras chaleureusement, et le vieux en profite pour tâtonner un de ses nibards en rigolant.

- Oh mais dis-moi, je tombe bien… Humm ils ont encore grossis…

Ludivine se laisse faire toute souriante, le Père-Noël lui claque une grosse main aux fesses et reluque son cul avec insistance.
Je me lève en essayant de remettre mon haut de maillot de bain, Ludi me présente Monsieur Serge, un voisin qu’elle connaît depuis longtemps et qui s’occupe de la baraque et du jardin quand ils ne sont pas là.
Ravi de faire ma connaissance, Monsieur Serge m’attrape par la taille pour me faire la bise et commente la proportion de mes seins par rapport à ceux de ma copine.

- Bah dis donc, y’a de la concurrence… Hein Ludivine!

Le vieux se lèche les babines en me regardant remettre mon soutif.

En fait Mr Serge gardait Ludi avec sa femme quand elle était petite, sa femme est décédée il y a quelques années et pour lui qui vit seul maintenant, la petite Ludivine est devenue une charmante jeune fille qui doit sûrement le faire fantasmer.

Le papy gâteux s’est posé sur le transat, Ludi dans les bras, assise sur lui, il continue à lui peloter les nichons et à lui chatouiller le ventre pour la faire rire. Ludivine rigole bêtement comme une gamine en continuant à se laisser tripoter.
C’est la première fois que je la vois se faire toucher comme ça aussi facilement, d’habitude les hommes galèrent avant de l’approcher.
Le Mr Serge doit sentir qu’elle ne se laisse pas souvent peloter et le salaud en profite bien. Un petit canon de dix-huit ans comme Ludivine pratiquement à poil dans ses bras et sur ses genoux, il doit avoir une gaule pas possible dans sa salopette.

Le bruit du portail qui s’ouvre et le ronronnement de la voiture met fin à la petite récréation que Monsieur Serge s’est octroyé avec ma copine, il se lève tout les deux et Ludi remet le haut de son maillot, moi je me rallonge sur le transat comme si de rien n’était, Ludi accompagne le jardinier dans la cour pour aller saluer ses parents.

J’aide à mettre les couverts sur la table de jardin que l’on a préalablement installée dans la cour.
Mr Serge reste pour déjeuner avec nous. On a faim et on va faire honneur à cette table, qui se compose d’une salade niçoise et d’une assiettée de charcuterie en entrée, une plâtrée de moule comme plat du jour et une salade de fruit pour le dessert.
Liliane et Michel en face de nous, Ludi est assise entre moi et Mr Serge.
Durant le repas, Ils parlent de jardinage et des souvenirs en commun qu’ils ont partagés. Ludi se marre comme une conne à chaque petite blague de Mr Serge, il a même posé sa main sur le genou de Ludi collé à lui. Cela me donne une idée, Michel qui est en face de moi, mange tout en matant mes seins comprimés dans mon maillot de bain, je tends ma jambe pour aller poser mon pied entre son short sous la table. Liliane en pleine conversation ne s’aperçoit de rien, alors je remue mon orteil pour faire bander son mari qui n’ose pas bouger.
A côté, le papy à remonter sa main dans le creux de la cuisse de ma copine et elle à mit sa main bien placée, dans le bas de la salopette. Je la voit qui malaxe tendrement la bosse qui s’est formée. Ca m’excite encore plus de voir Ludi faire ça au vieux jardinier et je fais bouger maintenant tous mes doigts de pied sur l’entrejambe du short de Michel qui fait semblant de participer à la discussion.
Nos papilles ravivées, Liliane se lève et on lâche nos occupation pour reprendre une position normal et l’aider à débarrasser.

Ludi et moi sommes fin prêtes pour aller digérer sur nos transats une bonne partie de l’après-midi.
Sous la surveillance des deux bricoleurs dans le jardin, on retire le haut de nos maillot pour nous mettre à l‘aise au soleil.
Liliane qui n’aime pas trop la chaleur, fait une sieste après avoir fait la vaisselle et nous prévient de ne pas trop la déranger parce qu’elle a un travail de comptabilité urgent à faire pour une société.

En fin d’après-midi, Ludi va dans sa chambre, elle revient habillée d’une robe bustier courte beige en me faisant un clin d’œil, elle me dit qu’elle va accompagner Mr Serge chez lui pour aller récupérer des pots de confitures qu’il a préparé en son honneur.

J’espère pour Mr Serge que ses confitures sont super bonnes car Ludi est carrément bandante dans sa petite robe beige qui moule ses formes parfaites.

Liliane toujours dans la maison finit son boulot important.
Je me retrouve donc seule avec Michel dans le jardin.
Je l’observe biner son potager en repensant à ce que je lui est fait sous la table avec mon pied au déjeuner.
Je suis toute excitée de le voir travaillé en short noir torse nu et ça me donne envie de passer mon majeur sur mon maillot de bain pour l’appuyer sur ma petite fente.
Il se retourne pour me mater de loin et constate la position de ma main sur le bas de mon maillot, il s’essuie le front avec son bras et se dirige vers le cabanon à outil en me regardant sucer mon majeur pour qu‘il comprenne que j‘ai une envie de sentir sa pine dans ma bouche.
Je me lève pour regarder discrètement par la fenêtre ouverte qui donne dans la maison.
Liliane est dans le fond du salon, concentrée devant son ordinateur portable.
J’avance dans le fond du jardin vers le cabanon et entre pour voir Michel autour des outils, tourné de dos se laver les mains avec le jet d’eau qui coule dans une bassine.
Je me place derrière lui pour glisser mes doigts dans son short et sentir sa bite toute molle. Il se laisse faire, baisse son short et son slip sur ses cuisses et je viens soupeser ses couilles de mon autre main. Je le masturbe, sa bite gonfle rapidement entre mes doigts, ça m’excite grave de le faire bander et je passe ma langue derrière son oreille pour venir l’embrasser. Michel se retourne, me serre fort dans ses bras, mes gros seins contre son torse velu, il enfonce sa langue dans ma bouche pour que je vienne la sucer, je sens son sexe tout dur contre mon ventre.
Je me penche pour prendre son érection et l’enfoncer délicatement entre mes lèvres. Je commence un va-et vient en continuant à le branler dans ma bouche.
Il attrape ma crinière blonde pour faire venir cogner mes lèvres contre ses couilles.
Cabrée en deux j’ai mis mes mains derrière ses fesses pour maintenir mon équilibre, il accélère la cadence en tirant sur mes cheveux et je le pompe comme une déjantée maintenant.
Je veux le boire complètement car j’aime quand il me domine comme ça.
Michel doit être énervé de ne pas pouvoir me prendre quand il veut et il continue à baiser ma bouche en forçant sur ma blondeur.
Ca vient, il appuie sur ma tête fortement contre son ventre, il se déleste d’une lourde giclée brûlante qui envahit ma bouche, je m‘empresse d‘avaler pour ne pas perdre les autres jets chauds de son foutre qui s’éparpillent dans ma bouche et me rassasie de plaisir.
Je me relève, passe ma langue entre les lèvres pour lui montrer que je suis sa bonne petite suceuse blonde, il me sourit en remontant son short et en me caressant un sein.
Ne pouvant pas rester trop longtemps là avec Michel, au cas où sa femme débarquerait, je retourne directement à ma chaise longue, pendant que lui rejoint sa femme dans la maison tranquillement.

Je me sens encore toute excitée, la culotte de mon maillot de bain est toute humide et une marque est apparue au niveau de mon intimité.
Maintenant seule dans le jardin, à l’abri des regards, je mets mon majeur dans ma bouche pour l’humecter et cette fois-ci le passe à l’intérieur de mon maillot pour venir titiller mon clitoris. Une fois que mon petit bouton est en fleur, j’enfonce mon doigt dans ma fente pour me libérer d’un peu de ma saveur vaginal.
Mon plaisir monte, alors j’introduis deux autres doigts pour les actionner frénétiquement dans mon intérieur.
Le goût du sperme de Michel dans ma gorge en repensant à sa queue au fond de ma bouche me font jouir instantanément.
Je regarde ma mouille dégoulinée de ma chatte en repositionnant la culotte de mon maillot de bain turquoise avec une auréole de mon liquide au milieu.

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18 - Ludi et Mr Serge


Le soir, après avoir dîner et pris une douche, je rejoins Ludivine dans sa chambre pour qu’elle me raconte sa virée chez Mr Serge.
Ludi me dit qu’elle adore la compagnie du vieux jardinier et que depuis la mort de sa femme, elle essaye d’être gentil  et de lui faire plaisir le peu de fois où elle le voit.
Elle me dit que c’est pour ça qu’elle c’est laisser tripoter quand on l’a vu ce midi.
Je lui remémore le déjeuner en lui évoquant le passage où je l’ai vue poser sa main sur la bosse de la salopette du papy.
Un peu gênée, Ludi m’avoue que c’est la première fois qu’il pratique des attouchements sur elle et que pour dire la vérité, ça l’a excitée de sentir sa trique sous la table. 

- Mais il ne t’as pas sauté dessus quand t’es arrivé chez lui?

Ludi avec son sourire de coquine ne peux s’empêcher de me raconter ce qui c’est réellement passé chez Mr Serge :

« Je marche jusqu’à chez lui, il habite à quelques pâtés de maison d’ici et je le sens fière d’être en ma compagnie.
Une fois dans la maison, il me sert une citronnade dans la cuisine. Il observe mon corps dans ma robe bustier beige, mes seins donnent l’impression qu’ils veulent s’échapper de mon bustier. Il me tend le verre en venant placer une main amicale sur mes fesses comprimées dans ma robe courte. Je le laisse tranquillement me caresser le postérieur en buvant une gorgée de citronnade.
Son regard d’antan n’est plus le même, il ne voit plus la gamine que j’avais pu être avant, mais plutôt la belle jeune fille sexy que je suis devenue.

Je me suis habillée dans ma chambre en me disant que je n’avait pas besoin de culotte par cette chaleur et que de savoir que j’allais chez  Mr Serge sans dessous, le minou à l’air m’excitais davantage.

Sa cuisine est un peu vieillotte, éclairé par une fenêtre qui donne dans la rue avec des rideaux en dentelle blanc, un évier en céramique usé, des étagères avec des bocaux et une table en vieux chaîne marquée par les années, il me dit en me dévisageant de haut en bas :

- Nom de dieu, tu sais que t’es une sacrée pépée, toi alors!

- Ah bon merci t‘es sympa! Alors qu’est ce que tu préfère chez moi?

- Tout, on a envie de te croquer quand on te voit!

Je lui sourit et pour le remercier, j’abaisse le haut de mon bustier pour exhiber mes deux obus devant ses yeux éberlués.
Il plaque ses deux mains sur mon derrière en rigolant, il se retrouve face à moi, heureux de me voir me dévoiler à lui et il intègre sa barbe entre ma poitrine voluptueuse.
Je suis contente de lui faire plaisir, lui qui n’a plus sa femme depuis des années.
Le vieux barbu me mangent les seins et me mord les tétons, mes mamelons s’endurcissent et je sens ses mains relever ma robe sur mes reins pour venir me malaxer les fesses.
Il devient dingue quand il s’aperçoit que je ne porte pas de culotte, alors tout en continuant à me bouffer les nichons, il passe des doigts sur mon intimité. Je me mets à mouiller comme une folle quand il enfonce un doigt dans ma fente pour le faire tournoyer efficacement. Sa bouche poilue passe de sein en sein, de téton en téton, tout en enfonçant un autre doigt dans ma minette encore vierge.
Debout entre la table et l’évier face à la fenêtre, j’apperçois un couple de vieux passé dans la rue derrière les rideaux, je repousse gentiment Mr Serge et m’accroupit pour ne pas être vue.
Surpris le vieux à la barbe blanche se retourne pour regarder la fenêtre puis voit ma tête à la hauteur de l’érection de sa salopette.
Je lui dit qu’il y a des gens qui viennent de passer devant la fenêtre et intriguée par la bosse devant mes yeux, je me mets à la caresser en lui souriant. 
Je me sens toute mouillée de caresser la trique du vieux Serge à travers sa salopette et même si c’est un homme qui me connaît depuis que je suis toute gamine, c’est la première fois que j’ai autant envie de sucer une bite.
Mr Serge me prend par le bras et m’invite à passer dans le salon pour m’installer dans son canapé.
Le salon est grand, les fenêtres donnent dans le jardin, une décoration ancienne avec des meubles d’époques, des tableaux de paysages avec une petite télé en face du canapé.

Assise à côté de lui, j’approche mes lèvres de sa barbe pour l’embrasser sur la bouche, je repasse ma main entre ses cuisses pour vérifier la grosseur de sa bosse.
Elle a un peu diminuée, je le frictionne alors davantage en enfonçant ma langue dans sa bouche.
Toujours les seins à l’air, il me les pelotent gentiment en faisant tourner sa langue contre la mienne.
Je suis vraiment entrain de le rendre fou car le vieux jardinier me fait tomber sur le côté du canapé pour s’allonger sur moi tout en gardant sa bouche contre ma bouche. Il m’embrasse sous l’oreille maintenant, sa barbe touffue sur mon cou, ma robe relevée, je sens sa bosse toute dure s’exciter entre mes cuisses ouvertes.
Il redescend ses lèvres poilue le long de mon buste pour revenir dévorer mes nichons, pendant que ma minette continue de dégouliner.
Il descend encore, tire sur ma robe délicatement pour la descendre sur mes hanches, il me mordille le ventre et me fait des chatouilles avec ses poils de barbe.
Il se relève pour mettre sa tête entre mes jambes, mes cuisses sur ses épaules, je vois ses cheveux blanc bouger de haut en bas en ressentant sa langue lécher ma chatte toute baveuse.
J’adore ce qu’il me fait et je lâche des petits râles de satisfaction pour lui faire comprendre de ne pas s’arrêter.
Mr Serge me bouffe le clitoris, sa bouche aspire les flots de mon liquide séminal et sa langue agile s’introduit à l’intérieur de mon intimité imberbe et vierge.
Mes jambes tremblent sous l’effet de ses sucions, je ne me contrôle plus et je jouis intensément en poussant un grand cri de libération fluide.

Le vieux pervers, la bouche trempée, ne tenant plus, se lève, enlève les bretelles des boutons qui tiennent sa salopette et baisse le tout à ses chevilles.
Je me rassois sur le canapé pour contempler le sexe du vieille ami de la famille dressé devant moi, sa bite est courte, épaisse avec des couilles de taureau qui pendouilles.
A part avoir caresser et branler quelques mecs avec qui j’étais sorti, je n’ai encore jamais pratiquée de fellation dans ma vie et je n’aurais jamais pensée que ma première bite dans la bouche serait avec un vieux cochon comme Mr Serge.
Mais bon après ce qu’il vient de me faire et de voir dans quel état je l’ai mis, sa queue tendue en face de moi me donne envie de le goûter pour ma première fois.
J’avance ma tête, prend le prépuce avec mes doigts pour  décalotter son gland et le branler devant ma langue qui lèche son bout. Je lève les yeux pour voir la gueule du vieux jardinier regarder mes lèvres se déformer et s’engouffrer sur sa bite épaisse. Ca me fait bizarre de sentir ce bout de chair tout dur glissé sur ma langue pour venir toucher ma gorge. Je recommence à mouiller en activant ma bouche sur la pine de Mr Serge. De nouveau trempée, je sors doucement sa queue de mes lèvres pour venir lécher ses bourses gonflées à bloc en lui secouant la bite rapidement.
La bouche ouverte, papy serge me regarde lui bouffer les couilles tout en le masturbant.
J’apprécie ce pouvoir de salope de le rendre cinglé pour pouvoir arriver à extraire son jus de couille.
Excitée je le reprends en bouche pour le pomper plus vite.
Le vieux cochon ne va pas tarder à éjaculer car sous l’effet des va-et-vient de ma bouche chaude sur sa queue, je sens une légère coulure amère au fond de ma gorge.
Je n’ai encore jamais goûté de sperme, mais ses testicules me semblent pleines à craquer.
Pour ne pas tout avoir à avaler, je retire délicatement mes lèvres de sa bite pour venir le branler furieusement devant ma bouche grande ouverte, la langue tirée.
Mr Serge fixant le visage de sa petite Ludivine prête à recevoir tout son foutre dans la gueule, se met à gémir et dans une dernière crispation, m’envoie un long jet gluant qui me recouvre toute la langue, un deuxième jet brûlant encore plus épais me rentre dans le gosier et sans m’en rendre vraiment compte, j’avale son sperme en refermant la bouche, une troisième giclure me frappe les lèvres que j’ai refermées, puis tout le reste vient s’étaler sur mon visage d’innocente suceuse.
J’ai fermé les yeux car je suis recouverte de sperme du vieux Serge qu’il à dû garder en lui depuis des lustres! »

- Tu vois Lucie, ça m’a vraiment plu d’avaler une partie de son foutre, c’est un peu amer mais j’ai trouvée ça excellent tout de même!  

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19 - Confidence au marché


C’est une belle région que la Normandie, dommage que le temps change si vite.
Une pluie fine tombe depuis ce matin et le ciel bleue d’hier à été remplacé par une brume grisâtre.
Ludivine me propose d’aller faire un tour au marché du village malgré la grisaille.
J’enfile un bas de survêtement et un sweat à capuche gris clair et Ludi un jean équipée du k-way bleu marine de son père, elle nage dedans, mais au moins elle sera au sec.
Sur le chemin qui mène de la maison au centre du village, Ludi me dit qu’elle a mal dormi, qu’elle a repensé toute la nuit à la queue de Mr Serge qui lui a craché dans la bouche pour la première fois de sa vie et quelle comprenait mieux pourquoi Elodie aimait autant sucer des bites.
Je lui fais part de mon avis sur la question en lui expliquant qu’à moi aussi ça m’ai arrivé plusieurs fois et que je l’ai même déjà fait avec des hommes âgés.
Ludi n’en revient pas de savoir que sa copine a pratiqué des fellations à la chaîne et que j’aime avaler le sperme de tous ses vieux pervers.
Si elle savait la pauvre qu’en plus de ça son père m’avait pris par tous les trous, je me demande ce qu’elle dirait!

On arrive au marché, Ludi me dit qu’elle a hâte de revoir Mr Serge pour pouvoir le re-sucer encore. Je lui réponds qu’il n’y a pas que le vieux jardinier, je lui parle de Malika qui depuis qu’elle a connue sa première bite dans la bouche, ne peux plus s’en passer et qu’elle essaye d’assouvir le plus de queue possible depuis que je lui est dit que tous les hommes aimeraient se vider les couilles dans sa gueule de beurette.

- Toi aussi Ludi si tu aime ça, tu devrais faire plaisir à tous ses hommes qui rêveraient de se faire sucer par ta belle petite bouche pulpeuse!

- Attend Lucie, arrête! Ca me donne envie de pomper tous les mecs que l’on vient de croiser là!

On voit que les gens d’ici sont habitués à ce temps pluvieux car ils ont tous prévus un parapluie.
Une fois rentrée dans le marché, on retire nos capuches pour lâcher nos cheveux longs, les parapluies qui passent devant nous et les toiles des stands couverts nous protègent des gouttes pour le moment.
On se balade à la recherche de babiole, de petit bijoux ou de souvenir que l’on pourrait ramener avec nous.
On se marre toutes les deux à chaque fois qu’un homme nous dévisage accompagné de sa femme ou pas. On essaye aussi de deviner la taille de leur quéquette ou bien de savoir s‘ils sont poilues, ça nous fait rire.

Un vendeur nous interpelle en passant pour nous proposer ses vêtements d’été, jupe, robe, pantalon, chaussure…
On jète un coup d’œil vite fait, c’est pas très cher mais pas trop à mon goût.
Ludivine regarde une paire de ballerine et un t-shirt, le vendeur sentant qu’elle hésite à les prendre lui propose de les essayer dans la camionnette derrière qui fait office de cabine d’essayage.
Ludi me regarde avec son air malicieux, je lui fait signe d’y aller et j’attends avec la vieille dame assise qui tient le stand avec le vendeur qui accompagne Ludivine à la camionnette.
Non! elle ne va pas se taper ce monstre quand même?
Le vendeur habillé en survêtement bleu clair est un homme d’une quarantaine d’année, de taille moyenne et qui doit peser dans les cent kilos, les cheveux dégarnit blonds mi-long plaqués en arrière avec de la graisse, il n‘a pas vraiment le profil d‘un vendeur mais plutôt celui d‘un boucher.
Je fa    is semblant de m’intéresser aux vêtement pendant que Ludi fait ses essayages; en regardant dans un miroir posé sur le stand, je vois le gros vendeur monter dans la camionnette et fermer un rideau de l‘intérieur, sûrement pour conseiller Ludivine sur sa tenue?
Quelques minutes plus tard, ils ressortent, je vois Ludi s’essuyer la bouche avec un kleenex en sortant de la cabine avec le gros un grand sourire aux lèvres, le vendeur lui à mis le t-shirt et les ballerines dans un sac et Ludi me fait signe de nous éclipser rapidement.

Sur le chemin du retour, elle m’explique pourquoi il ne lui a pas fait payer les affaires et pourquoi il lui en a fait cadeau.

« Une fois dans la camionnette, il fait sombre, mais il y a une ampoule allumée qui éblouit un grand miroir posé dans le fond, je me suis assise sur un fauteuil bas sans pied, le fauteuil est mou, je m’enfonce dedans pour enlever mon k-way qui me gêne et pour pouvoir essayer les ballerines à ma taille. Le gros vendeur rentre en refermant un rideau improvisé qui nous cache de la vue des passants du marché, il me demande si elle me vont bien, je lui réponds oui que ça à l’air d’aller. Il me tend la main, je l’attrape pour qu’il m’aide à me relever, je le remercie et me regarde dans la glace.
Je vois le regard sadique du gros vendeur dans le reflet qui juge mes formes sous mon jean brut qui colle mes fesses et mon petit pull noir décolleté en v qui moule mes seins. Au lieu de me dégoûter son visage de porcin m’émoustille et je retire d’un coup mon petit pull noir pour voir sa réaction quand il découvre mon soutien-gorge noir transparent sous cette lumière blafarde.
Les yeux écarquillés, il me passe le t-shirt et je prends un malin plaisir à faire ma salope en prenant tout mon temps pour essayer le t-shirt.
Je lui dit que les articles me plaisent mais que je dois faire un choix parce que je n’ai pas assez d’argent pour m’offrir les deux, je retire le t-shirt et me rassoit sur le petit fauteuil restant en soutien-gorge, le gros vendeur et son ventre gras debout devant moi.
Son regard passant de mes yeux à mon soutif qui laisse apparaître mes tétons, il me dit avec son visage bouffi qui se déforme en me souriant:

- Y’a toujours un moyen de s’arranger, non?

Le gros porc ne m’attire pas du tout, mais la situation me plaît bien et le fait de savoir qu’il y a une bite qui ne demande qu’a sortir de ce bas de survêtement en face de mon visage, m’excite vraiment.
Le gros vendeur l’a bien compris en voyant approcher délibérément mes lèvres au niveau du milieu de son pantalon, mes yeux lui suppliant de me montrer sa pine et de me la foutre dans la bouche.
Voilà il l’a fait, il l’a sortit, après avoir remonté son bide énorme avec ses mains en baissant son survêtement sur ses grosses cuisses, j’enfonce entièrement son gland dans ma bouche, mouillant au passage ma petite culotte.
Sa bite est peu plus longue que celle de Mr Serge, je peux aisément allonger mes lèvres coulissantes dessus, mes va-et-vient sur le bâton de chair le font grossir encore dans ma bouche chaude. Je ferme les yeux pour sentir encore mieux ce mélange de sueur et de pisse dans mes narines, contrairement à ce que je me disais avant, sucer une queue et sentir toutes ses odeurs de mâle en rut m’excite violemment et je ressens des frissons dans ma culotte déjà toute humide.
La queue toute dure, j’expérimente une gorge profonde pour connaître la sensation d’un gland venir toucher le fond de ma glotte, je me retire et recommence jusqu’à cogner mes lèvres sur les poils de sa bedaine, ma salive dégouline sur un côté de ma mâchoire et je le garde à moitié en bouche maintenant pour pouvoir placer des doigts et le branler entre mes lèvres.
Ma branlette est efficace car il m’asperge la gorge de sa jute de gros cochon que je m’empresse de goûter avec avidité. Le liquide gluant se déversant dans ma gorge, j’en avale tellement une grande quantité que j’ai l’impression qu’il me pisse du foutre au fond de la gueule, mais bon je suis tellement excitée que je bois tout son sperme et aspire même les gouttelettes qui ressortent de son gland à la fin de son éjaculation dans ma bouche de belle pompeuse.

- Wouaaw tu reviens me voir quand tu veux si tu as besoin de quelque chose! Tiens je te les files mais dit rien à ma mère ok?!… »

Wooooooooooo sexy passion -46

20 - Barbecue avec saucisse


Les péripéties de Ludivine me donnent des envies de sexe, mais une fois rentrée à la maison, il m’est difficile d’approcher Michel pour qu’il me prenne dans un coin de la baraque.
Liliane ne se doute de rien sur mes vues de baiser encore avec son mari, mais ils ont toujours quelque chose à faire, elle ne le quitte pas d’une semelle et je dois me contenter de me toucher le soir avant de m‘endormir.


Le lendemain la journée est maussade mais il ne pleut pas, c’est déjà ça.
Les parents de Ludi doivent partir faire des courses pour préparer le barbecue qu’ils organisent ce soir avec quelques amis.
Ludi me dit que c’est des gens super sympa et que l’on va faire la fête avec eux ce soir.
En fin d’après-midi, le temps se découvre et on aide à installer et à dresser les tables dans le jardin.
Je libère ma chambre pour la laisser à des invités de la famille qui vont rester dormir cette nuit et pose mes affaires dans la chambre de Ludivine.

Les premier invités sont là, c’est une famille un couple avec deux enfant, Liliane me présente son frère Alain, bel homme de trente huit ans, cheveux châtain court, fin mais musclé, commercial dans la région; sa femme Linda, belle brune aux cheveux longs, assistante dentaire, leur fils Lucas six ans et leur fille Flora quatre ans.
Ludi et sa mère sont ravies de les voir et je fais leur connaissance. Les enfants m’ont déjà adoptés et je joue un peu avec eux pour leur faire plaisir.
Pendant ce temps là, d’autres personnes sont arrivées, je dit bonjour à tout le monde, il y a des amis de Liliane, des potes à Michel et quelques voisins du village.
Je ne sais plus trop qui est qui car il y a maintenant une bonne vingtaine de personnes qui prennent l’apéro dans le jardin.
Le barbecue est prêt, la braise à bien pris et les merguez, saucisses, côtes d’agneaux et cuisses de poulets sont prêtes à se faire griller.
Dans le jardin, plusieurs mômes courent et s’amusent, je bois un kir en compagnie de Liliane, d’Alain et de Linda qu’en je vois débarquer Ludi et son Mr Serge bras dessus bras dessous.
Mr Serge nous fait la bise, il s’est mis sur son trente et un, il passe de groupe en groupe pour aller saluer les gens qui ont l’air de tous le connaître et va aider Michel à tenir le barbecue.
Je remarque que Ludi et moi sommes les seules jeunes filles de la soirée, à part nous et Linda la tante de Ludivine qui ne doit pas avoir plus de vingt-cinq ans, on dénote avec nos tenue sexy.
La plupart des hommes sont en pantalon chemise, les femmes habillées classique et sobre, sauf nous, Ludi à mis sa petite robe moulante noire pour sûrement émoustiller papy Serge, Linda porte une mini-jupe noire avec un petit pull rouge ouvert sur sa poitrine et moi, une jupe à volant bariolée et un body blanc qui maintien fermement mes gros seins.
Je continue à boire d’autres kirs et grignote les apéritifs et les petits fours que l’on a aidé préparer cet après-midi.
Ludi à ramené de la musique et les invités qui commencent à avoir bien bu se lâche sagement.
Ca discute, ça mange, ça rigole dans une ambiance familiale et sympathique.
Un peu à l’écart, je distingue quand même les regards lubriques de la gente masculine sur ma personne. Je ne leur en veux pas car vue ma tenue vestimentaire, mon visage mutin de blondinette et mes nichons qui pointe en l’air, je ne peux que les comprendre.
Quelques hommes sont même venues me faire la conversation pour savoir qui j’étais et apprécier mes formes de plus prêt.
Je guette Ludivine, mais je ne la vois toujours pas, je ne m’inquiète pas car Mr Serge est toujours au fourneau avec Michel et ses potes.
Linda et Alain m’on rejoint pour me donner une assiette de saucisses et je fini mon kir en les remerciant.
Liliane vient chercher Linda pour lui présenter quelqu’un et je reste seule debout avec Alain qui me regarde manger mes saucisses avec les doigts.
Ca le fait sourire de me voir bouffée comme une cochonne, alors je m’amuse devant lui à prendre une saucisse dans ma bouche et à la faire glisser sur mes lèvres doucement pour en croquer un bout, un fois le morceau mangé, je passe délicatement ma langue sur mes lèvres pour nettoyer la graisse qui à coulée sur ma bouche, il me regarde gêné et ne rigole plus du tout de voir cette jeune blonde excitante habillée comme une salope sucer des saucisses en face de lui.

- Hum… Tu as l’air d’aimer ça?!

- Oui j’adore les saucisses, surtout quand elles sont bien grosses!

- Aah bon… tu devrais goûter la mienne alors, je suis sûr qu’elle te plairait?!

Stupéfaite de sa réponse et de l’ambiguité de la question, j’explose de rire en comprenant que l’oncle de Ludivine me fait des avances en me proposant de goûter sa queue.
Alain se met à rire aussi pour ne pas passer pour un con et je lui réponds que ça me plairais bien de pouvoir le déguster!
Surpris par ma réponse, il n’en revient pas que la belle  blondinette sexy de la soirée à envie de lui sucer la bite et me demande de l’attendre discrètement dans le garage de la cour de l’autre côté du jardin.
Je passe par la maison, il n’y a personne, je rentre dans la cuisine et ouvre la porte qui donne dans le garage directement.
Quelques minutes plus tard Alain pousse le rideau de la porte extérieur du garage et la referme calmement.
Le voyant se pointer devant moi je m’accroupie entre le mur et la voiture garée pour déboutonner le jean de Alain qui me regarde sortir sa grosse saucisse de son caleçon.
Il ne m’a pas menti, parce que c’est vrai qu’il en a une énorme qui gonfle déjà dans ma bouche.
Je ne peux pas la faire rentrer entièrement dans ma gueule, alors je garde mes lèvres préssées sur son gland en le masturbant énergiquement.
Ma tête sécouée par les acoups de cette branlette dans ma bouche me rende toute mouillée.
Alain heureux de voir cette jeune et jolie blonde le fixer, sa queue entre mes lèvres pour en récolter la semence; mais tout d’un coup, il me tire par les bras pour me plaquer sur le ventre contre le capot de la voiture en relevant ma jupette et en baissant mon string blanc à mes genous.
Il malaxe mes fesses et les écartes pour découvrir ma vulve toute mouillée, il se baisse et lèche ma chatte dégoulinante, sa langue remonte jusqu’à mon anus et il essaye de l’enfoncer le plus profondément qu’il peut dans mon petit trou et craché sa bave gluante à l’intérieur pour l’humecter le mieux possible.
J’ai l’impression que sa grosse bite à envie de me sodomiser et ça m’excite encore plus en pensant à sa  belle femme qui est peut-être entrain de le chercher pendant que son mari colle son sexe tout dur contre mon anus pour me péter le cul.
Coincée par mon string les jambes serrées, Alain me pénètre violemment la rondelle avec son gland, je serre les dents pour ne pas hurler, il me maintient les fesses pour faire rentrer sa grosse queue et dilater au maximum mon trou du cul.
J’ai mal mais en même temps j’aime sa grosse bite toute dure qui s’acharne à l’intérieur de mon derrière.

- Aaah t’aime ça te l‘a prendre dans le cul, hein cochonne…!

Alain défoule sa grosse pine dans mon cul et j’essaye d’étouffer mes cris en fermant mes lèvres et en agrippant mes mains sur le capot de la voiture de Michel.
Alain continue à me déchirer les fesses, il m’encule sauvagement et malgré la douleur, j’adore le sentir me dominer de cette façon.
Après un dernier va-et-vient, il m’empoigne fortement les fesses en les arrachant presque avec ses poignées de main et vient me balancer toute sa séve brûlante dans les entrailles; sentant le fond de mon orifice remplit de tous ses jets de chaleur me combler, je jouis intérieurement pour ne pas alarmer les voisins de ce qui se passe dans le garage.
Je ne me suis même pas rhabiller, le cul toujours en l’air que Alain à déjà disparu du garage.
Je trouve un chiffon qui traîne sur un établi et m’essuie le derrière du foutre de Alain qui coule de mon petit trou sur ma chatte et je me rhabille pour ouvrir la porte doucement et rentré dans la cuisine.

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21 - Bien mangé, mais surtout bien bu


Je vais pour ouvrir la porte de la cuisine, mais au moment où je l’entrouvre légèrement pour constater qu’il n’y a personne, j’aperçois Ludivine à genou sur le carrelage près de l’évier qui bouge sa chevelure au niveau du bas de pantalon de Mr Serge; ce qui me surprend le plus, c’est la présence de Gerald un des potes de son père à côté d’elle qui tient son sexe en se le frictionnant. Contre la porte de la cuisine qui donne dans le salon, Aurélien un autre des vieux potes de Michel fait le guet pour voir si personne ne vient les déranger, il a aussi intégré une main dans son pantalon pour se secouer l’entrejambe.
Ils n’ont pas remarqués l’entrebâillement de la porte d’où je peux les espionner et je peux facilement observer la bouche de Ludivine grande ouverte se régaler des giclures blanchâtres du vieux Serge qui atterrissent au fond de sa gorge.
Pour faire passer le tout, Ludi attrape la queue dressée de Gerald et se met à le sucer comme une gorée.
Gerald qui est le vieux pillier de comptoir du pmu où va jouer Michel, ne doit pas avoir l’habitude de se faire pomper le dard par une jeune beauté comme ma copine car il lui envoie vite son bouillonnement de couille entre les lèvres qu’elle s’empresse d’essayer d’avaler malgré les reliquats de foutre qui dégouline le long de sa bouche.
Inconsciemment à la vue du spectacle que m’offre mon amie, j’ai mis ma main dans ma culotte et me masturbe agréablement.
Aurélien qui doit être le plus âgé de la bande à pris la place des deux autres débris et apprécie la caresse de la langue de Ludi sur son petit pénis poilue, elle pousse son prépuce avec ses lèvres pour le gober entièrement. Aurélien qui me semble être un peu gâteux prend vigueur sous les sucions dévorante de la belle petite suçeuse à genou devant lui.
Ludi encore la bouche dégoulinante de sperme des deux autres vieux cochons, la bite d’un septuagénaire entre les lèvres m’excite gravement, j’aimerais être à sa place et je m’enfonce un doigt, ma main toujours dans ma culotte.
Gerald qui fait le guet au coin de la porte du salon donne l’alerte, papy Aurélien qui n’a pas eu le temps de jouir ramasse son attirail dégoûté, pendant que Ludivine se lève, reprend ses esprit et s’essuie la bouche avec un torchon.
C’est Liliane sa mère qui vient chercher des gobelets en plastique en demandant à tout le monde si ça va.
Aurélien en s’asseyant sur une chaise dans un coin de la cuisine dit qu’il se sent un peu fatigué, Gerald est repartit et Ludi accompagne sa mère rejoindre les invités dans le jardin.
Le vieux Aurélien, le visage dépité assis dans le coin sur sa chaise, frustré de ne pas avoir éjaculé dans la bouche de la fille de son pote, ressort sa petite queue encore toute raide pour se faire une branlette pour sûrement se finir.
Toujours excitée malgré le déroulement de la scène, j’ouvre la porte, complètement ahuri de voir la copine de la suçeuse, la jolie blondinette aux gros seins s’installer à genou entre ses jambes et poser ses lèvres sur son gland pendant qu’il continue à se masturber, il me laisse descendre mes lèvres sur son attribut pour les faire remonter et les redescendre plusieurs fois.
Je le garde un moment au fond de ma bouche pour ressentir ses soubresauts de liquides glaireux que j’aspire avec gourmandise.
Je me lève et m’en vais en passant ma langue entre mes lèvres et en lui faisant un clin d’œil, le pauvre vieux m’a fait pitié, je ne pouvais pas le laisser comme ça!

Une fois de retour au barbecue, il ne reste que les potes à Michel qui me semblent bien éméchés, les autres couples avec leurs enfants sont parties.
J’aide Ludi et sa mère à faire un peu de ménage pendant qu’Alain et Linda vont coucher les enfants.
Les hommes assis sur les bancs de la grande table en bois de la cuisine en sont au digestif et rigolent bien en nous voyant travaillées.
Il commence à être tard et je boirais bien un petit coup en leur compagnie. Ludi reste avec moi, boire un whisky coca et Liliane nous souhaite une bonne nuit en faisant attention de ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller les enfants.
Alain et Linda nous ont rejoint pour un dernier verre mais ne traîne pas car ils ont fait de la route aujourd’hui et vont se coucher à leur tour.
Ludi et moi en sommes déjà à notre deuxième verre quand Mr Serge, Gerald et Aurélien culbabilisant d’avoir cracher tout leur foutre dans la bouche de Ludivine et ne se sentant pas trop à l’aise entre elle et son père Michel, prennent le chemin du retour pour rentrer tranquillement chez eux. Le vieux Aurélien me fait quand même un clin d’œil en partant.

Les autres potes de Michel, eux sont ravies de voir deux petites jeunettes super bien foutues participer à leur rigolade générale.
Au moment où Ludi va pour se servir un troisième verre, Michel lui balance une remontrance qu’elle n’apprécie guère, énervée par son père et l’alcool, elle quitte la table et me laisse seule avec Michel, Gilbert, Léon, Denis et un autre dont je ne sais plus le prénom.
Je ne l’a comprends pas, Michel lui à dit seulement de ne pas trop boire, que c’était pas du petit lait mais du whisky, mais bon visiblement fatiguée et un peu bourrée, Ludi à prit la mouche pour aller se coucher.
Michel qui commence à être un peu saoul se rapproche debout derrière moi, il met ses mains sur mes épaules nues et me fait un gros bisous sur la joue devant ses copains.

- eeehh les gars, hein c’est pas beau ça, regardéé là…

Michel me demande de me lever et de tournoyer sur moi-même pour montrer mes formes à ses amis.
Je m’exécute en souriant ma jupe à volant se relève en tournant pour dévoiler mon string blanc qui me rentre dans la raie du cul sous le regards brillants des hommes assis en face de moi.
La tête me tourne et je manque de tomber quand Denis qui est assis sur le banc au plus prêt de moi, me rattrape dans ses bras in extremis.
Le jardin qui est éclairé un peu partout par de puissantes lampes hallogènes montre mes deux gros seins qui son sortis de mon body durant ma chute.
Denis qui m’a récupérer avant que je m’étale par terre me relève debout les nichons à l’air devant tout le monde.
Je rigole confuse en remettant mon body sur mes nibards, je me rassois et bois une gorgées de whisky coca entre Denis et Michel qui se sont assit contre moi.  
Les hommes me complimente en blaguant et en essayant de connaître la taille exacte du gabarit de ma poitrine.
Des idées cochonnes me parcours l’esprit et je sens mon string s’humidifié au contact de Michel et de Denis me serrer entre eux.
Michel passe une main sous la table pour venir me caresser la cuisse et après avoir bu une autre gorgée de whisky, je passe à mon tour mes deux mains sous la table pour venir les placer sur la bosse du pantalon de mes voisins.
Sous la vision des six paires d’yeux en face de moi, je défais la fermeture de chaque côté pour sentir entre mes doigts les sexes à l’intérieur des slips.
Denis ne croit pas vraiment à ce qu’il est entrain de vivre, la petite bombe aux gros seins qui lui branle la bite sous la table devant ses copains, Michel, lui n’a pas perdu de temps et à tirer sur mon string pour mettre ses doigts sur ma chatte baveuse.
Les autres potes assis de l’autre côté de la table, leurs regards fixés sur mes bras et mes épaules qui bougent de haut en bas, comprenne vite ce que je suis entrain de faire à Michel et à Denis et dans la minute qui suit, je vois aussi leurs mains descendre sous la table.
Ils me dévisagent tous, ma grosse poitrine qui se dodeline au dessus de la table, je regarde la bite de Michel grossir et celle de Denis qui arrive bientôt à expiration sous l’effet de ma branlette sur sa queue.
Je n’ai pas envie qu’il éjacule n’importe où, je le veux dans ma bouche à foutre, alors je lâche le sexe de Michel pour me mettre sous la table, m’agenouiller sur la pelouse entre les cuisse de Denis et le masturber encore plus vite, mes lèvres collées contre son gros gland.
Au moment où il m’envoie son nectar gluand, j’avance ma bouche au milieu de sa queue pour lui faire comprendre qu’en plus d’être une belle jeune blonde au gros nichon, je suis aussi une belle jeune blonde avaleuse de sperme.
Je me retourne pour constater qu’effectivement les trois autres ont tous sortis leurs grosses quequettes de vieux pervers pour espérer se la faire sucer par la jolie blondinette qui est sous la table.
Excitée comme une truie, je passe de bite en bite pour les pomper et les essorer de leurs trop pleins de couilles pour boire tout leurs coulis laiteux.
Michel s’est levé et quand je sors de sous la table, il fait signe à ses potes qu’il revient et m’entraîne avec lui au fond du potager derrière le cabanon à outil.
Les bras appuyés contre le cabanon, Michel retire mon string complètement, j’écarte un peu les jambes pour tenir l’équilibre, il relève ma jupe sur mes reins et s’enfonce dans ma chatte toute mouillée encore toute excitée d’avoir pompée toute ses bites dans ma bouche de salope.
Je le sens en manque de ma chatte depuis plusieurs jours car il me besogne sans ménagement, je pousse des petits cris discrets à chaque coup de queue dans mon vagin.
Il continue longtemps à me prendre comme ça en levrette, il tire sur mon body pour libérer mes mamelles qui se balancent quand son ventre vient cogner contre mes fesses .
L’effet de l’alcool prolongeant la durée pour mon plus grand plaisir, Michel m’allonge sur la pelouse, m’écarte les cuisses pour me prendre en missionnaire, les jambes en l’air pour me baiser profondément.
Il me soulève les fesses de la pelouse avec sa force pour me défoncer encore plus sauvagement, je cache ma bouche contre son bras pour ne pas hurler de bonheur, je dégouline comme une fontaine en sentant ses couilles frapper mon cul, je serre ses hanches comme une furie pour le sentir encore plus en moi et il m’électrise quand sa lave bouillonnante explose dans le plus profond de mon intérieur, je jouis comme une folle en le mordant de mes lèvres sur son épaule.

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                              bravbitt@ymail.com







 



 


 


 
 








 










 


Par Brav Bitt - Publié dans : jeune avec vieux
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